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Annulation de Keystone XL : un coup dur pour l’Ouest canadien Annulation de Keystone XL : un coup dur pour l’Ouest canadien Friday, February 5, 2021 12029 L'annulation de l'extension de l'oléoduc Keystone XL signifie que la Saskatchewan doit diversifier davantage son économie
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D’où viennent les fruits consommés en hiver au Canada? D’où viennent les fruits consommés en hiver au Canada? Les fruits consommés en hiver au Canada sont très souvent produits hors de nos frontières et donc importés. Monday, February 1, 2021 12004
La fin de Keystone XL pourrait faire l’affaire de Trudeau La fin de Keystone XL pourrait faire l’affaire de Trudeau Le président des États-Unis, Joe Biden, a annulé le permis de construction et d’opération fédéral du projet de pipeline... Friday, January 22, 2021 12525
L’inclusion : un choix judicieux pour les entreprises francophones L’inclusion : un choix judicieux pour les entreprises francophones La croissance de l’immigration a apporté une nouvelle diversité dans les milieux de travail. Cette situation apporte des opportunités, mais... Tuesday, November 24, 2020 11896
COVID-19 : les entreprises payent l’addition COVID-19 : les entreprises payent l’addition Comment les entrepreneurs et chefs d’entreprise font-ils face à cette crise sanitaire devenue économique ? Et quelles leçons ont-ils pu... Thursday, October 29, 2020 12916
Le tourisme estival touché de plein fouet en Alberta et Saskatchewan Le tourisme estival touché de plein fouet en Alberta et Saskatchewan En Saskatchewan, le président et directeur général de l’Association Hôtel et Hospitalité, Jim Bence, a confirmé une saison touristique... Friday, October 9, 2020 16393
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La pandémie accroit-elle les inégalités économiques au Canada? Friday, August 7, 2020 La pandémie accroit-elle les inégalités économiques au Canada? FRANCOPRESSE – On pourrait penser que la crise provoquée par la pandémie contribue à la croissance des inégalités économiques. L’équation n’est toutefois pas aussi simple qu’elle ne le parait de prime abord.
Anonym / Thursday, March 29, 2018 / Categories: 2018, Société, Immigration Immigration francophone : test controversé du ministère fédéral Neil Boucher Le vice-président de la Société nationale de l’Acadie, Neil Boucher, participe au débat sur les tests de citoyenneté subis par les immigrants que la plupart des citoyens canadiens ne réussiraient pas. Photo : FCFA La pénurie de services offerts en français aura dominé l’agenda de la 12e Journée de réflexion sur l’immigration francophone de la FCFA du Canada réunissant 150 intervenants le 21 mars, à Calgary. Une nouvelle réalité s’impose : on trouverait plus de réfugiés parmi les nouveaux arrivants francophones qu’anglophones. La question du test en français pour les demandeurs de résidence a aussi refait surface. « Très peu de fournisseurs de services en français ont des programmes de rétablissement pour les réfugiés, explique Emmanuel Nahimana, gestionnaire de projets à la Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse. C’est le programme qui commence par l’accueil à l’aéroport, qui les emmène dans un hôtel en attendant de trouver leur propre appartement. Il y a une suite de services qui continuent. » Selon l’intervenant de Halifax, ce service n’est pas offert en Nouvelle-Écosse et il estime que l’enjeu est national. « Le fait de ne pas accueillir les réfugiés d’expression française nous défavorise parce que ça nous empêche de remplir notre mandat. On manque beaucoup d’opportunités de les intégrer dans nos communautés où ils bénéficient de services. » Le gestionnaire considère que l’accueil des enfants de réfugiés est critique. « Un enfant accueilli en français sera établi dans une école francophone qui lui offre l’occasion de devenir bilingue. C’est un atout que tout parent peut donner à son enfant. Sans ça, l’enfant ne peut pas profiter de tous les avantages qu’offre le Canada. » Un autre enjeu a fait surface quant au manque de données, en particulier sur la rétention des immigrants, explique Emmanuel Nahimana. « Pour améliorer notre service, on a besoin de savoir ce qui se passe. On n’a pas assez de données en Atlantique qui pourraient nous montrer quel pourcentage d’immigrants depuis dix ans ont réussi. Où sont-ils, que font-ils? Ont-ils eu une intégration professionnelle? » L’examen de français : cher et difficile L’enjeu de l’examen de français imposé aux immigrants qui veulent devenir résidents permanents a marqué la fin de journée. Les participants ont appris que, non seulement le test en français créé en France coûte plus cher que l’examen anglais, mais que la plupart des Canadiens ne le réussiraient pas. « J’ai fait une intervention sur la question lors du dernier panel, explique Jacinthe Lemire, la directrice de la Coopérative d’intégration francophone de l’Île-du-Prince-Édouard. Je voulais savoir ce qu’il en était. » Avant la fin de la journée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada avait annoncé sa solution. « Ils ont dit que dans les prochains mois, il va y avoir des modifications, qu’ils avaient trouvé un fournisseur au Canada. Je me demandais pourquoi au départ ils n’avaient pas trouvé quelqu’un au Canada - comme si on n’avait pas les compétences! » L’immigration : « par et pour », aussi? Le Symposium sur l’immigration francophone du 22 mars se serait soldé comme d’autres rencontres auparavant entre gouvernements et communautés dans ce dossier. Aucun élu gouvernemental ne s’est présenté, on aurait eu beaucoup d’écoute et entendu de bonnes intentions mais peu d’engagements auraient été pris et de peu de progrès accomplis. Jacinthe Lemire avoue n’avoir « rien appris » mais que « ça a été formateur pour les gens du gouvernement qui étaient nouveaux dans le domaine ». La gestionnaire a apprécié un retour sur la notion de la gestion du dossier ‘par et pour’ la communauté véhiculée par la FCFA. « Quelqu’un a souligné que dans le fond, ça veut dire qu’il faut faire un ‘par et pour et avec’. Avec les gouvernements, parce qu’on travaille ensemble; mais avec des citoyens, la communauté, avec des organismes communautaires. Ne pas travailler en silos. Il faut toujours penser à qui reçoit le service, qui en bénéficie au bout de la ligne. » En conclusion, la FCFA a recommandé un élargissement du Comité directeur national, un mécanisme de concertation entre communautés et fonctionnaires dans chaque juridiction et l’organisation d’un autre symposium dans deux ans. Print 14998 Comments are only visible to subscribers.