Le francothon s'en vient Le francothon s'en vient Campagne de financement de la Fondation fransaskoise 4/12/2014 6:00 PM 13716 C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.
Le dollar canadien inquiète les immigrants Le dollar canadien inquiète les immigrants Thursday, March 6, 2014 24770 Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants?
Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur. Thursday, February 27, 2014 36894
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Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... Thursday, February 20, 2014 40786
Bayla Pollick / Friday, August 30, 2024 / Categories: Société, Chroniques, Intrigues idiomatiques Un voyage dans la penderie qui dégénère Poursuivons notre aventure idiomatique québécoise… dans la penderie ! Quand on parle à travers son chapeau, on parle à tort et à travers. Quand on met ses culottes, on assume ses responsabilités. Et puisque les bottines doivent suivre les babines, lançons-nous ! Ayant de l’eau dans la cave, on porte un pantalon trop court. Les charrues ne sortant pas juste en hiver, on a la braguette ouverte... Peu importe, s’habillant en pelures d’oignon, on met en couches sa tenue. Mais s’habillant comme la chienne à Jacques, on est bizarrement vêtu. Tiré à quatre épingles, par contre, on se vêtit très élégamment. Les vêtements ayant refoulé au lavage, ils n’ont rétréci que dans la machine à laver. On est submergé par notre monde stressant. Et ayant de la broue dans le toupet, on est sans doute très affairé. Mais n’ayant plus le tic-tac pis l’air d’aller, on est tout à fait crevé. Ayant les yeux dans la graisse de bines, on s’est réveillé à plat. Débiscaillé par la charrette, on a les traits tirés et les vêtements fripés, comme quelqu’un qui a passé une nuit blanche. Quand on a les yeux dans le même trou, on a l’esprit engourdi et du mal à voir. Dormir au gaz, c’est manquer de vigilance, tarder à répondre. Quand on en a plein son cas’ (casque), on est au bout du rouleau, contrarié par une situation désagréable. Étant de bonne heure sur le piton, d’autre part, on œuvre avec verve. Ayant la couenne dure, on a du ressort. Ayant du front tout le tour de la tête, on a de l’audace. Ayant un front de bœuf, on a du culot. Étant comme une queue de veau, on tient difficilement en place, comme un boute-en-train. Malgré tout ce dynamisme évident, ayant des croûtes à manger, on a du chemin à parcourir, de l’expérience à acquérir et des choses à apprendre avant de réussir son coup. Bien que niaisant avec le puck (la rondelle), on hésite d’abord, prenant son temps par rapport à quelqu’un ayant déjà tranché. Pas barré à quarante, on manifeste, enfin, peu de retenue dans l’affaire, ne craignant pas de pousser les choses et de s’avancer sans s’imposer de limite. Le jeu étant dans les trois X, c’est absolument épatant. Mais puisque tout est un aria, en fin de compte, trop compliqué, il vaut mieux passer à autre chose de plus compréhensible. Le boss des bécosses ? C’est un type détestable faisant preuve d’une autorité prétentieuse. Un quétaine ? Il est considéré comme ridicule, sans être grossier, en raison de son manque de raffinement. Et une mouche à marde ? Eh bien, c’est quelqu’un qui dérange constamment les autres. Les oreilles ont dû lui siler, c’est dit d’une personne dont on a beaucoup parlé en son absence. Entre-temps, faisant la baboune, on est boudeur. Ayant la chienne, on a peur. Paqueté comme un œuf, on est saoul. Étant à côté de la track, on se trompe. Ayant les mains pleines de pouces, on est empoté. Se noyant dans un verre d’eau, on est désemparé au moindre changement. Ayant la tête à Papineau, toutefois, on est intelligent. Étant ratoureux, on est rusé. Étant gras dur, on est prospère. Ayant le piton collé, on est pris d’un fou rire. Et fou comme un balai, on est fou de joie. Tout est sur la coche – vraiment exceptionnel. Print 3263 Bayla PollickBayla Pollick Other posts by Bayla Pollick Contact author Comments are only visible to subscribers.