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Pour les francophones comme pour les anglophones: À la conquête de... Pour les francophones comme pour les anglophones: À la conquête de... 4 décembre 2014 23215 Grâce à des investissements considérables du secteur privé au sein de l’économie, ses salaires élevés et son taux de chômage largement inférieur à la moyenne nationale, l’Ouest canadien offre des perspectives de carrières intéressantes.
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Lauriers de la PME: L'entreprise saskatchewannaise Over the Hill... Lauriers de la PME: L'entreprise saskatchewannaise Over the Hill... Cette année, c’est l’entreprise saskatchewanaise Over the Hills Orchards qui s’est vu remettre le prix pour la... 20 novembre 2014 26455
Lauriers de la PME 2014 : Dévoilement des entreprises finalistes Lauriers de la PME 2014 : Dévoilement des entreprises finalistes Ottawa – Le RDÉE Canada a divulgué le nom des 29 entreprises finalistes du concours des Lauriers de la PME 2014. Le... 16 octobre 2014 17775
Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois Employé de la société d’État Financement agricole Canada (FAC), Thomas Chevalier poursuit conjointement le... 16 octobre 2014 26279
L'économie crée 74 100 emplois en septembre; le taux de chômage recule... L'économie crée 74 100 emplois en septembre; le taux de chômage recule... OTTAWA _ Le marché canadien de l'emploi a rebondi en septembre en créant 74 100 nouveaux postes, faisant reculer le taux de... 13 octobre 2014 24989
Un forum économique tourné « VERT » l’avenir Un forum économique tourné « VERT » l’avenir Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) a tenu un forum économique à l’hôtel Ramada de Regina les... 9 octobre 2014 24909
4 octobre 2014 Un projet de piégeage du carbone lancé en Saskatchewan attire l'attention Saskpower a lancé son projet de piégeage et stockage du dioxyde de carbone, présenté comme le premier programme de la sorte à échelle commerciale au monde.
3 octobre 2014 Ça décolle pour la Saskatchewan Les autorités aéroportuaires de Regina Saskatoon, Tourism Saskatchewan, Tourism Regina et Tourism Saskatoon s’unissent pour promouvoir la Saskatchewan comme destination touristique de choix.
Pam Bristol / 30 juin 2016 / Catégories: 2016, S'exprimer autrement Rencontre avec Arbely Rubalcava, enseignante de yoga à Regina « Pratiquez, pratiquez, pratiquez et tout viendra. » - K. Pattabhi Jois Je pratique le yoga à Yoga Mala, un studio à Regina. Une de mes enseignantes est Arbely Rubalcava, une femme de 26 ans qui a un comportement plus mature que son âge. Chaque leçon, pendant que je luttais avec ma posture de l’arc inversé, je voyais sur le tapis a côté du mien cette jeune femme en train de faire cette posture, à placer les mains derrière la tête et vers le plancher, jusqu'à rejoindre les chevilles, sans une goutte de sueur. Au début d'avril dernier, Arbely est revenue de l'Inde où elle avait étudié l'Ashtanga pendant trois mois. Elle était allée à la ville de Mysore, le centre du monde pour ce style de yoga. Depuis la mort en 2009 de Pattabhi Jois, fondateur de l'Ashtanga, son petit-fils, Sharath Jois, enseigne dans son centre d'études situé dans une banlieue très touristique. Même si la ville compte près d’un million habitants, on se sent dans une plus petite ville, belle et pleine de restaurants et magasins. Arbely dit que le centre d'Ashtanga attire les gens de partout dans le monde, et qu’il y a en moyenne 300 étudiants chaque mois. Au fond, l`Ashtanga est un voyage personnel que chaque personne doit suivre elle-même. Pour pratiquer le style de Mysore, il faut apprendre et mémoriser chaque pose avant de passer à la suivante. Sharath observe et donne les ajustements nécessaires mais ne guide pas les étudiants pour compléter chaque pose : les étudiants doivent faire ce travail eux-mêmes. Si c'est bien évident que l'étudiant n'a pas encore maîtrisé la pose, Sharath lui demande de la raffiner avant d’avancer. Arbely a trouvé Sharath plus sévère que les enseignants au Canada. Elle a dû revoir quelques poses qu’elle pensait avoir déjà maîtrisées ici. Les sessions de Mysore commençaient à quatre heures du matin et duraient jusqu`à 11 heures. Parce que l'espace était limité, les étudiants devaient attendre, en faisant la queue, jusqu'à ce qu’un espace se libère. À quatre heures on n'attendait pas, mais à neuf heures on attendait pendant une heure. Pourquoi subir ces épreuves? Le yoga, et particulièrement l`Ashtanga, offre beaucoup de bénéfices, explique Arbely. Bien sûr le corps devient plus souple, plus fort. Mais, pour elle, les bénéfices les plus importants sont cérébraux – une meilleure concentration, plus d’énergie et un meilleur équilibre. « Avec une pratique régulière je peux maintenir des pensées plus positives, » affirme-t-elle. Puisqu’elle était une gymnaste compétitive, elle fait des progrès rapidement. Mais pour elle la base du yoga n'est pas l'athlétisme. C'est la respiration. On se concentre sur la respiration et on est dans le moment. « Vous ne vous inquiétez pas de l'avenir, ni du passé; c'est seulement le moment présent qui existe. » Elle suit la philosophie du yoga aussi à l’extérieur du studio. Un des chemins du yoga est le service, c'est-à-dire rendre service aux gens qui en ont besoin. Par exemple, elle est allée en Inde en 2014 pour faire un stage pour son diplôme de kinésiologie. Elle a travaillé dans un centre de réhabilitation dans un petit village rural avec des enfants handicapés. Même si elle ne parlait pas leur langue et qu’ils ne parlaient ni anglais, ni français, elle a trouvé un moyen de communiquer, de faire de la thérapie et d’enseigner le yoga. Un jeune garçon continue sa pratique jusqu'à maintenant. Elle souhaite retourner à Mysore l`hiver prochain pour continuer ses études avec Sharath. Et elle a des conseils pour les gens qui considèrent établir une pratique de yoga: « pratiquer pour pratiquer, pas pour avancer vite ou dans un but aggressif.». Ça, c'est le secret du yoga. Et ça me rassure. Imprimer 26528 Pam BristolKenneth Bos Autres messages par Pam Bristol Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.