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Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal

Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal

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Par l'intermédiaire des médias sociaux, M. Wall a déclaré: "je suis convaincu que les maires de la région de Montréal vont poliment rembourser leur part des 10 milliards $ de paiements de péréquation auxquels l'Ouest du pays a contribué". 

Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’

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SASKATOON - Afin de guider les nouveaux arrivants dans les dédales du processus de recrutement canadien, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a organisé un atelier de préparation à la rédaction de CV et aux entretiens d’embauche le vendredi 20 novembre...
Comment gérer la diversité culturelle au travail ? Comment gérer la diversité culturelle au travail ?

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REGINA - Vendredi le 6 novembre, à Regina, dans le cadre de la Semaine nationale de l’immigration francophone, le Réseau en immigration...
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La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008

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Fortement touchée par la chute des marchés boursiers et la crise mondiale de 2008, la Fondation fransaskoise (FF) voit...
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Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Le CCS repense son identité et devient le CÉCS

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Depuis le samedi 17 octobre 2015, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan est officiellement devenu Conseil économique et...
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REGINA - Journée faste, le samedi 17 octobre 2015, pour le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan. Le CCS est officiellement devenu le...
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Subway débarque à Gravelbourg

GRAVELBOURG - Un restaurant Subway vient d’être inauguré à Gravelbourg. L’arrivée de la chaîne de restauration rapide américaine n’est pas passée inaperçue en ville et pourrait apporter du dynamisme à la localité.

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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
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Actualité économique

Pam Bristol
/ Catégories: 2016, S'exprimer autrement

Rencontre avec Arbely Rubalcava, enseignante de yoga à Regina

« Pratiquez, pratiquez, pratiquez et tout viendra. » - K. Pattabhi Jois

Je pratique le yoga à Yoga Mala, un studio à Regina. Une de mes enseignantes est Arbely Rubalcava, une femme de 26 ans qui a un comportement plus mature que son âge. Chaque leçon, pendant que je luttais avec ma posture de l’arc inversé, je voyais sur le tapis a côté du mien cette jeune femme en train de faire cette posture, à placer les mains derrière la tête et vers le plancher, jusqu'à rejoindre les chevilles, sans une goutte de sueur.

Au début d'avril dernier, Arbely est revenue de l'Inde où elle avait étudié l'Ashtanga pendant trois mois. Elle était allée à la ville de Mysore, le centre du monde pour ce style de yoga. Depuis la mort en 2009 de Pattabhi Jois, fondateur de l'Ashtanga, son petit-fils, Sharath Jois, enseigne dans son centre d'études situé dans une banlieue très touristique. Même si la ville compte près d’un million habitants, on se sent dans une plus petite ville, belle et pleine de restaurants et magasins. Arbely dit que le centre d'Ashtanga attire les gens de partout dans le monde, et qu’il y a en moyenne 300 étudiants chaque mois.

 

Au fond, l`Ashtanga est un voyage personnel que chaque personne doit suivre elle-même. Pour pratiquer le style de Mysore, il faut apprendre et mémoriser chaque pose avant de passer à la suivante. Sharath observe et donne les ajustements nécessaires mais ne guide pas les étudiants pour compléter chaque pose : les étudiants doivent faire ce travail eux-mêmes. Si c'est bien évident que l'étudiant n'a pas encore maîtrisé la pose, Sharath lui demande de la raffiner avant d’avancer. Arbely a trouvé Sharath plus sévère que les enseignants au Canada. Elle a dû revoir quelques poses qu’elle pensait avoir déjà maîtrisées ici.

 

Les sessions de Mysore commençaient à quatre heures du matin et duraient jusqu`à 11 heures. Parce que l'espace était limité, les étudiants devaient attendre, en faisant la queue, jusqu'à ce qu’un espace se libère. À quatre heures on n'attendait pas, mais à neuf heures on attendait pendant une heure.

 

Pourquoi subir ces épreuves? Le yoga, et particulièrement l`Ashtanga, offre beaucoup de bénéfices, explique Arbely. Bien sûr le corps devient plus souple, plus fort. Mais, pour elle, les bénéfices les plus importants sont cérébraux – une meilleure concentration, plus d’énergie et un meilleur équilibre. « Avec une pratique régulière je peux maintenir des pensées plus positives, » affirme-t-elle.

 

Puisqu’elle était une gymnaste compétitive, elle fait des progrès rapidement. Mais pour elle la base du yoga n'est pas l'athlétisme. C'est la respiration. On se concentre sur la respiration et on est dans le moment. « Vous ne vous inquiétez pas de l'avenir, ni du passé; c'est seulement le moment présent qui existe. »

 

Elle suit la philosophie du yoga aussi à l’extérieur du studio. Un des chemins du yoga est le service, c'est-à-dire rendre service aux gens qui en ont besoin. Par exemple, elle est allée en Inde en 2014 pour faire un stage pour son diplôme de kinésiologie. Elle a travaillé dans un centre de réhabilitation dans un petit village rural avec des enfants handicapés. Même si elle ne parlait pas leur langue et qu’ils ne parlaient ni anglais, ni français, elle a trouvé un moyen de communiquer, de faire de la thérapie et d’enseigner le yoga. Un jeune garçon continue sa pratique jusqu'à maintenant.

 

Elle souhaite retourner à Mysore l`hiver prochain pour continuer ses études avec Sharath. Et elle a des conseils pour les gens qui considèrent établir une pratique de yoga: « pratiquer pour pratiquer, pas pour avancer vite ou dans un but aggressif.».  Ça, c'est le secret du yoga. Et ça me rassure. 

 

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Pam BristolKenneth Bos

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