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Nouvelles du CÉCS

Banque de candidatures – postes en employabilité et immigration

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan désire consolider une banque de candidatures pour divers postes dans le domaine de l’employabilité et de l’immigration qui seront situés à Regina et/ou Saskatoon. Nous avons donc mis à disposition cette page pour vous permettre d’envoyer votre curriculum vitæ à un des postes ci-dessous, et de faire partie de notre banque de candidats. Les banques sont utilisées par notre équipe de...

Poste à combler: Conseiller/ère en développement économique

Le Conseil Économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un/e Conseiller/ère en développement économique (CDE) pour la région de Moose Jaw et les environs. Exigences : Avoir un diplôme en administration des affaires (ou l’équivalent) et/ou avoir acquis une expérience en développement économique communautaire et /ou en développement d’entreprise; Expérience et/ou connaissance du processus de développement économique...

Proposez des lieux de géocaches!

Récemment a eu lieu l’annonce officielle des projets communautaires financés pour le Canada 150, durant laquelle le projet « Découvrons nos communautés avec le 150e du Canada » a été annoncé. En effet, le CÉCS s’est donné comme objectif de créer 150 géocaches bilingues à travers la province. Cependant, nous ne pouvons réaliser cet objectif sans l’aide des communautés francophones de la province. Pour ce faire, nous avons développé un...
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Actualité économique

Anonym
/ Catégories: Politique

Le CLO en Cour fédérale « L’agent du Parlement a abdiqué à son devoir d’indépendance »

Chantal Carey, ancienne adjointe parlementaire de l'ex-député acadien Yvon Godin

Chantal Carey, ancienne adjointe parlementaire de l'ex-député acadien Yvon Godin

La nomination bâclée de Madeleine Meilleur en juin dernier au poste de commissaire aux langues officielles du Canada est contestée en Cour fédérale. La cause de l’Acadienne Chantal Carey a d’abord été rejetée, mais l’étudiante en droit d’Ottawa a déposé un avis d’appel le 24 octobre.

D’après l’ancienne adjointe parlementaire de l’ex-député Yvon Godin, qui a choisi de se représenter elle-même, le premier ministre Justin Trudeau n’a pas suivi la démarche requise pour la nomination de l’officier.

Selon l’article 49 de la Loi sur les langues officielles, la nomination exige une consultation préalable des chefs de l’opposition des deux chambres du Parlement. Il semble que le premier ministre les aurait placés devant un fait accompli lorsqu’il les a informés de son choix le 8 mai.

Le réflexe de Chantal Carey a été de demander une enquête du Commissariat aux langues officielles (CLO). Mais l’agence a refusé d’enquêter, prétextant que la nomination n’avait pas eu lieu.

C’est une erreur de droit, soutient-elle, le premier ministre n’ayant pas agit conformément à la Loi. Comme le temps alloué pour contester était dépassé, elle a déposé en Cour fédérale une demande de prorogation du délai afin de présenter ensuite une demande de contrôle judiciaire. Mais la Cour a refusé d’entendre sa cause.

Un devoir d’indépendance

Dans son avis d’appel, l’Acadienne estime que la décision entache la légitimité du Commissariat. Elle dénonce la représentation « inattendue » du CLO par la procureure générale du Canada, au lieu d’avocats indépendants. Elle y voit un conflit d’intérêts, étant donné que la procureure avait participé au processus de nomination de la candidate Meilleur.

« Une alliance entre un agent du Parlement et un membre du Cabinet signifie que l’agent du Parlement a abdiqué à son devoir d’indépendance et de neutralité exigé par la Loi, écrit-elle. Une enquête éventuelle du Commissariat devient inutile sans une tutelle de la Cour. »

Chantal Carey demande que la décision soit renversée et qu’une enquête soit menée sur une violation potentielle de la Loi. Elle demande également à la Cour d’identifier les conditions essentielles pour assurer l’intégrité de l’enquête qu’elle demande au Commissariat.

L’appelante affirme avoir tenté d’alerter la commissaire de l’erreur de droit commise et de ses répercussions. Au bureau du Commissariat, on confirme avoir reçu la correspondance de l’appelante, mais Ghislaine Saikaley ne fera pas de commentaire.

Selon la gestionnaire des Affaires publiques, Sylvie Lépine, « le Commissariat est toujours du même avis qu’au printemps dernier. Comme le processus de nomination n’a pas été complété par le gouvernement, il est trop tôt pour se pencher sur la question. »

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