Nouveau système d'abonnement Fonds l'Eau vive banniere
Close
Le francothon s'en vient Le francothon s'en vient

Le francothon s'en vient

Campagne de financement de la Fondation fransaskoise

13704

C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.

Êtes-vous business? Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et...
40786
RSS
Première789101112131416
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
RSS
12345678910Dernière

Actualité économique

Jean-Pierre Picard

Troisième vague de compressions en cinq ans à Radio-Canada

Reste-t-il du gras à couper?

Image
En dollars CN. Sources : Rapport Analyse du soutien public accordé à la radiodiffusion publique et aux autres instruments culturels au Canada – Préparé par Nordicity, Octobre 2013

Depuis 2009, la Société Radio-Canada (SRC) a dû subir trois vagues de coupures. Vers quel modèle de radio publique nous dirigeons-nous? Les choix, qui ont déjà commencé à se faire à Montréal pour la programmation nationale, laissent présager du pire. La saison de la chasse aux cotes d’écoute serait-elle maintenant ouverte pour la société d’État?

Le mandat de la SRC, énoncé dans la Loi sur la radiodiffusion de 1991, stipule que la Société Radio-Canada devrait offrir des services de radio et de télévision qui renseignent, éclairent et divertissent. La SRC remplit-elle toujours ce mandat? Divertir, ça va très bien, même si le divertissement se fait de plus en plus à l'intention des anorexiques culturels. (Avez-vous écouté À la semaine prochaine récemment)? Informer, ça va aussi, même si on explique de moins en moins. Ce qui nous amène à la partie « éclairer » du mandat qui, il faut le dire, connaît des heures sombres. Où sont les magazines culturels, les dossiers sur les grands enjeux d’ici et d’ailleurs, les émissions qui font réfléchir?

Il y a 25 ans, la SRC disposait des ressources pour être un véritable catalyseur culturel en région. On peut lire dans la présentation de 50 ans de radio, tant de choses à chanter, un coffret de chansons d’artistes d’ici enregistrées par la SRC : « La radio française apporte un soutien direct et concert aux artistes francophones de la Saskatchewan. Elle fait la promotion de leurs produits et s’associe à de multiples initiatives de développement et de formation. » Époque révolue? Le studio où ont été enregistrées ces chansons a été démantelé.

Que pourra bien donner la rencontre de consultation de la SRC, le 29 avril prochain à Edmonton (et en Webdiffusion), puisque les décisions semblent prises en termes des postes coupés et des émissions affectées? Cette rencontre est-elle uniquement un exercice de relations publiques autour du thème Comment faire plus avec moins?

Être rentable ne devrait pas faire partie de l’équation radio-canadienne. En 2011, le financement public de la société d’État était l’un des plus modestes au monde. (Voir tableau ci-dessous) et on parle encore de le diminuer. Le chroniqueur Marc Cassivi de la Presse a bien résumé l’état de la situation lorsqu’il écrit « Il reste que l’on a suffisamment coupé dans le gras depuis cinq ans pour atteindre le muscle, et bientôt des organes vitaux. »

Recherche et collaboration: Michèle Fortin

Imprimer
25849
 

Jean-Pierre PicardJean-Pierre Picard

Autres messages par Jean-Pierre Picard
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top