Le francothon s'en vient Le francothon s'en vient Campagne de financement de la Fondation fransaskoise 4/12/2014 6:00 PM 14229 C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.
Le dollar canadien inquiète les immigrants Le dollar canadien inquiète les immigrants Thursday, March 6, 2014 25352 Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants?
Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur. Thursday, February 27, 2014 37204
AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg Le Centre culturel Maillard a été l’hôte de l’assemblée générale annuelle (AGA) de la Chambre... Sunday, February 23, 2014 28073
Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... Thursday, February 20, 2014 41290
Florent Bilodeau, Françoise Sigur-Cloutier et Michel Vézina / Thursday, February 1, 2018 / Categories: 2018, Société, Nécrologie Irène Chabot : hommage de trois membres de la communauté Irène Chabot (1930-2018) Photo: gracieuseté famille Chabot Ode à Irène Chabot Florent Bilodeau Notre très chère Irène était… I - innovatrice R - résiliente È - effervescente N - nourricière E - énergique F - Fransaskoise… nec plus ultra O - organisée U - unique R - radieuse N - nuancée I - idéaliste E - enthousiaste R - rassembleuse C - collaboratrice H - hospitalière A - ardente B - bâtisseuse O - oratrice T - tenace… jusqu’au bout! Florent Bilodeau : collègue et ami d’Irène Irène, votre mission est accomplie Françoise Sigur-Cloutier Bien avant de connaître la Saskatchewan et la communauté fransaskoise, je connaissais Irène Chabot. Sa réputation dépassait les frontières et l’on ne pouvait pas militer dans un groupe de femmes dans l’Ouest canadien sans connaître Irène. Cette femme convaincue, convaincante, énergique, engagée, dynamique, me paraissait être la figure de proue de la cause des femmes francophones des Prairies, et elle l’était! Mais elle en menait plus large que ça : son couple—combien de fois mon conjoint Michel n’a pas taquiné Alfred, le prince consort—sa famille, cinq enfants quand même! sa paroisse, sa communauté, sa province. Avec conviction, avec intelligence, tact et persuasion, elle a fait avancer plusieurs causes de la communauté qui étaient aussi ses causes : le français, l’éducation, l’avancement des femmes, pour n’en nommer que quelques-unes. Nous avons travaillé ensemble lorsque je suis arrivée à Gravelbourg pour la Fédération provinciale des Fransaskoises. L’avancement des femmes était toujours important pour elle, mais d’autres avaient pris le flambeau dans ce dossier et elle menait une autre bataille, cruciale celle-là, pour le Collège Mathieu : sa reconstruction, son financement, sa vocation, son rayonnement. Depuis que j’étais présidente de l’ACF, elle me suivait fidèlement aux nouvelles et ne manquait de m’encourager à chacune de nos rencontres—elle connaissait la musique ! Pour moi, Irène Fournier Chabot restera cette magnifique femme généreuse, intelligente, avant-gardiste, dévouée, qui a suivi ses convictions jusqu’au bout, supportée par toute une communauté et porte-étendard de toute une époque dont elle représentait les valeurs et les aspirations; un cœur vaillant, à qui rien n’était impossible si elle en était convaincue, un cœur qui avait été formé par une autre grande dame, sa mère, Pearl M. Kemp, à qui elle ne manquait pas de se référer souvent. Irène, vous continuerez à nous inspirer longtemps, reposez en paix, votre mission ici est accomplie. Une grande Fransaskoise Michel Vézina Madame Irène Chabot peut être considérée comme une des grandes figures de la communauté fransaskoise. J’ai eu l’occasion de travailler avec elle à l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan puis à la Corporation du Collège Mathieu. Pour moi, on peut la définir et s’en souvenir selon les mots suivants: implication, amitié, féminisme, foi, éducation, langue française, accueil, contact avec les gens, équipe, curieuse de l’actualité. Je me souviendrai de cette dame qui lorsqu’elle venait aux bureaux de l’ACFC à Regina ou à ceux du Collège Mathieu, à Gravelbourg, prenait le temps de faire le tour des gens qui y travaillaient, s’informant de la santé, de la famille, du travail, ce qu’il y avait de nouveau. Un des rôles où elle a probablement excellé a été sa présence à la coordination du bureau de la Fondation du Collège Mathieu. Elle y avait toutes sortes de connections et savait qui était passé par le Collège Mathieu. Et c’était heureux car nous recevions régulièrement des visiteurs, souvent d’anciens élèves ou membres du personnel du Collège Mathieu, ou des parents de ceux-ci, à la recherche de traces du passé. Si elle n’avait pas l’information, elle finissait par la trouver et les gens n’oubliaient jamais cet accueil reçu. Depuis qu’elle avait pris sa retraite à Ferland, elle nous appelait régulièrement pour être à la fine pointe de l’actualité francophone et adorait quand quelqu’un faisait le détour par chez elle. J’en garderai toujours le souvenir d’une grande Fransaskoise. Print 28333 Tags: Irène Chabot 123456 Florent Bilodeau, Françoise Sigur-Cloutier et Michel VézinaPierre-Émile Claveau Other posts by Florent Bilodeau, Françoise Sigur-Cloutier et Michel Vézina Contact author Related articles Lettre à Tante Irène Au revoir « tante » Irène ! Irène Fournier Chabot 1930-2018 Comments are only visible to subscribers.