Le francothon s'en vient Le francothon s'en vient Campagne de financement de la Fondation fransaskoise 4/12/2014 6:00 PM 13627 C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.
Le dollar canadien inquiète les immigrants Le dollar canadien inquiète les immigrants Thursday, March 6, 2014 24679 Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants?
Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur. Thursday, February 27, 2014 36643
AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg Le Centre culturel Maillard a été l’hôte de l’assemblée générale annuelle (AGA) de la Chambre... Sunday, February 23, 2014 27589
Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... Thursday, February 20, 2014 40622
Alyssa Parker / Sunday, December 8, 2024 / Categories: Société, Francophonie, Chroniques, Entre hier et aujourd'hui Qui est prêt à aller plus loin ? En 1980, un article publié dans L’Eau vive décrit la venue de Pierre Elliot Trudeau à l’Université de Regina. Le premier ministre de l’époque encourageait alors les Fransaskois à convaincre directement les Québécois du besoin de renouvellement de leurs droits linguistiques. Trudeau expliquait à l’époque que le gouvernement canadien n’était pas la raison de la lenteur des changements constitutionnels : c’était l’opposition du Québec séparatiste. Le premier ministre, en fonction de 1968 à 1984, avait dû réagir aux sentiments séparatistes lors des référendums et de la crise d’octobre 1970. Connu pour ses discours rassembleurs, ses réformes pour une société plus juste et ses politiques bilingues, Trudeau père est une figure politique connue des francophones. Difficile de ne pas le comparer à son successeur. Du père au fils La menace du séparatisme et du nationalisme du Front de libération du Québec (FLQ) était énorme pendant les années 1960, et la reprise de ces mêmes sentiments par la Coalition Avenir Québec (CAQ) et le Bloc québécois persiste. Pierre Trudeau, critique des partis québécois fédéralistes, était passionné par la réforme constitutionnelle et représentait pour beaucoup de Canadiens la justice, la liberté et l’unification. Justin Trudeau, lui, semble avoir moins de sentiments anti-Québec que son père. Quand il a commencé sa carrière politique en 2008 en étant élu au parlement à Papineau, une région du Québec, il a compté sur l’appui électoral des Québécois. Toutefois, depuis son élection, qu’a-t-il fait pour les minorités francophones hors Québec ? Sa campagne électorale de 2021 promettait une augmentation du nombre d’immigrants francophones hors Québec, plus d’argent et une réforme de la Loi sur les langues officielles. Les promesses ont-elles été tenues ? Trudeau senior sera toujours connu pour l’adoption de la Loi sur les langues officielles, pour la Révolution tranquille et le Livre blanc. De son côté, quel héritage Trudeau junior laissera-t-il ? La légalisation de marijuana ? Les impôts de charbon ? Son programme national de garderies ? SNC Lavalin ? We Charity ? La francophonie n’apparaît pas dans cette liste. Il sera intéressant de voir ce que la francophonie hors Québec a à dire au moment des prochaines élections fédérales. Print 1020 Alyssa ParkerGhita Hanane Other posts by Alyssa Parker Contact author Comments are only visible to subscribers.