Le francothon s'en vient Le francothon s'en vient Campagne de financement de la Fondation fransaskoise 2014-04-12 18:00 14229 C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.
Le dollar canadien inquiète les immigrants Le dollar canadien inquiète les immigrants 6 mars 2014 25352 Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants?
Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur. 27 février 2014 37204
AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg Le Centre culturel Maillard a été l’hôte de l’assemblée générale annuelle (AGA) de la Chambre... 23 février 2014 28073
Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... 20 février 2014 41292
Emmanuel Masson / 8 novembre 2021 / Catégories: Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises L’Eau vive, dépositaire de la mémoire fransaskoise À travers ses milliers de numéros publiés depuis 1971, L’Eau vive se fait le témoin privilégié de l’histoire de la fransaskoisie. La Société historique de la Saskatchewan (SHS) s’est donné pour mission d’archiver cette mémoire. « L’Eau vive témoigne de la vitalité de la communauté fransaskoise, de ses événements, de la présence de ses membres, de ses succès et défis », avance Alexandre Chartier, directeur général de la Société historique de la Saskatchewan (SHS). « Perdurer pour l’éternité » Par le biais de son Centre des archives fransaskoises, la SHS compte numériser tous les numéros de L’Eau vive publiés entre 1971 et 1998, soit 1 095 éditions, ou pas moins de 16 000 pages. « La numérisation devrait se terminer à l’été prochain », indique Alexandre Chartier. Le plus difficile sera, en fait, de tout indexer. « On a démarré un programme d’indexation unique au Canada. On va créer des mots-clés et descriptions associés aux articles. L’indexation va aider dans les recherches sur des thématiques larges en ciblant des périodes, des auteurs, des titres… » Un travail d’autant plus essentiel que sans cette indexation, une recherche dans les archives serait comme chercher une aiguille dans une botte de foin. « Un objet mal référencé est un objet mort. Les chercheurs ne pourront pas le trouver », ponctue le responsable. Une dizaine de bénévoles travaillent sur ce projet d’indexation qui, lui, devrait prendre une dizaine d’années à accomplir. « On parle de 40 000 à 50 000 articles au total », précise le directeur de la SHS qui travaille avec la Cité universitaire francophone de l’Université de Regina pour recruter des étudiants. Un outil de recherche Cette numérisation et cette indexation des pages du journal visent ainsi à constituer un patrimoine accessible aux générations futures, mais pas seulement. « On travaille avec un comité de chercheurs universitaires qui ont besoin de travailler avec les archives de l’Eau vive. Le projet de numérisation va consolider et répondre à ce besoin d’accès », explique Alexandre Chartier. « Le journal est un élément fondamental pour la recherche historique, que ce soit pour les chercheurs, les étudiants ou les journalistes. On a beaucoup de demandes de recherche privée ou publique, de France, Belgique, Norvège, Japon, Allemagne… Souvent en lien avec l’immigration, la colonisation de l’Ouest canadien et les mélanges culturels », témoigne le directeur de la SHS. Imprimer 8633 Balises: 50 ans de l'Eau vive Emmanuel MassonEmmanuel Masson Autres messages par Emmanuel Masson Contacter l'auteur Articles connexes Album de l'histoire de l'Eau vive L’Eau vive à l’ère du numérique L’Eau vive, un reflet de la communauté Cinquante ans de défis et de combats Les bons coups de L’Eau vive Les premières pages d’histoire de L’Eau vive Comments are only visible to subscribers.