Le francothon s'en vient Le francothon s'en vient Campagne de financement de la Fondation fransaskoise 4/12/2014 6:00 PM 14213 C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.
Le dollar canadien inquiète les immigrants Le dollar canadien inquiète les immigrants Thursday, March 6, 2014 25337 Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants?
Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur. Thursday, February 27, 2014 37202
AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg Le Centre culturel Maillard a été l’hôte de l’assemblée générale annuelle (AGA) de la Chambre... Sunday, February 23, 2014 28061
Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... Thursday, February 20, 2014 41262
Alexandre Daubisse (EV) / Thursday, August 14, 2014 / Categories: 2014, Éducation, Écoles fransaskoises CSF : Une injonction plaidée dans des conditions défavorables Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a, comme prévu, plaidé par la voix de son avocat, Me Roger Lepage, devant la Cour du Banc de la Reine à Regina, lors d’une injonction, pour obtenir la somme de 5,2 millions de dollars du gouvernement provincial les 6 et 7 août derniers. La somme exigée permettrait, selon Me Lepage, d’embaucher le personnel nécessaire pour répondre aux besoins des élèves et ainsi répondre à son mandat de francisation (3,2 millions $) et pour réparer les toitures qui fuient des écoles primaires et secondaires de Regina, celle de Vonda et celle de Zenon Park (2 millions $). La plaidoirie, qui soulignait, entre autres, que la formule de calcul de financement appliquée à toutes les écoles de la Saskatchewan n’était pas adaptée aux besoins des écoles francophones, a été rendue difficile en raison de l’unilinguisme du juge Barrington Foote. Me Lepage, qui plaide en français pour respecter le mandat de francisation de son client, regrette de ne pouvoir communiquer directement avec le juge afin d’user de tout son pouvoir de persuasion. De plus, il faut veiller à ce que la traduction soit correcte et parfois corriger celle-ci lorsqu’elle ne l’est pas. Autant d’obstacles supplémentaires pour être entendus, compris et être convaincants. Par ailleurs, le juge a posé des questions sur les raisons du déficit du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et remit en question la rétention des élèves au sein du CÉF par la qualité des infrastructures, ce qui a semblé gêner Me Lepage et réjouir les avocats du gouvernement. Enfin, le juge a refusé d’accepter comme preuve une déclaration sous serment présentée par Me Lepage sous prétexte qu’elle n’avait pas été traduite en anglais. Le CSF a demandé au juge de rendre sa décision avant le 15 août afin d’entamer l’année scolaire avec le financement adéquat. Print 25233 Tags: Procédures judiciaires du CSF Alexandre Daubisse (EV)Alexandre Daubisse (EV) Other posts by Alexandre Daubisse (EV) Contact author Related articles Pour une solution à long terme Jugement dans la crise scolaire fransaskoise Réparer les erreurs du passé ou préparer l’avenir? Les parents déplorent la nouvelle cause juridique du CSF Comments are only visible to subscribers.