Catégories
Culture
Éducation
Société
Chroniques
C’est dans une ambiance conviviale et chaleureuse que la 8e édition du prix Bravo Bénévole a eu lieu le 28 octobre à l’hôtel Atlas de Regina. La soirée a récompensé le gagnant du prix Bravo Bénévole, tout en honorant nombre de personnes qui luttent chaque jour pour le maintien de la fransaskoisie.
En plus d’aider les organismes à organiser des événements, le programme Bénétoilà, lancé par le Service d’accueil et d’inclusion francophone (SAIF-SK) fin avril, aide les nouveaux arrivants à mieux s’intégrer dans la communauté fransaskoise. Une initiative bienvenue alors que le manque de bénévoles se fait criant.
Plusieurs associations étudiantes de collèges et universités du pays ont remarqué une baisse de la participation étudiante aux activités démocratiques au cours des dernières années. Bien que personne ne sache en identifier la cause exacte, le coût de la vie et la hausse des droits de scolarité sont montrés du doigt.
Malgré la fin des restrictions sanitaires, l’implication au sein des organismes fransaskois ne décolle pas. Conseils d’administration difficiles à remplir, retrait des activités communautaires, désintérêt pour la gestion des organismes. Trois chefs de file analysent la situation.
Dans le cadre d'un partenariat avec la Cité universitaire francophone de Regina, quatre étudiants prêtent main-forte à l’équipe de la Société historique de la Saskatchewan (SHS) depuis le mois de février afin de numériser 27 ans du journal fransaskois.
Parties intégrantes du système de santé canadien, les personnes aidantes offrent gratuitement plus de 66 milliards de dollars de services chaque année selon Statistique Canada. Bien qu’une personne sur quatre deviendra personne aidante au pays au cours de sa vie, le soutien manque pour les aider à remplir leur rôle adéquatement.
Le Fransaskois Jean de Dieu Ndayahundwa a reçu la Médaille du Bénévolat de la Saskatchewan et le certificat l’accompagnat des mains du lieutenant-gouverneur Russ Mirasty à Regina.
Le Centre des archives fransaskoises a offert des formations de gestion documentaire aux organismes fransaskois
Les feux dans le nord de la Saskatchewan ont requis la participation d'un nombre considérable de bénévoles d'autres provinces. Une d'entre elles, Manon Michaud, a accepté de témoigner.
La communauté fransaskoise est composée en grande partie de petites structures qui fonctionnent notamment grâce au bénévolat. Au fil des ans, le nombre de volontaire baisse.
Propos recueillis par Michel Vézina et Ahmed Hassan Farah
Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées.
Parfois confrontées au manque de bras, les associations doivent trouver des solutions alternatives pour organiser leurs activités.
SASKATOON - Danielle Raymond, directrice générale sortante de l’Association des parents fransakois (APF). Selon elle le passage du témoin au sein des familles constitue un élément crucial pour maintenir la flamme du volontariat de génération en génération.
Alors que les infrastructures scolaires francophones ne répondent pas aux besoins en Saskatchewan, certaines voix appellent même à considérer les écoles de proximité.
Après sept années de mandat, Alpha Barry a laissé sa place à Geneviève Binette au poste de présidente du Conseil scolaire fransaskois.
Par manque de ressources en français, surtout pour parler des sujets autochtones, une enseignante décide d’outiller elle-même les autres via son compte Instagram frenchiemetisteaches.
Quand les conseils scolaires et les établissements postsecondaires francophones s’engagent sur le chemin de la réconciliation avec les peuples autochtones…
Dans un rapport rendu le 9 octobre, le commissaire aux langues officielles souligne les défis dans les domaines de l’éducation et de l’immigration francophone.
Le gouvernement de la Saskatchewan a dévoilé le 25 septembre les sites qui accueilleront les deux nouvelles écoles francophones de Saskatoon et Prince Albert.
Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement décidé d’annuler l’imposition d’un loyer mensuel aux Centres éducatifs de la petite enfance (CÉPE).
Nouvelles charges financières… Les Centres éducatifs de la petite enfance (CÉPE) en pleine consultation avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) !
En cette rentrée scolaire, les enseignants des écoles fransaskoises et d’immersion peuvent se réjouir d’apprendre que le programme LIVE Arts est de retour.
Un article publié dans l’Eau vive en 1983 nous rappelle que la lutte pour l’éducation francophone reste un dossier prioritaire pour les Fransaskois.
En cette rentrée 2024, les enseignants francophones se font de plus en plus rares et la pénurie touche désormais les villes.
En milieu francophone, certains établissements postsecondaires peinent à trouver les fonds pour financer l’entretien de leurs installations et de leurs équipements.
Le retour en classe n’est pas bien vécu par tous les jeunes, victimes de violence et harcèlement dans les cours d’école et sur les réseaux sociaux. Quelles solutions ?
Le 1er juillet 2024 est la date officielle du 50e anniversaire de l’Université de Regina et marque le commencement d’une année remplie d’événements spéciaux.
Les nouvelles charges financières annoncées par le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) pour la petite enfance créent polémique au sein de la communauté fransaskoise.
Accueil | Contacts | L'Eau vive en PDF | Galeries de photos | Bottin | |
- dimanche 22 décembre 2024