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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

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Actualité économique

L'Eau vive
/ Catégories: 2016, Communautaire, Littérature

Laurier Gareau reçoit le Prix d’honneur Saint-Jean

Le Campus Saint-Jean honore un de ses anciens étudiants

Laurier Gareau honoré par la Campus St-Jean

Laurier Gareau honoré par la Campus St-Jean

Laurier Gareau (a gauche) recevant le prix d’honneur Saint-Jean du doyen du Campus Saint-Jean, Pierre-Yves Moquais.

Photo: Jean-Pierre Picard (2016)
SASKATOON - Le 5 novembre dernier, à l’occasion du Rendez-vous fransaskois qui se tenait à Saskatoon, le doyen du Campus Saint-Jean, Pierre-Yves Mocquais, a remis le prestigieux Prix d’honneur Saint-Jean à Laurier Gareau.

Le Prix d’honneur Saint-Jean est le plus grand honneur que le Campus puisse conférer à l’un de ses anciens étudiants. Il reconnaît annuellement des personnes qui sont des chefs de file dans leur domaine. « Lorsque l’on regarde la feuille de route de Laurier Gareau, son énorme contribution au développement artistique, culturel et historique de la communauté fransaskoise, et ce, depuis plus de 40 ans, il ne fait aucun doute que cet honneur est amplement mérité », a déclaré Pierre-Yves Mocquais. 

Détenteur d’un baccalauréat ès arts obtenu en 1974, alors que le Campus Saint-Jean portait le nom de Collège universitaire Saint-Jean, Laurier Gareau a amorcé son implication culturelle en 1973 en tant que membre fondateur de la Francophonie jeunesse de l’Alberta (FJA). Entre 1975 et 1981, il a œuvré au sein de la communauté fransaskoise de Regina, parfois avec le Théâtre amateur français, le Centre culturel et l’ACFR. Après avoir terminé sa maîtrise en 1986, il est revenu en Saskatchewan où il a œuvré comme employé du Conseil culturel fransaskois (CCF) jusqu’à sa retraite en 2013. Au CCF, il a été animateur théâtral dans les écoles (1989-1990) et responsable de la programmation scolaire (1992-2013). Il fut instrumental dans la mise en place du Réseau des grands espaces (2003) et du Réseau de diffusion de spectacles de la Saskatchewan (2004). 

Un grand passionné de l’histoire de la communauté fransaskoise, Laurier a été un des membres fondateurs de la Société historique de la Saskatchewan en 1978 et a siégé à quatre reprises comme président de l’organisme entre 1991 et 2005. Il a créé la Revue historique en 1990 et en a été le rédacteur pendant 25 ans jusqu’en mars 2015. Il a écrit et fait publier trois livres et plus de 500 articles sur l’histoire des Fransaskois.

Il a gagné deux fois le Prix du livre français du Saskatchewan Book Awards. Une fois en 2002 pour 50 ans de radio, Tant de choses à se dire et une autre fois en 2015 pour Green Mustang. Il a aussi été finaliste en 2004 (La trahison) et en 2006 (Sur nos bancs d’école). Laurier Gareau a été intronisé au Temple de la renommée du théâtre Margaret Woodward (Saskatchewan) en 2004 pour sa contribution au théâtre fransaskois. Le gouvernement de la Saskatchewan lui a remis le Saskatchewan Centennial Leadership Award en 2005 pour son travail comme bénévole dans le secteur du patrimoine. La même année, il recevait le Prix Hommage Culture remis par la Fédération culturelle canadienne-française pour une longue contribution au développement culturel et artistique francophone.

En juillet dernier, lors de la Fête fransaskoise, il a lancé son tout premier roman De poussière et de vent, un roman historique qui trace l’histoire d’Hubert Lupien, de sa jeunesse et son passage au Collège Mathieu en 1928 jusqu’à la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

En recevant son prix monsieur Gareau a déclaré «  Je suis fier de la reconnaissance, mais ce que j’ai fait ce n’est pas pour les honneurs. Je voulais simplement contribuer à ma communauté ». Il a tenu à remercier les personnes qui l’ont influencé, dont Laurent Godbout « qui vivait dans ce monde mystérieux du théâtre francophone à Edmonton. », Florent Bilodeau et Rolland Pinsonneault.

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