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Lauriers de la PME: L'entreprise saskatchewannaise Over the Hill... Lauriers de la PME: L'entreprise saskatchewannaise Over the Hill... Cette année, c’est l’entreprise saskatchewanaise Over the Hills Orchards qui s’est vu remettre le prix pour la... Thursday, November 20, 2014 26576
Lauriers de la PME 2014 : Dévoilement des entreprises finalistes Lauriers de la PME 2014 : Dévoilement des entreprises finalistes Ottawa – Le RDÉE Canada a divulgué le nom des 29 entreprises finalistes du concours des Lauriers de la PME 2014. Le... Thursday, October 16, 2014 17917
Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois Employé de la société d’État Financement agricole Canada (FAC), Thomas Chevalier poursuit conjointement le... Thursday, October 16, 2014 26391
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Un forum économique tourné « VERT » l’avenir Un forum économique tourné « VERT » l’avenir Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) a tenu un forum économique à l’hôtel Ramada de Regina les... Thursday, October 9, 2014 25007
Saturday, October 4, 2014 Un projet de piégeage du carbone lancé en Saskatchewan attire l'attention Saskpower a lancé son projet de piégeage et stockage du dioxyde de carbone, présenté comme le premier programme de la sorte à échelle commerciale au monde.
Friday, October 3, 2014 Ça décolle pour la Saskatchewan Les autorités aéroportuaires de Regina Saskatoon, Tourism Saskatchewan, Tourism Regina et Tourism Saskatoon s’unissent pour promouvoir la Saskatchewan comme destination touristique de choix.
Mychèle Fortin / Friday, October 13, 2017 / Categories: 2017, Société, International, Coup d'oeil sur le monde, Politique Catalogne : et maintenant on fait quoi? L'estelada, drapeau indépendantiste catalan. Le 1er octobre dernier, les Catalans ont été appelés à se prononcer par voie de référendum sur l’avenir de la Catalogne. Le président catalan, Carles Puigdemont, arrivé au pouvoir en 2016 avec un programme promettant l’indépendance, a répété à plusieurs reprises qu’il était prêt à négocier avec Madrid un référendum légal. Il a aussi répété jusqu’à la veille du vote qu’il proclamerait l’indépendance si le OUI l’emportait. On a vu la réaction de Madrid, et on connaît le résultat du scrutin : 90 % de « oui » et un taux de participation de 43 %. Le soir même, le gouvernement de Mariano Rajoy déclarait : « Il n’y a pas eu de référendum d’autodétermination en Catalogne aujourd’hui. » Le gouvernement espagnol manque-t-il d’empathie, voire de bon sens? Certainement. La répression violente par les forces de l’ordre fait-elle penser aux belles années du franquisme? Absolument. Mais pas besoin d’être un spécialiste de la question pour reconnaître que, malgré le succès du référendum obtenu dans des conditions tout à fait indignes d’une démocratie, ce ne sera pas assez pour conférer la légitimité à une déclaration unilatérale d’indépendance. Bien sûr les indépendantistes catalans ne voient pas la chose ainsi. Deux jours après le référendum, ils étaient plus de 700 000 dans les rues de Barcelone pour manifester contre la répression policière madrilène, en reprenant le cri que lançaient les Catalans à la police militaire franquiste durant les années de la dictature (1939-1975) : « Fuera las fuerzas de ocupación !» (Dehors les forces d’occupation). Une semaine après le référendum, des centaines de milliers de personnes (entre 350 000 et 900 000 selon les sources) se sont rassemblées à Barcelone pour protester contre l’indépendance de la Catalogne. Aux cris de « l’Espagne unie ne sera jamais vaincue» et de « Puigdemont en prison », la foule a demandé un « retour au bon sens », le slogan de ce rassemblement. Sur la tribune, Mario Vargas Llosa, l’écrivain péruvien nationalisé espagnol, et Josep Borrell, ancien président du parlement européen (2004-2007), ont accusé les indépendantistes de vouloir « réduire la Catalogne à un pays du Tiers-monde ». Le silence de la communauté internationale Puigdemont a fait appel au soutien de la communauté internationale. Mais, hormis quelques indépendantistes québécois – comment oublier le pathétique « Vive la Catalogne, vive la Catalogne libre ! » (sic) de la cheffe du Bloc québécois, Martine Ouellet -, aucun pays de l’Union européenne ne s’apprête à tenir la main des indépendantistes catalans, tout simplement parce que chacun craint la mouvance indépendantiste en son sein: indépendantistes bretons, nationalistes corses, indépendantistes sardes, indépendantistes écossais, indépendantistes albanais en Grèce, bavarois en Allemagne, flamands en Belgique. Et puis il y a que l’Union européenne se sent menacée. Aucun État n'a l'intention d'amener de l'eau au moulin de partis nationalistes qui veulent en sortir. Aucun État ne souhaite avoir son Brexit. Si jamais le Parlement régional catalan déclarait sa souveraineté, l’Union européenne, comme le reste du monde, ne reconnaîtrait pas ce nouvel État. Des mécontents partout Mardi le 10 octobre, Carles Puigdemont s’est exprimé devant le Parlement régional. Il a déclaré l’indépendance de la Catalogne, tout en suspendant sa mise en œuvre dans l’immédiat, un compromis qui, selon lui, permettait d’offrir à Madrid un nouvel espace de dialogue. Erreur du pitcher. Le discours a été mal reçu par tous. Du côté de Madrid, le gouvernement espagnol a jugé «inadmissible» ce qu’il juge être la déclaration implicite d’indépendance de la Catalogne. Pire, Puidgemont a créé la division dans son propre camp. Nombreux sont ceux qui estiment que cette suspension de l’indépendance est une « trahison ». Et maintenant, on fait quoi? On a dit que ce référendum était « le point d’orgue de la pire crise politique vécue par l’Espagne depuis son retour à la démocratie » en 1977. Mais, on peut penser que le pire est à venir. En tous les cas, pour l’instant, la situation est plus que confuse et il faudrait être devin pour en prévoir l’issue. Print 29614 Tags: Catalogne Mychèle FortinMychèle Fortin Other posts by Mychèle Fortin Contact author Comments are only visible to subscribers.