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Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

Dominique Liboiron

Le canot ou le kayak : lequel est le meilleur ?

Dale Sanders

Dale Sanders

A l’âge de 80, Dale Sanders est devenu la plus vieille personne à descendre la rivière Mississippi en canot. Au cours de son trajet de 3 734 km, il s’est servi d’une pagaie de kayak afin d’augmenter sa vitesse et son efficacité.
Photo : Dominique Liboiron
Certains arguments ne tendent jamais vers une résolution. Par exemple, les Canadiens restent divisés à l’égard de Louis Riel. Était-il un héros ou un traitre ? Pour les amateurs de plein air, nombre d’entre eux se sont disputés longtemps dans le but de déterminer la meilleure embarcation, le canot ou le kayak.

J’aimerais vous donner une réponse simple et précise, mais elle n’existe pas. Le kayak et le canot sont trop différents l’un de l’autre, alors il ne s’agit pas d’une bonne comparaison. C’est pour cette raison d’ailleurs qu’il nous est difficile d’identifier le meilleur des deux. Nous pouvons toutefois reconnaitre les avantages de chacun et déterminer dans quelles circonstances l’un remporte sur l’autre. Voici ma réponse.

Le canot

Né d’un pays de forêts, de lacs et de rivières, le canot est le maître des portages entre les cours d’eau. En suivant l’exemple des Autochtones, les voyageurs ont démontré que le canot se transporte bien sur les épaules, même sur de longues distances. De plus, nous pouvons transporter beaucoup avec un canot. Autrefois, les voyageurs bourraient leurs canots de fourrures et de marchandises, ce qui laissait peu d’espace aux canoteurs. Aujourd’hui, nous pouvons transporter tout notre équipement de camping et nous avons assez d’espace pour bouger et pour changer la position dans laquelle nous sommes assis, ce qui ajoute à notre confort.

Du côté des désavantages, le canot est plus lent et plus sensible au vent. Notons aussi que les grandes vagues peuvent verser une surprenante quantité d’eau à l’intérieur d’un canot et le bateau perd rapidement son équilibre. Un canot rempli seulement d’un tiers d’eau chavire très facilement. Le canot est le camion des cours d’eau canadiens. Sa vitesse ne remportera pas de prix, mais il transporte beaucoup.

Le kayak

Né de la côte, le kayak nous provient des Inuits. Sans l’ombre d’un doute, le kayak est plus rapide que le canot. Sa plus petite taille offre moins de résistance à l’eau et le coup de pagaie d’un kayak est deux fois plus efficace. Par exemple, lorsque l’on termine un coup de pagaie avec le bras droit, le bras gauche est en place pour un autre coup. En canot, à la fin d’un coup de pagaie, aucun des deux bras n’est en place pour pagayer de nouveau, il faut donc bouger ses bras vers l’avant pour maintenir la cadence. Cette manière de pagayer n’apporte alors aucune propulsion, ce qui rend le coup de pagaie d’un canotier moins efficace que celui du kayakiste.

Si vous avez à compléter un long trajet en peu de temps, le kayak bouffe les kilomètres, une caractéristique appréciée, surtout dans notre monde moderne dans lequel nous sommes trop souvent bousculés par le temps. Par contre, sachez que le kayak se prête moins bien aux portages, surtout pour les longs portages. L’intérieur d’un kayak offre moins d’espace qu’un canot. Souvent, les gens se plaignent qu’ils n’ont pas de place pour bouger leurs jambes, ils se sentent donc mal assis et tassés. Le kayak est la voiture sport que l’on aime pour sa vitesse, mais sa petite taille laisse à désirer au niveau du confort.

Bref, demander si un kayak est meilleur qu’un canot, c’est comme demander si une voiture sport est meilleure qu’un camion. L’accélération de la Ferrari fait battre le cœur, certes, mais à quoi bon une Ferrari s’il faut amener son orignal de la chasse ? Nous ne pouvons pas dire qu’il s’agit d’une comparaison juste. Le canot et le kayak possèdent chacun des forces et des faiblesses, tout comme une auto et un camion. Si vous avez à décider entre un canot ou un kayak, demandez-vous plutôt quels sont vos besoins et quelle embarcation vous servira le mieux.

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