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Une étape importante pour le postsecondaire francophone en Saskatchewan

SASKATOON - C’est surtout le dossier du postsecondaire qui a retenu l’attention de l’Assemblée des députés communautaires (ADC) de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) lors de sa rencontre à Saskatoon les 6, 7 et 8 mars 2015.

Tuesday, March 10, 2015/Author: Michel Vézina/Number of views (30365)/Comments ()/
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Thursday, March 5, 2015/Author: Frédéric Dupré (Courrier du lecteur)/Number of views (26616)/Comments ()/
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Visite au Carrefour Horizons

Visite au Carrefour Horizons

Le 26 février dernier, les étudiants du Certificat en français langue seconde du Département de français de l’Université de Regina sont venus faire la tournée des organismes fransaskois, logés au Carrefour Horizons de Regina

Thursday, March 5, 2015/Author: Jean-Pierre Picard (EV)/Number of views (27883)/Comments ()/
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Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

REGINA - Le 27 février 2015, Dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, une soixantaine d’élèves de l’École Mgr de Laval, à Regina, ont participé à l’organisation d’une journée d’activités sous la gouverne de Mbaye Biteye, enseignant d’origine sénégalaise. 

Thursday, March 5, 2015/Author: L'Eau vive/Number of views (35632)/Comments ()/
Non à l’intimidation

Non à l’intimidation

Journée du Chandail rose à Gravebourg

Le 25 février, les élèves de l’École Beau Soleil et École secondaire Collège Mathieu, à Gravelbourg ont souligné la journée du Chandail rose, visant à lancer un message contre l’intimidation

Thursday, March 5, 2015/Author: L'Eau vive/Number of views (33135)/Comments ()/

Le Conseil des écoles fransaskoises pleure le décès soudain d’un de ses élèves

St-Isidore-de-Bellevue, le 4 mars 2015 - Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) - en particulier la communauté scolaire de l'École St-Isidore à Bellevue - est en deuil suite au décès de l'un de ses étudiants plus tôt aujourd'hui, comme il a été rapporté dans les médias. 

Wednesday, March 4, 2015/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (27468)/Comments ()/
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L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’institut français est devenu le premier établissement en Saskatchewan reconnu par le Centre de langue française de la CCI Paris Ile-de-France, pour administrer le Test d’évaluation de français (TEF). 

Wednesday, March 4, 2015/Author: La Cité universitaire francophone/Number of views (30446)/Comments ()/
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L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

IQALUIT - On entend rarement parler de l’École des Trois-soleils, à Iqaluit, la plus nordique des écoles françaises de la planète. Même quand ça va mal.

Friday, February 20, 2015/Author: Anonym/Number of views (24259)/Comments ()/
Categories: 2015Éducation
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Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

REGINA - Pour la 3e année consécutive, le carnaval célébrant les cultures métis et canadienne-française a battu son plein à l’école George Lee de Regina le 12 février dernier. Pour l’organisatrice de l’événement, Jessica Irvine, enseignante de français de base à cette école, tous attendaient la journée du carnaval avec impatience et l'événement a été un franc succès. 

Friday, February 20, 2015/Author: Émilie Dessureault-Paquette /Number of views (28842)/Comments ()/
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L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden a célébré la semaine de français/deuxième langue du 2 au 6 février. Le thème cette année était Comment fais-tu vivre le français dans ton école? 

Friday, February 20, 2015/Author: Anne Blais (EV)/Number of views (34580)/Comments ()/
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Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Le Collège Mathieu désire remercier toutes les personnes qui ont consacré du temps aux activités d’apprentissage avec les enfants du 27 janvier au 1er février dernier, dans le cadre de notre programme de littératie familiale. Les activités réalisées, très diversifiées et enrichissantes, visaient à susciter le goût de la lecture pour le développement intellectuel et le bien-être des enfants.

Thursday, February 12, 2015/Author: Collège Mathieu/Number of views (24252)/Comments ()/
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À l’heure de la littératie à Prince Albert

À l'initiative de sa directrice, Sandra Hassan Farah, le Centre éducatif Trésors du Monde de Prince Albert a participé à l'événement 15 minutes de littératie familiale organisé par le Collège Mathieu.

Thursday, February 12, 2015/Author: Ahmed Hassan (EV)/Number of views (30258)/Comments ()/
La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

« Une discussion qui doit avoir lieu » – Donald Michaud

SASKATOON - Pour Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), la place de l’anglais dans les écoles fransaskoises « est une discussion qui doit avoir lieu ». La diversité des niveaux de français représente tout un défi pour le personnel enseignant, certes, mais surtout pour la création d’un environnement social francophone dans l’école.

