Tourisme francophone en milieu minoritaire Tourisme francophone en milieu minoritaire Un outil économique pour nos communautés 12 juin 2015 23692 Mais le tourisme de proximité n’est pas adapté aux dimensions du Canada. Visiter les communautés francophones reste néanmoins un marché en plein essor.
Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg « On voit maintenant l’impact de l’économie francophone ». – Mariette Mulaire 20 mai 2015 32222 WINNIPEG - Fin avril 2015, les 300 membres de l’Association internationale des WTC ont élu Mariette Mulaire à leur Conseil d’administration.
Départ à la retraite de Robert Carignan Départ à la retraite de Robert Carignan Après plus de 11 ans au service du CCS, Robert Carignan a fait le saut vers la retraite le 31 mars dernier. 20 mai 2015 32300
L'université Yale confirme l'efficacité d'un programme contre la pauvreté L'université Yale confirme l'efficacité d'un programme contre la pauvreté Une étude menée dans six pays conclut qu'un programme fournissant du bétail et une formation pour le rentabiliser peut aider... 14 mai 2015 20887
Entente entre le RDÉE et le Conseil de la coopération de l’Ontario Entente entre le RDÉE et le Conseil de la coopération de l’Ontario Un protocole de collaboration a été signé le 30 avril dernier à Toronto entre le Réseau de... 13 mai 2015 19330
En route vers l’authenticité locale En route vers l’authenticité locale ST-DENIS - Le dimanche 26 avril, après un dernière petite chute de neige imprévue (on l’espère), la ferme... 7 mai 2015 32575
Un fonds pour le développement économique communautaire Un fonds pour le développement économique communautaire REGINA - Avec le Francothon qui arrive à grands pas, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) a annoncé, le... 30 avril 2015 27733
Le dernier budget Harper avant le retour aux urnes Le dernier budget Harper avant le retour aux urnes OTTAWA – Bien que certains groupes, dont les organismes porte-parole des francophones vivant en situation minoritaire, estiment avoir... 30 avril 2015 24411
Des nouveaux fonds à la Fondation fransaskoise 29 avril 2015 Des nouveaux fonds à la Fondation fransaskoise La Revue historique et la sauvegarde du patrimoine fransaskois bénéficieront de nouveaux outils de financement.
La CCB sera détenue par une entreprise appartenant en partie à des Saoudiens 23 avril 2015 La CCB sera détenue par une entreprise appartenant en partie à des Saoudiens WINNIPEG Le gouvernement canadien a fait un pas de plus vers la privatisation de la Commission canadienne du blé (CCB) en concluant une entente avec une entreprise appartenant en partie à des intérêts saoudiens
Jean-Pierre Picard / 10 novembre 2017 / Catégories: 2017, SHS - Société historique, Communication La SHS suspend la publication de la Revue historique REGINA - Coup de théâtre dans le monde de l’édition fransaskoise : la Société historique de la Saskatchewan (SHS) a annoncé, le 26 octobre 2017, qu’elle suspendait la publication de la Revue historique 27 ans après le lancement de son premier numéro, en octobre 1990. La SHS a évoqué des raisons financières pour expliquer cette mesure. C’est l’historien et dramaturge Laurier Gareau qui a fondé la revue en octobre 1990 et en a assuré la publication pendant un quart de siècle. Selon lui, cette publication a joué un rôle considérable pour faire connaître la SHS. « Très peu de gens connaissaient la SHS. C’était une association invisible, à part les livres qu’elle publiait. » Vers la fin des années 90, l’organisme avait choisi de lier l’adhésion des membres à l’abonnement à la revue. Le nombre de membres était ainsi passé d’environ 25 à 250. Aujourd’hui, la SHS compte 180 membres. Selon monsieur Chartier, cette diminution est principalement due au décès de membres plus âgés. Monsieur Gareau considère que le moment est venu pour la SHS de se pencher sur sa raison d’être. « Elle existe pour quoi maintenant, si on cesse de publier la revue? Le dernier livre de la SHS date de 2010. Oui, les Journées du Patrimoine et les ateliers scolaires c’est très bien, mais pour le grand public qui n’assiste pas à ces activités, la SHS est en train de redevenir invisible. » Pour Monsieur Chartier, les nouvelles activités de la SHS représentent une adaptation de l’organisme aux nouvelles réalités de la communauté fransaskoise où il est de plus en plus question d’inclusion des nouveaux arrivants. « L’inclusion passe par le connaissance de l’histoire, par une compréhension de ce qu’ont vécu ceux qui étaient là avant nous » explique-t-il. En ce qui a trait à la revue, monsieur Chartier souligne que le but visé n’est pas sa disparition, mais d’envoyer un « message choc » à la communauté. La communauté veut-elle ce magazine? Et si oui, peut-on s’assurer de trouver les ressources permettant d’en assurer la publication ? Monsieur Gareau considère que l’adoption d’un format magazine de haute qualité et l’augmentation du nombre de pages (de 40 à 68) ont entraîné une perte de contrôle des coûts. « Ce format là nous l’avions déjà envisagé, mais seulement si nous pouvions avoir un partenariat avec les provinces voisines avec un plus grand potentiel de marché et de vente publicitaire. Sauf que les deux autres provinces n’ont pas embarqué. Aller de l’avant sans partenaires, pour moi, ce fut une erreur. » Pour monsieur Chartier, le problème n’est pas le format de la revue. « Ce ne sont pas les frais d’impression mais plutôt le travail lié à l’édition et à la recherche qui représente la principale dépense. » Il faut noter que pendant les années précédentes, Laurier Gareau faisait le travail d’édition, de rédaction et de mise en page bénévolement. « Il nous faut un éditeur derrière et quelqu’un qui gère la revue. C’est là le défi et il nous faut trouver des fonds. » Monsieur Chartier se dit ouvert à considérer une collaboration avec d’autres organismes qui œuvrent dans le domaine de l’édition, comme la Coopérative des publications fransaskoises et les Éditions de la nouvelle plume. Si la revue reprend sa publication, monsieur Gareau considère qu’il sera important d’en assurer une publication régulière. « Lorsque j’ai quitté la revue, il y avait trois numéros publiés par année. Au cours des derniers 2 ans et demi, il y a eu seulement 2 numéros publiés. C’est important de créer une habitude et une régularité pour fidéliser les lecteurs. » Imprimer 31153 Balises: Laurier GareauRevue historique Liens à visiter Société historique de la Saskatchewan Jean-Pierre PicardJean-Pierre Picard Autres messages par Jean-Pierre Picard Contacter l'auteur Articles connexes Soirée Ôde à Laurier Gareau À la découverte de Laurier Gareau Laurier Gareau nommé membre de l’Ordre du Canada Une troisième édition pour La trahison Rendez-vous avec Laurier Gareau Laurier Gareau reçoit le Prix d’honneur Saint-Jean Lancement d'un premier roman pour Laurier Gareau Laurier Gareau récompensé par le Saskatchewan Book Awards Comments are only visible to subscribers.