Le dollar canadien inquiète les immigrants Le dollar canadien inquiète les immigrants Thursday, March 6, 2014 24298 Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants?
Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les francophones pris entre les colonnes Thursday, February 27, 2014 35944 Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.
AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg Le Centre culturel Maillard a été l’hôte de l’assemblée générale annuelle (AGA) de la Chambre... Sunday, February 23, 2014 27070
Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... Thursday, February 20, 2014 39977
Jean-Pierre Picard / Friday, November 10, 2017 / Categories: 2017, SHS - Société historique, Communication La SHS suspend la publication de la Revue historique REGINA - Coup de théâtre dans le monde de l’édition fransaskoise : la Société historique de la Saskatchewan (SHS) a annoncé, le 26 octobre 2017, qu’elle suspendait la publication de la Revue historique 27 ans après le lancement de son premier numéro, en octobre 1990. La SHS a évoqué des raisons financières pour expliquer cette mesure. C’est l’historien et dramaturge Laurier Gareau qui a fondé la revue en octobre 1990 et en a assuré la publication pendant un quart de siècle. Selon lui, cette publication a joué un rôle considérable pour faire connaître la SHS. « Très peu de gens connaissaient la SHS. C’était une association invisible, à part les livres qu’elle publiait. » Vers la fin des années 90, l’organisme avait choisi de lier l’adhésion des membres à l’abonnement à la revue. Le nombre de membres était ainsi passé d’environ 25 à 250. Aujourd’hui, la SHS compte 180 membres. Selon monsieur Chartier, cette diminution est principalement due au décès de membres plus âgés. Monsieur Gareau considère que le moment est venu pour la SHS de se pencher sur sa raison d’être. « Elle existe pour quoi maintenant, si on cesse de publier la revue? Le dernier livre de la SHS date de 2010. Oui, les Journées du Patrimoine et les ateliers scolaires c’est très bien, mais pour le grand public qui n’assiste pas à ces activités, la SHS est en train de redevenir invisible. » Pour Monsieur Chartier, les nouvelles activités de la SHS représentent une adaptation de l’organisme aux nouvelles réalités de la communauté fransaskoise où il est de plus en plus question d’inclusion des nouveaux arrivants. « L’inclusion passe par le connaissance de l’histoire, par une compréhension de ce qu’ont vécu ceux qui étaient là avant nous » explique-t-il. En ce qui a trait à la revue, monsieur Chartier souligne que le but visé n’est pas sa disparition, mais d’envoyer un « message choc » à la communauté. La communauté veut-elle ce magazine? Et si oui, peut-on s’assurer de trouver les ressources permettant d’en assurer la publication ? Monsieur Gareau considère que l’adoption d’un format magazine de haute qualité et l’augmentation du nombre de pages (de 40 à 68) ont entraîné une perte de contrôle des coûts. « Ce format là nous l’avions déjà envisagé, mais seulement si nous pouvions avoir un partenariat avec les provinces voisines avec un plus grand potentiel de marché et de vente publicitaire. Sauf que les deux autres provinces n’ont pas embarqué. Aller de l’avant sans partenaires, pour moi, ce fut une erreur. » Pour monsieur Chartier, le problème n’est pas le format de la revue. « Ce ne sont pas les frais d’impression mais plutôt le travail lié à l’édition et à la recherche qui représente la principale dépense. » Il faut noter que pendant les années précédentes, Laurier Gareau faisait le travail d’édition, de rédaction et de mise en page bénévolement. « Il nous faut un éditeur derrière et quelqu’un qui gère la revue. C’est là le défi et il nous faut trouver des fonds. » Monsieur Chartier se dit ouvert à considérer une collaboration avec d’autres organismes qui œuvrent dans le domaine de l’édition, comme la Coopérative des publications fransaskoises et les Éditions de la nouvelle plume. Si la revue reprend sa publication, monsieur Gareau considère qu’il sera important d’en assurer une publication régulière. « Lorsque j’ai quitté la revue, il y avait trois numéros publiés par année. Au cours des derniers 2 ans et demi, il y a eu seulement 2 numéros publiés. C’est important de créer une habitude et une régularité pour fidéliser les lecteurs. » Print 30411 Tags: Laurier GareauRevue historique More links Société historique de la Saskatchewan Jean-Pierre PicardJean-Pierre Picard Other posts by Jean-Pierre Picard Contact author Related articles Soirée Ôde à Laurier Gareau À la découverte de Laurier Gareau Laurier Gareau nommé membre de l’Ordre du Canada Une troisième édition pour La trahison Rendez-vous avec Laurier Gareau Laurier Gareau reçoit le Prix d’honneur Saint-Jean Lancement d'un premier roman pour Laurier Gareau Laurier Gareau récompensé par le Saskatchewan Book Awards Comments are only visible to subscribers.