Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal 24 janvier 2016 26887 Par l'intermédiaire des médias sociaux, M. Wall a déclaré: "je suis convaincu que les maires de la région de Montréal vont poliment rembourser leur part des 10 milliards $ de paiements de péréquation auxquels l'Ouest du pays a contribué".
Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ 26 novembre 2015 35602 SASKATOON - Afin de guider les nouveaux arrivants dans les dédales du processus de recrutement canadien, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a organisé un atelier de préparation à la rédaction de CV et aux entretiens d’embauche le vendredi 20 novembre...
Un marché virtuel pour les producteurs fransaskois ? Un marché virtuel pour les producteurs fransaskois ? SASKATOON - Le 20 novembre dernier des producteurs agricoles fransaskois ont participé à une journée de travail à... 26 novembre 2015 31762
Comment gérer la diversité culturelle au travail ? Comment gérer la diversité culturelle au travail ? REGINA - Vendredi le 6 novembre, à Regina, dans le cadre de la Semaine nationale de l’immigration francophone, le Réseau en immigration... 11 novembre 2015 21161
La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 Fortement touchée par la chute des marchés boursiers et la crise mondiale de 2008, la Fondation fransaskoise (FF) voit... 11 novembre 2015 28327
Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre OTTAWA - Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre, a indiqué mercredi... 4 novembre 2015 19487
Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Depuis le samedi 17 octobre 2015, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan est officiellement devenu Conseil économique et... 21 octobre 2015 28021
7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015 7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015 REGINA - Journée faste, le samedi 17 octobre 2015, pour le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan. Le CCS est officiellement devenu le... 21 octobre 2015 29309
Subway débarque à Gravelbourg 8 octobre 2015 Subway débarque à Gravelbourg GRAVELBOURG - Un restaurant Subway vient d’être inauguré à Gravelbourg. L’arrivée de la chaîne de restauration rapide américaine n’est pas passée inaperçue en ville et pourrait apporter du dynamisme à la localité.
Face à face entre candidats à l’embauche et Maple Leaf 1 octobre 2015 Face à face entre candidats à l’embauche et Maple Leaf SASKATOON - Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan a organisé une mini-foire de l’emploi à Saskatoon, le 24 septembre dernier. En recherche d’employés, l’entreprise Maple Leaf Consumer Foods a rencontré des candidats à l’embauche.
Michel Vézina / 16 juillet 2020 / Catégories: 2020, Éducation, En quelques mots Dans ce temps-là ! À l’époque où j’étais élève à la fin de l’élémentaire, quand arrivait le mois de juin, nous étions assez intenables dans les classes. C’était dans les années où il y avait encore la septième année dans le système scolaire du Québec et c’est dans cette classe où il y avait des examens qui nous menaient à deux étapes : la communion solennelle et la possibilité d’aller au cours classique. Mais, dans les années précédentes, nos préoccupations étaient d’un bien autre ordre. La fête de la Saint-Jean-Baptiste marquait le début des vacances estivales. Les classes s’étaient terminées la veille et on avait vidé nos pupitres. Plus de devoirs. Plus de leçons. Plus de textes à apprendre par cœur puis à réciter en classe. Plus de dictées. Plus de discipline. Plus de… Etc. C’était la liberté jusqu’à la fête du Travail en septembre et plus précisément jusqu’à l’Exposition de Québec dont la fin marquait habituellement le retour à l’école. Toujours à cette époque, les écoles n’étaient pas encore mixtes. Il y avait le collège des gars et le couvent des filles. Et à notre âge, on ne se préoccupait guère de l’autre sexe. On était une « gang » de gars qui vivaient pendant toute une année ensemble avec nos hauts et nos bas, nos bagarres, nos chicanes mais aussi nos amitiés, nos expériences. L’été, il n’y avait pas dans notre région d’organisation qui encadrait notre été. On était à 9 km de Québec et c’était la campagne ; pas de communication facile avec la grande ville. Pas de camp de jour ou de camp d’été ; presque pas d’infrastructure pour jouer à la balle ou autre. Nous devenions donc nos propres organisateurs de loisirs. Autour de chez nous, il y avait encore plusieurs espaces vagues et même un petit boisé que les gens appelaient « la clavette », parce qu’il y avait un petit ravin au fond de celui-ci. Aussitôt levés, nous nous retrouvions dehors en compagnie de nos copains de l’année scolaire car nous venions à peu près tous du même coin du village et nos familles se connaissaient de longue date. On était une bande de p’tits gars car il y avait peu de filles dans nos familles et les quelques-unes du coin étaient plus vieilles que nous et avaient bien d’autres préoccupations. Nous étions assez nombreux pour organiser des parties de balle molle, ou pour jouer au « drapeau ». N’en déplaise aux puristes, nous avons joué assez souvent aux cowboys et aux Indiens ; et il y avait les jeux de cachette. Et puis le petit boisé nous permettait d’explorer des terres inconnues à la recherche d’un trésor laissé par un pirate : on ne savait jamais ! On ne passait à la maison que pour manger et pour dormir. Il y avait aussi les soirs où on allait voir la télévision dans la vitrine d’un magasin pas trop loin de chez nous, question de voir ce nouveau média intriguant et à l’époque hors de prix pour nos parents. Et il y avait aussi le petit magasin du coin qui vendait des « bonbons » à la « cenne », de quoi nous faire rêver. C’était l’entourage que nous avions. Ça nous a permis de nous développer selon ce qui existait dans ce temps-là. Aujourd’hui, autre temps, autres mœurs. Nos jeunes vivent leur développement et leur expérience dans un nouveau contexte qu’ils se remémoreront quand ils auront atteint un âge vénérable et regarderont le monde de leurs enfants et petits-enfants. C’était comme ça dans ce temps-là ! Bonnes vacances ! Imprimer 20682 Michel VézinaMichel Vézina Autres messages par Michel Vézina Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.