Une hausse du coût du lait qui divise Une hausse du coût du lait qui divise Tuesday, February 22, 2022 6066 Depuis le 1er février, les consommateurs observent une augmentation du prix du lait sur les étagères des magasins.
Le CÉCS veut trouver des solutions à la pénurie de main-d'œuvre Le CÉCS veut trouver des solutions à la pénurie de main-d'œuvre Saturday, February 5, 2022 7668 Le Conseil économique et coopératif en Saskatchewan (CÉCS) a lancé une étude afin de trouver des solutions à la pénurie de main-d’œuvre.
Camionneurs, vaccins et tablettes vides Camionneurs, vaccins et tablettes vides Alors que le convoi des camionneurs arrive à Ottawa, les consommateurs signalent un nombre croissant d’étagères vides dans les... Thursday, January 27, 2022 6605
La hausse du cout de l’essence inquiète les agriculteurs de l’Ouest La hausse du cout de l’essence inquiète les agriculteurs de l’Ouest Le cout de l’essence a augmenté de 32,8 % entre septembre 2020 et 2021. La situation affecte le secteur de la production agricole... Monday, November 22, 2021 7861
Le CÉCS démystifie les cryptomonnaies Le CÉCS démystifie les cryptomonnaies Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan a organisé deux formations qui expliquent le monde des cryptomonnaies. Thursday, October 28, 2021 9220
Nation fransaskoise, une boutique pour populariser le patrimoine Nation fransaskoise, une boutique pour populariser le patrimoine La boutique numérique Nation fransaskoise, lancée cet été, propose une variété d’articles, dont la fameuse ceinture fléchée... Wednesday, October 20, 2021 10010
Pénurie de ressources humaines dans la fransaskoisie Pénurie de ressources humaines dans la fransaskoisie Cet année, plusieurs postes restent longtemps non pourvus au sein d’organismes communautaires. On peut constater ce... Sunday, October 17, 2021 8382
Pénurie de main-d’œuvre et immigration, deux faces d’une même pièce Pénurie de main-d’œuvre et immigration, deux faces d’une même pièce Il n’y a jamais eu autant d’emplois non pourvus au Canada que dans les cinq dernières années. Monday, September 27, 2021 7926
Un premier marché sous les étoiles à Zenon Park Saturday, September 4, 2021 Un premier marché sous les étoiles à Zenon Park L’Association fransaskoise de Zenon Park (AFZP) a organisé un premier Marché sous les étoiles le 21 août dernier au centre communautaire du village.
Fermeture de la Caisse populaire de Zenon Park : la fin d’une époque Saturday, July 3, 2021 Fermeture de la Caisse populaire de Zenon Park : la fin d’une époque Le 30 juin 2021a marqué la fin d’une époque pour la communauté de Zenon Park. La Caisse populaire locale, après 79 ans d’activité, a fermé ses portes.
Lucas Pilleri / Tuesday, February 22, 2022 / Categories: SCFP - Société canadienne-française de Prince Albert, Communautaire, Prince Albert Une nouvelle direction à la Société canadienne-française de Prince Albert Soraya Ellert est la nouvelle directrice générale de la Société canadienne-française de Prince Albert (SCFPA). Crédits : Courtoisie La Société canadienne-française de Prince Albert (SCFPA) a annoncé le 28 janvier la nomination de Soraya Ellert au poste de directrice générale. Longtemps travailleuse sociale à travers le pays, la nouvelle responsable a également dirigé le Centre francophone BDS (Bellevue, Domrémy, St. Louis) et a été députée communautaire de Gravelbourg-Willow Bunch. Habituée des milieux minoritaires, Soraya Ellert veut faire de la SCFPA un vecteur rassembleur des francophones et francophiles du nord de la province. Elle explique sa vision à L’Eau vive. Comment se déroule votre prise de fonction ? C’est une transition un peu plus compliquée, car je suis encore en Alberta, mais les anciens directeurs font ce qu'ils peuvent pour aider la transition. L’administration de l’organisme s’effectue à distance pour l’instant. Je vais être à Prince Albert à partir du 1eravril. Le conseil d’administration a fourni des efforts pour que tout fonctionne bien. Pouvez-vous retracer les grandes lignes de votre parcours, notamment votre implication au sein de la francophonie ? Je vis dans des milieux minoritaires depuis 1980. Que ce soit dans les Territoires du Nord-Ouest, en Alberta ou en Saskatchewan, j’ai eu un parcours particulier. J’ai commencé comme épouse de militaire, pour ensuite travailler pour les services sociaux à la protection de la jeunesse. J’ai travaillé comme travailleuse sociale dans les communautés de Lloydminster, La Ronge, Deline, Inuvik, Whati, Wekweti, Fort Good