Fonds l'Eau vive banniere Nouveau système d'abonnement
Close
Pour une stratégie économique au service des communautés francophones... Pour une stratégie économique au service des communautés francophones...

Pour une stratégie économique au service des communautés francophones...

Un nouveau champ d'action pour la francophonie internationale?

25083

La nouvelle secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, a troqué ses bureaux de chancelière de l’Université d’Ottawa pour ceux plus cossus des bords de Seine à Paris. Son principal objectif : transformer l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en un organisme plus ambitieux.

Économie verte: 960 000 $ à six municipalités de l’Ouest Économie verte: 960 000 $ à six municipalités de l’Ouest

Économie verte: 960 000 $ à six municipalités de l’Ouest

28014
Après avoir aidé 30 municipalités dans leur virage écologique, le Conseil des municipalités bilingues du Manitoba (CDEM) partagera son expertise avec une quarantaine d’administrations locales de l’Ouest. Le mouvement s’étend aussi au Nouveau-Brunswick. 
Bouquinerie Gravel : Sur la route depuis plus de 20 ans Bouquinerie Gravel : Sur la route depuis plus de 20 ans

Bouquinerie Gravel : Sur la route depuis plus de 20 ans

Quand s’en vient le temps des fêtes, on cherche des cadeaux originaux. A l’heure des tablettes, des jeux vidéos, des DVD...
32303
Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois

Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois

Employé de la société d’État Financement agricole Canada (FAC), Thomas Chevalier poursuit conjointement le...
28860
RSS
First7891011131516
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
12345678910Last

Actualité économique

Jean-Pierre Picard

La SHS suspend la publication de la Revue historique

Revue historique

 

REGINA - Coup de théâtre dans le monde de l’édition fransaskoise : la Société historique de la Saskatchewan (SHS) a annoncé, le 26 octobre 2017, qu’elle suspendait la publication de la Revue historique 27 ans après le lancement de son premier numéro, en octobre 1990. La SHS a évoqué des raisons financières pour expliquer cette mesure.

C’est l’historien et dramaturge Laurier Gareau qui a fondé la revue en octobre 1990 et en a assuré la publication pendant un quart de siècle. Selon lui, cette publication a joué un rôle considérable pour faire connaître la SHS. « Très peu de gens connaissaient la SHS. C’était une association invisible, à part les livres qu’elle publiait. »

Vers la fin des années 90, l’organisme avait choisi de lier l’adhésion des membres à l’abonnement à la revue. Le nombre de membres était ainsi passé d’environ 25 à 250. Aujourd’hui, la SHS compte 180 membres. Selon monsieur Chartier, cette diminution est principalement due au décès de membres plus âgés.

Monsieur Gareau considère que le moment est venu pour la SHS de se pencher sur sa raison d’être.  « Elle existe pour quoi maintenant, si on cesse de publier la revue? Le dernier livre de la SHS date de 2010. Oui, les Journées du Patrimoine et les ateliers scolaires c’est très bien, mais pour le grand public qui n’assiste pas à ces activités, la SHS est en train de redevenir invisible. »

Pour Monsieur Chartier, les nouvelles activités de la SHS représentent une adaptation de l’organisme aux nouvelles réalités de la communauté fransaskoise où il est de plus en plus question d’inclusion des nouveaux arrivants. « L’inclusion passe par le connaissance de l’histoire, par une compréhension de ce qu’ont vécu ceux qui étaient là avant nous » explique-t-il.

En ce qui a trait à la revue, monsieur Chartier souligne que le but visé n’est pas sa disparition, mais d’envoyer un « message choc » à la communauté. La communauté veut-elle ce magazine? Et si oui, peut-on s’assurer de trouver les ressources permettant d’en assurer la publication ?

Monsieur Gareau considère que l’adoption d’un format magazine de haute qualité et l’augmentation du nombre de pages (de 40 à 68) ont entraîné une perte de contrôle des coûts. « Ce format là nous l’avions déjà envisagé, mais seulement si nous pouvions avoir un partenariat avec les provinces voisines avec un plus grand potentiel de marché et de vente publicitaire.  Sauf que les deux autres provinces n’ont pas embarqué. Aller de l’avant sans partenaires, pour moi, ce fut une erreur. »

Pour monsieur Chartier, le problème n’est pas le format de la revue. « Ce ne sont pas les frais d’impression mais plutôt le travail lié à l’édition et à la recherche qui représente la principale dépense. » Il faut noter que pendant les années précédentes, Laurier Gareau faisait le travail d’édition, de rédaction et de mise en page bénévolement.

« Il nous faut un éditeur derrière et quelqu’un qui gère la revue. C’est là le défi et il nous faut trouver des fonds. » Monsieur Chartier se dit ouvert à considérer une collaboration avec d’autres organismes qui œuvrent dans le domaine de l’édition, comme la Coopérative des publications fransaskoises et les Éditions de la nouvelle plume.

Si la revue reprend sa publication, monsieur Gareau considère qu’il sera important d’en assurer une publication régulière. « Lorsque j’ai quitté la revue, il y avait trois numéros publiés par année. Au cours des derniers 2 ans et demi, il y a eu seulement 2 numéros publiés. C’est important de créer une habitude et une régularité pour fidéliser les lecteurs. »

Print
31341

Jean-Pierre PicardJean-Pierre Picard

Other posts by Jean-Pierre Picard
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy Statement© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top