Close
Économie verte: 960 000 $ à six municipalités de l’Ouest Économie verte: 960 000 $ à six municipalités de l’Ouest

Économie verte: 960 000 $ à six municipalités de l’Ouest

26690

Après avoir aidé 30 municipalités dans leur virage écologique, le Conseil des municipalités bilingues du Manitoba (CDEM) partagera son expertise avec une quarantaine d’administrations locales de l’Ouest. Le mouvement s’étend aussi au Nouveau-Brunswick. 

Développement économique : le CCS invite les communautés à s’auto-évaluer Développement économique : le CCS invite les communautés à s’auto-évaluer

Développement économique : le CCS invite les communautés à s’auto-évaluer

27061
Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) effectue depuis l’année dernière une tournée de consultations afin d’avoir le point de vue des communautés sur leur propre capacité de développement économique. Mais qu’est-ce que ça veut dire au juste?
Bouquinerie Gravel : Sur la route depuis plus de 20 ans Bouquinerie Gravel : Sur la route depuis plus de 20 ans

Bouquinerie Gravel : Sur la route depuis plus de 20 ans

Quand s’en vient le temps des fêtes, on cherche des cadeaux originaux. A l’heure des tablettes, des jeux vidéos, des DVD...
31082
Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois

Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois

Employé de la société d’État Financement agricole Canada (FAC), Thomas Chevalier poursuit conjointement le...
27867
RSS
First7891011131516
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
12345678910Last

Actualité économique

Projet d'implantation d'ÉCONOMUSÉES en Saskatchewan

ÉCONOMUSÉE de la fromagerie du Pied-de-vent aux Îles-de-la-Madeleine au Québec.

ÉCONOMUSÉE de la fromagerie du Pied-de-vent aux Îles-de-la-Madeleine au Québec.

Photo : Martin Fiset, Société du réseau ÉCONOMUSÉE®
Deux conseillers en développement économique du Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) se sont rendus au Québec, entre les 1er et 7 février dernier, pour rencontrer des acteurs du réseau des ÉCONOMUSÉES. L’Eau vive a rencontré un de ces conseillers, M. Jean de Dieu Ndayahundwa, qui mène les opérations du projet d’implantation.

Qu'est-ce qu'un ÉCONOMUSÉE?

Un ÉCONOMUSÉE, c'est une entreprise œuvrant dans le secteur des métiers d'art ou de l'agroalimentaire et qui utilise un savoir-faire unique dans la fabrication de ses produits. La Société du réseau Économusée (SRÉ) est implantée au Québec depuis 1992 et est maintenant bien établie à l’échelle internationale.  

Un ÉCONOMUSÉE met en valeur des artisans et leur métier et rend possible la rencontre du public et des artisans. Pour devenir un ÉCONOMUSÉE, une entreprise doit déjà produire quelque chose, selon une méthode traditionnelle ou non, mais qui nécessite un certain savoir-faire, et mettre de l'avant une production locale. Elle doit aussi disposer d'une aire de réception pour l'accueil des visiteurs, d'un atelier où les visiteurs puissent voir les artisans au travail, d'un espace d'interprétation du savoir-faire traditionnel ou contemporain, d'un centre de documentation et d'une boutique.

Environ 60% des ÉCONOMUSÉES sont dans le secteur de l’agroalimentaire. Sur le plan touristique, ils sont novateurs car ils permettent à une entreprise privée de faire connaître la culture locale et de contribuer à la préservation du « patrimoine culturel immatériel ». Le projet de musée s’invite donc dans l’entreprise comme gardien du savoir de celle-ci, dans un souci de mémoire et de continuité.

Le rôle du CCS

Le CCS a signé en décembre dernier un accord  avec la SRÉ pour pouvoir en utiliser l'appellation et  développer ce même modèle en Saskatchewan. Une première étude avait été faite à l’été 2013 pour voir si des projets d’ÉCONOMUSÉE fonctionneraient ici et c’est ainsi qu’a démarré l’aventure. Sur la base de cette étude, un travail de sensibilisation a déjà commencé à se faire auprès de la communauté francophone ainsi qu’auprès d’entreprises qui pourraient se transformer en ÉCONOMUSÉE. La semaine dernière, des intervenants des quatre bureaux du CCS  de la province (Ponteix, Prince Albert, Regina et Saskatoon) se sont réunis pour discuter de la prochaine étape qui est celle du recrutement.

Le voyage au Québec aura d’ailleurs été formateur, non seulement pour bien cerner l’expertise du réseau et des ÉCONOMUSÉES visités, mais aussi pour apprendre comment bien approcher les entreprises et comment les accompagner éventuellement dans leur transformation en ÉCONOMUSÉE.

Mais on est loin de vouloir bousculer les choses au CCS. On prend le temps de bien connaître les défis que représente le développement de tels projets en situation minoritaire. La Saskatchewan pourra s’inspirer de la Colombie-Britannique qui a déjà amorcé des transformations d’entreprises en ÉCONOMUSÉES, qui sont actuellement au nombre de 7. Le CCS cible d’abord les entreprises du milieu fransaskois mais reste ouvert aux entreprises anglophones. Il ne faut pas oublier que les ÉCONOMUSÉES ont aussi une orientation bilingue.

Selon M. Ndayahundwa, cela prend environ 2 ans pour convertir une entreprise en ÉCONOMUSÉE. Mais il souligne que cela peut varier, que la transformation se fait réellement au rythme de l’entreprise et que certaines entreprises ont déjà tout ce qu’il faut ou presque pour être converties. Il ajoute que c’est une belle occasion pour les petites entreprises qui voudraient y participer de se faire connaître.

Pour de plus amples renseignements sur la Société du réseau Économusée :

www.economusees.com

 

Print
31559

Émilie Dessureault-Paquette (EV)Émilie Dessureault-Paquette

Other posts by Émilie Dessureault-Paquette (EV)
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top