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Les immigrants, une richesse économique plus que jamais éduquée Les immigrants, une richesse économique plus que jamais éduquée

Les immigrants, une richesse économique plus que jamais éduquée

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FRANCOPRESSE – Le Canada peut se targuer d’avoir la main-d’œuvre la plus scolarisée des sept plus grandes puissances du monde. C’est en grande partie les immigrants qui ont hissé le pays en tête du classement. Ottawa mise plus que jamais sur l’immigration économique de travailleurs hautement qualifiés. Pourtant, les compétences des nouveaux arrivants ne sont pas toujours pleinement mises à contribution. 

Gravelbourg Mustard passe aux mains d’entrepreneurs fransaskois Gravelbourg Mustard passe aux mains d’entrepreneurs fransaskois

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Mise en vente au mois de mai par l’ancienne propriétaire Val Michaud, l’entreprise agroalimentaire Gravelbourg Mustard n’aura eu besoin que de trois mois pour trouver acquéreurs. Ce sont les deux Fransaskois Paul Léost et Mathieu Sirois qui mettent la main sur le précieux sésame.

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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

La Presse canadienne
/ Categories: Éducation, Juridique

La cause des francophones du Yukon renvoyée à un tribunal inférieur

Retour à la case départ pour la Commission scolaire francophone du Yukon

École Émilie Tremblay, Whitehorse (Yukon)

École Émilie Tremblay, Whitehorse (Yukon)

OTTAWA - Le combat linguistique que mène devant les tribunaux l'unique commission scolaire francophone du Yukon est loin d'être terminé.

Dans une décision unanime, jeudi matin, la Cour suprême du Canada a renvoyé l'affaire devant un tribunal d'instance inférieure.

Le plus haut tribunal au pays en est arrivé à cette décision après avoir conclu qu'il existait une "crainte raisonnable de partialité" de la part du juge qui avait donné raison à la commission scolaire francophone du Yukon (CSFY).

La Cour suprême ne se prononce donc pas sur les questions touchant l'instruction en français au Yukon.

Et sur l'enjeu du droit de la CSFY de décider elle-même de l'admissibilité des élèves pour des études en français, le plus haut tribunal donne raison au gouvernement territorial.

La juge Abella écrit, au nom de ses collègues, qu'il "ne fait aucun doute qu'une province ou un territoire puisse déléguer à une commission scolaire la fonction de fixer les critères d'admission à l'égard des enfants de non-ayants droit".

Mais "à défaut d'une telle délégation, la commission (scolaire) n'a pas le pouvoir de fixer unilatéralement des critères d'admission différents", poursuit-elle.

La commission scolaire réclamait ce pouvoir en vertu de l'article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés.

Son procureur avait plaidé que la reconnaissance de ce droit de sélection était fondamental "pour réparer les torts de l'assimilation" des francophones en situation minoritaire.

Mais avec ce jugement de la Cour suprême, le gouvernement yukonais pourra continuer à sélectionner les élèves ayant droit à une éducation dans la langue de Molière.


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