Hope, ou encore Tuktoyaktuk. Puis j’ai été à la Direction de la protection de la jeunesse pour le Nunavut et ensuite pour les Cris de la Baie-James au Québec. Je me suis ensuite tournée vers le milieu communautaire et, depuis, je gravite dans le milieu communautaire à plusieurs niveaux que je trouve valorisants. Qu’est-ce qui vous a poussée à revenir en Saskatchewan en avril 2020, en pleine pandémie ? Mon retour en Saskatchewan a été motivé par le besoin d’être plus proche de ma famille, entre autres de ma petite fille qui est depuis revenue habiter avec moi. J’avais besoin de me retrouver en milieu familier et accueillant. Quelle est votre vision pour la SCFPA en tant que nouvelle directrice ? Que la SCFPA devienne l’organisme rassembleur pour tous les francophones du nord de la province, créer une liaison avec les communautés au nord de Prince Albert. Que le projet de l’Académie Rivier avance finalement avec un dénouement positif pour la communauté. À ce propos, comment avance le projet de transformation de l’ancienne Académie Rivier en centre scolaire communautaire citoyen ? On a envoyé une lettre au premier ministre Scott Moe et au ministre de l’Éducation pour demander l’avancement du projet. On attend une réponse depuis trois ans. La question des espaces communautaires ne peut pas être réglée avant d'avoir une réponse... Pouvez-vous nous donner un aperçu des activités organisées ou offertes par la SCFPA ? La SCFPA donne des cours de français à de nouveaux apprenants en collaboration avec le Collège Mathieu. Nous offrons 20 heures de cours de français de niveaux débutant et intermédiaire par année pour nos clients, d’octobre à avril. Le camp d’été FrancoFun est organisé par la SCFPA chaque année depuis plus de 20 ans. En 2021, le camp a accueilli plus de 100 jeunes participants de 5 à 12 ans de Prince Albert et des environs, comme Bellevue. C’était vraiment un camp d’été amusant rempli de jeux, d’activités en plein air et de nouvelles amitiés. On a hâte de rencontrer les jeunes en 2022. En dépit de la pandémie, la vie culturelle en français trouve-t-elle sa place à Prince Albert ? Oui, la SCFPA a pu organiser différents types de spectacles (de musique et de théâtre) pour célébrer différents événements et entretenir la communauté francophone et francophile de Prince Albert et de ses environs. On a eu l’occasion d’être avec des artistes comme Étienne Fletcher, Michel Lalonde, Mario Lepage et, récemment, le spectacle Pandamour de la Troupe du Jour. Nous avons célébré la Semaine nationale de l’immigration francophone avec deux activités, une présentation du film en français Intimité francophone d’eux et le spectacle d’humour avec Micheline Marchildon. Pour Noël, la SCFPA a organisé une journée de patinage, un concours de cuisine et un spectacle avec Michel Lalonde et son groupe. Le spectacle était vraiment super. Il y avait même des gens de Regina et Bellevue. C’était l’occasion de faire des connaissances et de jaser. La SCFPA a aussi créé, en partenariat avec Radio Prairie FM, une émission de radio intitulée Parlons-en. Les épisodes traitent de divers enjeux à Prince Albert et sont diffusés les dimanches à 18 h 30 ou sur le compte YouTube de la SCFPA. Les trois animatrices de l’émission, Denise Jones, Céline Tremblay et Sarah Mbau, vivaient toutes ici à Prince Albert. Quels sont les plus gros défis auxquels est confrontée la SCFPA selon vous ? La COVID, et rejoindre les membres sans événements présentiels. Malgré la pandémie, la SCFPA a organisé beaucoup d’activités en présentiel comme en virtuel. Je dirais même beaucoup plus comparé aux autres communautés. Il y a une communauté qui est engagée malgré les difficultés de la pandémie. Enfin, que représente la fransaskoisie pour vous à titre personnel ? La fransaskoisie, c’est mon identité ! Étant enfant de militaire, je n’ai jamais eu de sentiment d’appartenance à une communauté avant mon arrivée en Saskatchewan. Je me souviens quand j’étais plus jeune, je détestais cela quand on me posait la question « Tu es d’où ? » car je ne savais jamais quoi répondre – Alberta, Québec, Allemagne, je ne savais pas. Tout a changé lorsque je suis arrivée en Saskatchewan, je me suis sentie accueillie et j’ai finalement ressenti de l’appartenance à un endroit, un groupe, une communauté. Maintenant, lorsqu’on me pose la question, je réponds fièrement que je suis fransaskoise ! Print 8704 Lucas PilleriLucas Pilleri Other posts by Lucas Pilleri Contact author Comments are only visible to subscribers.