Le francothon s'en vient Le francothon s'en vient Campagne de financement de la Fondation fransaskoise 2014-04-12 18:00 14119 C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.
Le dollar canadien inquiète les immigrants Le dollar canadien inquiète les immigrants 6 mars 2014 25172 Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants?
Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur. 27 février 2014 37125
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Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... 20 février 2014 41204
Michel Vézina / 6 novembre 2014 / Catégories: 2014, Société, Guerre et enjeux militaires, En quelques mots De guerre lasse! 2014 marque le centième anniversaire de ce que l’on appelle la « Première Guerre mondiale ». Il y a eu de très intéressants reportages à la télévision sur ce conflit dont récemment une série à Radio-Canada (à RDI), « La grande guerre des nations », ce dernier se penchant davantage sur les causes et surtout les conséquences plutôt que sur les affrontements en soi. Actuellement, on ne peut faire autrement que de se poser des questions sur le pourquoi des conflits au Moyen-Orient, en Afrique, tout comme on se questionnait sur le conflit qu’il y a eu dans les Balkans, suite au démantèlement de la Yougoslavie. Une bonne partie de la réponse se trouve dans la désagrégation de deux grands empires qui étaient parmi les belligérants de la Première Guerre mondiale : l’empire Austro-Hongrois et l’empire Ottoman. Les termes de l’Armistice ayant plus ou moins été respectés en 1918, la naissance, et surtout dès celle-ci, l’échec de la Société des Nations (l’ONU de l’époque), le déferlement des nationalismes libérés des empires, les tracés plus ou moins arbitraires des frontières, la colonisation systémique par les autres empires français et anglais surtout, constitueront le germe de la Seconde Guerre mondiale (certains parlent continuation ou de reprise de la Première Guerre mondiale) en 1939 et à la régionalisation des conflits comme on les connaît aujourd’hui. L’histoire du monde nous apprend que ce n’est pas d’aujourd’hui que les conflits existent. Si vous vous souvenez de vos cours d’histoire, les affrontements remontent au début du monde dit civilisé aussi loin que les écrits ou les traces de mémoire peuvent nous le rappeler. On retrouve des Fransaskois sur les divers champs de bataille du XXe siècle. Lors de la Première Guerre mondiale, particulièrement les colons d’origine française récemment arrivés, vont aller sur le front européen défendre leur pays d’origine : ce devait être un conflit de courte durée qui serait terminé à Noël 1914. Il faudra attendre l’automne 1918 pour en voir la fin. La grippe espagnole suivra et de multiples conflits entre les deux guerres. En 1939, le Canada entre en guerre très rapidement après la déclaration de l’Angleterre. Tout comme pendant le premier conflit mondial, il faudra en venir à la conscription. L’effort de guerre sera coûteux en combattants pour le Canada dont de nombreux Fransaskois. En Saskatchewan, on a donné le nom à de nombreux sites géographiques en hommage aux soldats tombés au champ d’honneur. Regardez une carte toponymique de la Saskatchewan et vous trouverez de nombreux lacs, de multiples rivières, plusieurs sommets et autres endroits géographiques qui portent des noms francophones. Le 11 novembre, c’est un moment de souvenir pour toutes celles et tous ceux qui ont donné leur vie pour préserver la liberté et obtenir la paix sur cette planète. Et ils sont encore nombreux à avoir cet idéal. C’est pourquoi on leur doit notre pensée, notre estime, notre fierté et surtout on leur doit l’espoir de la PAIX! Imprimer 25940 Balises: Jour du souvenir Michel VézinaMichel Vézina Autres messages par Michel Vézina Contacter l'auteur Articles connexes La guerre : un échec de l’humanité ! Le jour du Souvenir, mais le souvenir de qui ? Une journée de souvenirs à Gravelbourg Les élèves fransaskois honorent la mémoire des anciens combattants Jour du souvenir : le grand rapatriement Jour du souvenir « La guerre résout très peu », John Babcock Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg « C'est une victoire, parce que j'en suis sorti vivant » Roland Dorgelès (1885-1973), Les Croix de bois (1919) Enrôlez-vous, qu'ils disaient! Comments are only visible to subscribers.