Fonds l'Eau vive banniere Nouveau système d'abonnement
Close
Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
6159
La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
7612
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
6807
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
6765

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

RSS
12345678910Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Lancement du concours Capturez la Saskatchewan!

Vous avez hâte que l’été se pointe le bout du nez? Nous aussi! Pour s’encourager un peu, nous avons organisé un concours de photos. On souhaite que vous partagiez vos plus beaux clichés de la...
Départ à la retraite de Robert Carignan

Départ à la retraite de Robert Carignan

Après plus de 11 ans au service du CCS, Robert Carignan a fait le saut vers la retraite le 31 mars dernier.

Un nouveau fonds DEC-CCS pour la Fondation fransaskoise

Le 30 avril dernier, le CCS annonçait fièrement la création d’un nouveau fonds de développement économique communautaire pour la Fondation fransaskoise. Ce fonds vise à appuyer les divers projets...
RSS
Première2930313234363738Dernière

Actualité économique

Les cartes postales, un excellent moyen de partager ses aventures
Dominique Liboiron

Les cartes postales, un excellent moyen de partager ses aventures

On ne m’accusera jamais d’être un mordu de technologie moderne. Je n’ai pas de téléphone intelligent, mon camion date de 1995 et j’envoie encore des cartes postales. J’aime également en recevoir et je les collectionne. Selon moi, les cartes postales ont toujours leur place.

Ma collection grandit d’année en année. Je reçois surtout des cartes du Canada, des États-Unis et d’Europe. Les gens que je connais visitent le plus souvent ces pays-là, comme la plupart des touristes.

Selon l’Organisation mondiale du tourisme, les dix pays les plus visités sont la France, suivie par l’Espagne et les États-Unis. L’Italie, la Turquie, le Mexique et le Royaume-Uni se succèdent. L’Allemagne, la Grèce et l’Autriche bouclent la liste.

Cette liste correspond à une tendance que je remarque dans ma collection. À date, je n’ai pas reçu beaucoup de cartes postales d’Afrique, surtout parce qu’il y a moins de touristes qu’en Europe ou aux États-Unis.

J’avoue que les cartes postales connaissent une baisse de popularité, mais elles ont été très à la mode. De plus, elles n’ont pas toujours eu le même format. Celles que nous connaissons aujourd’hui sont le résultat d’une évolution.

Les cartes postales remontent à 1840. À l’époque, les cartes étaient peintes à la main. Dans les années qui ont suivi, les gens s’envoyaient des photos sur lesquelles ils écrivaient à l’endos ou ils écrivaient aussi tout simplement sur une carte blanche, le message étant plus important que l’image.

Il faudra attendre 1861 pour la production de cartes postales en masse. Elles sont devenues un moyen simple pour les soldats d’envoyer des messages à leurs proches, surtout en Europe à partir de la guerre de 1870. Aux États-Unis, les cartes postales de l’époque portaient même des annonces publicitaires.

Les cartes telles que nous les connaissons de nos jours, c’est-à-dire embellies d’une image et vendues aux touristes, existaient dans les années 1870, mais elles n’étaient pas populaires. Elles le deviendront vers 1889 et 1890 lorsque des cartes ornées d’images de la tour Eiffel, nouvellement construite, font fureur.

Un autre événement historique a contribué à leur popularité. Lors de l’Exposition universelle de 1893 à Chicago, il se vendait une série de cartes postales officielles. Ces souvenirs de l’exposition, qui a reçu 27 millions de visiteurs de partout dans le monde, ont beaucoup aidé à répandre l’idée d’envoyer des cartes postales.

Les grandes années des cartes postales s’étendent de la fin du 19e siècle jusqu’à la Première Guerre mondiale. Ensuite, la montée du téléphone a nui aux ventes. À présent, l’internet et les réseaux sociaux contribuent au déclin des cartes postales.

Malgré tout, je pense que les cartes postales conservent leur cachet. Compte tenu de l’effort qu’elles demandent, soit de choisir une carte et d’y inscrire un message personnalisé, elles donnent au destinataire un plus grand bonheur.

Avec cette joie en tête, j’ai donc une faveur à vous demander. Si vous y pensez, envoyez-moi une carte postale de vos vacances d’été !

Envoyez votre carte postale à l’adresse ci-dessous :

Dominique Liboiron

CP 121

Maple Creek, SK

S0N 1N0

Imprimer
11435

Dominique LiboironDominique Liboiron

Autres messages par Dominique Liboiron
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top