Thursday, February 5, 2015/Author: Jean-Pierre Picard (EV)/Number of views (36959)/Comments ()/

Éducation fransaskoise : le navire ne prend plus l’eau, mais sait-on où il va?

L’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois était plutôt calme cette année. Je me suis surpris à m’ennuyer des joutes verbales de l’année dernière. Lors de l’AGA de 2014, le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) était en pleine tempête financière, des coupes sévères venaient d’être faites, et tout laissait croire que ce n’était pas fini. Les colonnes de chiffres inquiétaient les parents et ceux-ci l’avaient fait savoir.
Wednesday, February 4, 2015/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (32440)/Comments ()/
L’importance de la lecture avec les enfants

L’importance de la lecture avec les enfants

Selon les résultats des recherches de C.A. Nelson, du Centre du développement de l’enfant de l’Université Harvard, le développement langagier d’un enfant se manifeste longtemps avant le premier balbutiement des mots « mmman » ou « pa, pa, papa ». Les études du développement cérébral révèlent que les neurones et les synapses pour le langage apparaissent trois mois avant la naissance. La croissance de cette zone du cerveau atteint son sommet vers l’âge de 4 ans.

Wednesday, February 4, 2015/Author: Rita Denius (CM)/Number of views (29722)/Comments ()/
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Quand la pandémie pèse lourd sur notre moral

Quand la pandémie pèse lourd sur notre moral

Author: Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – APF /Wednesday, June 3, 2020/Categories: Initiavive de journalisme local - APF, 2020, Société, Santé

Hélène Davis, travailleuse sociale et psychothérapeute

Hélène Davis, travailleuse sociale et psychothérapeute

Crédit : courtoisie
Alors que la Semaine nationale de la santé mentale s’est achevée le 10 mai dernier, beaucoup se demandent quel impact la pandémie de COVID-19 a et aura sur leur bien-être psychique. Aussi, L’Eau vive s’est entretenue avec Hélène Davis, travailleuse sociale, conseillère et psychothérapeute pour Family Service Saskatoon, un organisme à but non lucratif.

Selon vous, quel impact a la pandémie sur notre santé mentale ?

Jusqu’à présent, on a été plus ou moins protégé en Saskatchewan. Il n’empêche que le confinement est très stressant. Ça crée de la dépression, de l’anxiété, des deuils, un peu de ressentiment et de colère même.

Le confinement est particulièrement difficile pour certaines personnes, comme les personnes seules, les aînés ou les malades. Ça vous inquiète ?

J’ai une inquiétude pour les aînés. Je me préoccupe pour ceux qui vivent seuls, qui sont plus ou moins habiles avec les outils comme FaceTime. On doit vraiment s’assurer qu’ils aient des contacts sociaux, ça joue un grand rôle dans la santé mentale. On leur demande de rester chez eux plus que les autres : ils sont encore plus isolés et tournent en rond alors qu’il y a beaucoup d’aînés qui sont très capables et autonomes.

Dans le cadre de votre travail, vous offrez des services de counseling par téléphone. Quel genre de problèmes observez-vous en ce moment ?

Certaines personnes sont très directement affectées par la maladie. Il y a beaucoup d’inquiétude pour les membres des familles qui travaillent dans les services de première ligne. Ils ne peuvent pas les voir car ils suivent un confinement plus rigoureux.

Il y a aussi des difficultés pour la garde partagée des enfants. Un parent peut se dire que l’enfant est plus à risque dans l’autre foyer et l’autre parent se dit que c’est un prétexte pour garder l’enfant. Ça peut aggraver les tensions.

Aussi, les employés doivent se réorganiser avec leurs enfants et leurs responsabilités de télétravail. Ça cause du stress. L’école à la maison n’est pas toujours évidente. Les parents font ce qu’ils peuvent. Ils sont assez débrouillards, mais ce n’est pas égal d’un foyer à l’autre.

À ce propos, est-ce que la déscolarisation peut avoir des conséquences sur l’apprentissage des enfants ?

Les psychologues suggèrent de ne pas trop insister. Il vaut mieux primer la sécurisation de l’enfant dans cette période difficile. Il faut avoir une certaine souplesse et une harmonie à la maison plutôt que d’insister sur l’atteinte d’objectifs scolaires. Tout le monde dans le foyer familial doit faire des accommodements pour vivre de façon plus serrée et essayer de guider le comportement des enfants au lieu d’être rigides.

