AGA 2024 de la CPF
Close
À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons

À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons

34369
PRINCE ALBERT - Quand vous rencontrez Michel Dubé pour la première fois, vous découvrez très rapidement un personnage du patrimoine fransaskois, à la silhouette gracile et au sourire constamment présent. Avant d’aborder sa passion pour les bisons, il convient de rappeler succinctement son parcours...
Explorer la filière alimentaire à Saskatoon Explorer la filière alimentaire à Saskatoon

Explorer la filière alimentaire à Saskatoon

Depuis plus de six mois, une collaboration étroite s’est développée entre le Conseil de la coopération de la...
27650
Journée dialogue organisée par le CCS Journée dialogue organisée par le CCS

Journée dialogue organisée par le CCS

Dans le cadre de son processus de planification stratégique 2015-2020, le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) a...
26140
Projet d'implantation d'ÉCONOMUSÉES en Saskatchewan Projet d'implantation d'ÉCONOMUSÉES en Saskatchewan

Projet d'implantation d'ÉCONOMUSÉES en Saskatchewan

Deux conseillers en développement économique du Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) se sont rendus au...
30980
Première foire de l'emploi 2015 du CCS à Saskatoon Première foire de l'emploi 2015 du CCS à Saskatoon

Première foire de l'emploi 2015 du CCS à Saskatoon

C’est le jeudi 19 février dernier qu'avait lieu la première foire de l'emploi de 2015 du Conseil de la coopération de...
28680
Une visite à Over the Hill Orchards Une visite à Over the Hill Orchards

Une visite à Over the Hill Orchards

LUMSDEN - L’aventure d'Over the Hill Orchards a commencé il y a quinze ans, et il est assez extraordinaire de constater...
25895

Pour une stratégie économique au service des communautés francophones et acadienne

La nouvelle secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, a troqué ses bureaux de chancelière de l’Université d’Ottawa pour ceux plus cossus des bords de Seine à Paris. Son principal objectif : transformer l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en un organisme plus ambitieux.

RSS
First7891012141516
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
12345678910Last

Actualité économique

Et toi, es-tu fransaskois ?
Alyssa Parker

Et toi, es-tu fransaskois ?

« Qu’est-ce qu’un Fransaskois ? » Telle était la question posée dans un numéro de l’Eau vive en septembre 1979. Quarante-cinq ans plus tard, il est toujours aussi peu facile d’y répondre.

René-Marie Paiement s’interrogeait en septembre 1979 sur l’identité fransaskoise. La question peut sembler très personnelle, avec autant de réponses que d’individus.

Toutefois, on pourrait citer la définition proposée par l’Assemblée communautaire fransaskoise : « Un Fransaskois, c’est quelqu’un qui s’identifie à la communauté francophone de la Saskatchewan, que ce soit par naissance, par mariage, par adoption, ou simplement par identification. »

À l’époque où l’article est écrit, l’histoire des « Canadiens-Français » domine. Mais, déjà, de nouvelles appellations s’imposent avec les Québécois au Québec, les Acadiens dans les Maritimes, les Franco-Ontariens en Ontario, les Franco-Manitobains au Manitoba, etc.

Fait marrant à noter, René-Marie Paiement questionne même l’usage nouveau de ‘Fransaskoisie’, qu’il qualifie de barbarisme.

Un nouveau visage

Là où la réalité a grandement changé entre 1979 et 2024, c’est dans les origines des Fransaskois. René-Marie Paiement parle de « Belges, Français, Québécois et Bretons », alors qu’aujourd’hui le profil de la fransaskoisie est beaucoup plus tourné vers l’Afrique.

Il faut noter que le Canada était surtout, encore à cette époque, une colonie britannique composée de colons européens, d’ouvriers issus d’autres pays mais minoritaires, et des Premières Nations.

Aujourd’hui, le Canada est connu pour sa diversité mondiale, accueillant près de 500 000 immigrants chaque année. Logique, donc, que les Fransaskois aient aussi changé.

L’article de 1979 évoque aussi « les Fransaskois de souche » et « les Néo-Fransaskois » et semble fermer la porte au bilinguisme. J’aimerais pourtant proposer un autre groupe dans la grande famille fransaskoise : les personnes bilingues.

Les bilingues, ou multilingues, devraient être encouragés à participer à la communauté fransaskoise. On manque d’occasions de vivre le français en dehors de l’école. C’est un défi pour les francophones, mais encore plus pour les bilingues.

Si les Fransaskois veulent que la communauté grandisse, les anciens élèves d’immersion et les étudiants en programmes bilingues devraient être inclus.

Les écoles d’immersion ont grandi de 30 % ces dix dernières années dans la province. Il faut ouvrir la porte à ce bassin.

Les personnes qui ont fait du français leur deuxième langue ont fait l’effort d’apprendre la langue, mais souvent ne se sentent pas assez confiantes pour participer aux activités de la communauté.

Comment faire en sorte qu’ils se sentent les bienvenus ? Comment inviter cette population à nous rejoindre ? Comment célébrer les différentes formes de la francophonie et de la fransaskoisie ? Pourraient-ils être considérés comme Fransaskois ?

Cultiver le désir chez les jeunes francophones et bilingues me semble constituer la meilleure façon de protéger et de faire croître le français en Saskatchewan. Et toi, qu’en penses-tu ?

Print
109

Alyssa ParkerGhita Hanane

Other posts by Alyssa Parker
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top