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Le CÉCS investit pour l’avenir

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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

Mychèle Fortin

Suivez votre bonheur... – James Daschuk

Message aux jeunes de l'auteur réginois lors de la cérémonie des Rendez-vous de la Francophonie à l'Assemblée législative

James Daschuk

James Daschuk

L’auteur réginois James Daschuk était l’invité spécial lors de la déclaration des Rendez-vous de la francophonie à l’Assemblée législative le 11 mars 2015.
Photo : Claude-Jean Harel
James Daschuk, professeur à l'Université de Regina et auteur du livre Clearing the Plains; Disease, Politics of Starvation & the Loss of Aboriginal Life, était l'invité spécial lors de la déclaration des Rendez-vous de la Francophonie qui s'est déroulée au Palais législatif le mercredi 11 mars dernier.

Son livre, qui paraîtra en version française à l'automne 2015 sous le nom Mortes Plaines: Maladies, famine organisée, ethnocide amérindien, s'est mérité le prix d'histoire du Gouverneur général 2014 pour la recherche savante: le prix John A. Macdonald.

C'est avec enthousiasme, humour et une simplicité désarmante que Monsieur Daschuk s'est adressé aux élèves de 8e année de l'École Monseigneur de Laval qui étaient présents à la cérémonie.  L'auteur-professeur-chercheur a parlé de bonheur, de persévérance et d'excellence, de la langue française. Son message se résumait en trois points:

1- «Trouvez quelque chose qui vous intéresse et suivez votre bonheur».

M. Dashuk a insisté sur l'importance de trouver ce qu'on aime et faire tout son possible pour se réaliser. Il a parlé de son parcours, du fait qu'il a eu la chance de découvrir très tôt, dès l'école primaire, ce qui l'intéressait, soit l'histoire et les sciences sociales. Il estime que sa carrière de chercheur a probablement commencé alors qu'âgé de huit ans, il écrivait des lettres à la NASA, demandant des informations mais surtout des photos.

2- «Apprenez quelque chose chaque jour. Ça va faire de votre vie une vie intéressante».

Que l'on s'intéresse aux arts, aux sports, aux sciences, il faut travailler, vouloir s'améliorer, viser l'excellence. Pour l'auteur, le bonheur passe par l'apprentissage et la persévérance.

3- «Parler français, c'est aussi penser d'une autre manière».

M. Daschuk a révélé que ses recherches lui ont appris que les premiers blancs à venir dans l'Ouest étaient francophones, que le premier héritage européen de l'Ouest est français. Il a souligné que le fait de parler français est un plus dans le monde du travail, mais aussi qu'apprendre une langue, c'est aussi apprendre à penser d'une autre manière.

La présentation de M. Daschuk a été suivie d'une période d'échange avec les élèves. C'est ainsi qu'on a pu apprendre que sa mère était canadienne-française mais qu'on ne parlait pas français à la maison, qu'il a fréquenté l'école française de la maternelle à la huitième année.

Le sujet de son livre a suscité beaucoup d'intérêt.  À un élève qui lui a demandé: «Qu'est-ce qui vous fascine chez les autochtones? », il a répondu  : « Je passais du temps dans la forêt près de chez moi à Timmins, dans le Nord de l’Ontario. J’étais fasciné par les voyageurs et les explorateurs.(...) J'ai découvert que notre histoire n'est pas toujours belle ». Et d'ajouter: «Je serai heureux si je contribue à faire en sorte que l’on sache que tout ça n’était pas un accident».


Article connexe: l'Eau vive du 16 octobre Un auteur de Regina remporte un prix prestigieux pour avoir redonné vie aux enjeux autochtones du 19e siècle

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