On parle aussi de la violence domestique qui augmenterait en période de confinement. Est-ce quelque chose que vous constatez ?

Oui, il y a une augmentation. Ces jours-ci, des femmes peuvent être à risque de violence conjugale, et c’est la même chose pour les enfants. C’est souvent par l’entremise de l’école que les enfants signalent un mauvais traitement à la maison. Ils n’ont plus recours à ces autorités s’il y a un problème. Si c’est une situation qui met les gens en péril de façon immédiate, il faut le signaler.

Dans le counseling, on essaye de créer de nouvelles façons de faire pour protéger ces femmes et ces enfants. Mais, pour le moment, certaines personnes sont contraintes à vivre avec telle ou telle situation qui n’est pas idéale. Que ce soit des violences psychologiques, émotionnelles ou physiques.

Vous avez même dû interrompre votre programme Men’s Working Group for Respectful Relationships consacré aux hommes reconnus coupables de violence domestique.

Oui, on regarde les possibilités de l’organiser de façon virtuelle. On avait créé une cohésion au sein du groupe et ils n’ont plus cet appui. On essaye de garder le lien avec eux. Ce qui est difficile, c’est qu’il y a souvent des ordonnances de non-contact vis-à-vis de leur famille tant qu’ils n’ont pas fini le programme. Ça retarde les choses.

D’après vous, peut-on craindre des symptômes de stress post-traumatique une fois la crise sanitaire terminée ?

Certains disent que les symptômes vont apparaître dans les mois qui suivent. Mais je pense que les gens sont sous le choc dès les premières semaines. Je reçois des gens qui ont ce diagnostic dans mon bureau. Ça survient souvent assez rapidement. De plus en plus, on va devoir aider des gens traumatisés, soit parce qu’ils ont été malades et hospitalisés, soit parce qu’ils ont perdu quelqu’un de proche de façon soudaine.

Quelles sont les populations les plus à risque de développer ces symptômes ?

Je pense d’abord aux travailleurs de première ligne qui nous font le récit de leurs souffrances : ils n’ont pas de recours contre la menace et ils ont une responsabilité. Ces gens se retrouvent dans des situations à haut risque. Il y a aussi la question du réaménagement de leur cadre de travail, les frustrations et difficultés de réaménager leur vie quotidienne en fonction des demandes de leur employeur. Ce ne sont pas des changements qui ont été négociés, ça s’est fait rapidement.

Certaines personnes parlent de résilience. Dans quelle mesure cela s’applique-t-il à la crise actuelle ?

La résilience, c’est la capacité de s’adapter, de surmonter les difficultés, de retrouver une situation après une crise, que ce soit au niveau personnel ou communautaire, de pouvoir se rétablir et s’adapter de façon saine. Ce qui va faire la différence pour ceux qui souffrent, c’est de pouvoir  raconter leurs difficultés dans une relation d’aide ou avec des personnes avec qui ils ont un attachement sécurisant.

Vous parlez même de résilience communautaire. Qu’est-ce que ça veut dire et pourquoi est-ce important ?

La résilience communautaire, c’est le fait de pouvoir parler ouvertement sans se faire critiquer et d’être appuyé pour s’exprimer. C’est très important. La résilience n’est pas seulement une affaire de capacités individuelles, c’est aussi l’entraide entre membres d’une communauté. Le psychiatre français Boris Cyrulnik parle de mise en parole d’une difficulté qui est à surmonter. C’est dans un milieu sécurisant qu’on peut atténuer les effets du stress.

Finalement, quels conseils donneriez-vous aux gens qui souffrent de la situation actuelle ?

Il faut essayer de découvrir de nouveaux moyens de rester en contact avec ses proches, que ce soit par visioconférence ou autre. Si le traumatisme est grave, il faut demander de l’aide auprès des services sociaux ou médicaux. Il faut aussi essayer d’être flexible, souple, de ne pas être trop rigide dans ses relations avec la famille. Il faut établir de nouvelles limites et routines, faire une rupture avec le travail, garder un sanctuaire.

Comment reconnaître les symptômes d’un stress post-traumatique (SPT) ?

Parmi les symptômes du SPT les plus courants, on retrouve les cauchemars. En outre, le corps produit plus d’adrénaline pour tenter de fuir la menace, ce qui peut se traduire par des palpitations cardiaques, des tremblements ou des picotements dans les extrémités. Enfin, on parle de dissociation : une personne traumatisée se sépare de la réalité, développant un sentiment d’alerte et de panique comme si la menace planait toujours autour d’elle.

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Lucas Pilleri

Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – APF

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 - Sunday 24 November 2024