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La COVID-19 fera-t-elle bondir les prix des aliments? La COVID-19 fera-t-elle bondir les prix des aliments? Saturday, April 25, 2020 24669 FRANCOPRESSE – Quels seront les effets à moyen et long terme de la crise de la COVID-19 sur les prix des aliments? Même les experts ont de la difficulté à répondre avec précision à cette question, tellement il y a d’éléments qui entrent en jeu.
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Vers un circuit touristique francophone en Saskatchewan Vers un circuit touristique francophone en Saskatchewan Depuis leur adhésion au Réseau des villes francophones et francophiles d’Amérique (RVFFA), les villes de Prince Albert et Saskatoon... Sunday, March 15, 2020 19766
La Saskatchewan accueille son premier économusée La Saskatchewan accueille son premier économusée LUMSDEN - Le 17 septembre, le premier économusée de la province a ouvert ses portes à Lumsden sur le site enchanteur des vergers Over the... Friday, October 18, 2019 22018
Le revenu de base garanti se faufile dans la campagne électorale Le revenu de base garanti se faufile dans la campagne électorale L’Institut Cooper et le PEI Working Group for a Livable Income (WGLI) veulent faire du revenu de base garanti (RBG) un enjeu électoral. Saturday, October 12, 2019 33409
La dégénérescence des produits La dégénérescence des produits Avez-vous déjà remarqué que les produits d’aujourd’hui n’ont pas la même qualité ou ne durent pas aussi longtemps que ceux de... Friday, June 21, 2019 26375
SENA : Une participation francophone modeste Tuesday, May 28, 2019 SENA : Une participation francophone modeste REGINA - Le volet francophone a eu peu de participants lors de la Semaine pour l’emploi des nouveaux arrivants (SENA) du 6 au 10 mai à Regina,
Le Francothon fait le plein ! Friday, May 10, 2019 Le Francothon fait le plein ! REGINA - Cette 23e édition du Francothon a porté ses fruits en surpassant son objectif de 60 000 dollars : au total, plus de 107 000 dollars ont été récoltés.
Francopresse / Saturday, July 1, 2017 / Categories: 2017, Société, Immigration Immigration économique: un parcours semé d’embûches Deux professeurs de l’Université de Moncton, Leyla Sall (à gauche), agrégé en sociologie, et Hamadou Boubacar, agrégé en finance, on réalisé une recherche sur l’emploi et l’immigration. Photo : courtoisie Le Canada est souvent perçu comme un Eldorado économique par les nouveaux arrivants francophones. Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) s’intéresse de près à leur intégration professionnelle et finance plusieurs études qui démontrent que le marché du travail est loin de leur dérouler le tapis rouge. Le gouvernement fédéral a pour objectif que les immigrants francophones représentent au moins 4 % de tous les immigrants économiques hors Québec d’ici 2018, contre 2 % actuellement. Afin d’évaluer la situation dans l’Est du pays, IRCC a accordé une subvention de 50 000 $ à deux professeurs de l’Université de Moncton, Leyla Sall, agrégé en sociologie, et Hamadou Boubacar, agrégé en finance, pour leur projet de recherche intitulé Niches d’emplois et barrières d’accès au marché du travail des nouveaux immigrants francophones dans cinq villes des provinces maritimes (Moncton, Halifax, Charlottetown, Saint-Jean et Fredericton). Des opportunités professionnelles restreintes Les chercheurs identifient des « niches d’emplois », ces secteurs pour lesquels les immigrants francophones sont prisés. Leyla Sall évoque les centres d’appel et l’hôtellerie, « surtout pour les jeunes immigrants et étudiants », précise-t-il. Le secteur bancaire et celui des assurances ont aussi tendance à donner leur chance aux nouveaux arrivants francophones en Atlantique, « car ils misent sur la diversité », explique le chercheur. Au niveau des freins à l’embauche, le professeur pointe du doigt la maîtrise de la langue anglaise : « ceux qui réussissent le mieux ont misé sur le bilinguisme », affirme-t-il. Il constate par ailleurs que certains secteurs ne sont pas ouverts à la diversité. « Recruter un immigrant pourrait, du point de vue des patrons, entraîner des changements dans la culture d’entreprise qui les rebutent », indique-t-il. Enfin, autre bête noire des immigrants : la non-reconnaissance de leurs compétences et diplômes obtenus à l’étranger, « surtout dans le secteur de la santé et des professions réglementées », souligne le chercheur. Dans l’Ouest, Paulin Mulatris, professeur en sociologie au Campus Saint-Jean à Edmonton, rejoint ce constat. Dans le cadre de l’étude Immigration francophone dans les territoires et l’Ouest canadien : réalités et perspectives après 10 ans d’accueil et de service, financée par IRCC à hauteur de 140 000 $, son groupe de travail observe que « le cheminement professionnel des immigrants francophones est un peu chaotique ». L’obstacle majeur, selon le professeur, est bien la reconnaissance des acquis. En outre, il restitue aussi « un problème de discrimination, notamment envers les minorités visibles ». Les immigrants doivent faire leurs preuves Pour le chercheur albertain, trois dispositions faciliteraient l’insertion des nouveaux arrivants : « avoir une formation adaptée au marché de l’emploi, avoir un bon réseau pour faire marcher le bouche-à-oreille, et suivre une formation linguistique en anglais ». Les deux recherches relèvent que le diplôme est souvent perçu comme un sésame par les immigrants francophones alors que les employeurs canadiens privilégient plutôt l’expérience et les compétences non techniques. Leyla Sall avise ainsi que « la meilleure attitude pour un immigrant francophone est de commencer bas et gravir les échelons ». Print 15311 Deux professeurs de l’Université de Moncton, Leyla Sall (à gauche), agrégé en sociologie, et Hamadou Boubacar, agrégé en finance, on réalisé une recherche sur l’emploi et l’immigration. Photo : courtoisie FrancopresseFrancopresse Other posts by Francopresse Contact author Comments are only visible to subscribers.