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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

COVID-19 : Une mésaventure mondiale
Dominique Liboiron

COVID-19 : Une mésaventure mondiale

En temps normal, le but de ma chronique est de promouvoir l’aventure et le plein air. Malheureusement, nous ne sommes plus en temps normal. En raison du coronavirus, je préfère vous dissuader de poursuivre des aventures, plus précisément des aventures dans d’autres pays.

Il existe plusieurs raisons pour ne pas voyager durant la présente pandémie. En voici deux principales.

Premièrement, vous pourriez être responsable de la mort de l’un de vos proches. Imaginez que lors d’un voyage vous attrapiez le COVID-19. Cette nouvelle maladie, contre laquelle nous n’avons aucune immunité, se caractérise par une longue période d’incubation. Parfois, les personnes atteintes ne démontrent des symptômes que quatre semaines après avoir été infectées. D’autres ne démontrent aucun symptôme. Toutefois, ils peuvent répandre la maladie.

Il vous serait donc possible de porter le virus lors de votre retour et, sans symptômes, vous n’auriez aucune difficulté à déjouer les prises de température aux aéroports. Au cours des semaines suivantes, vous répandriez parmi vos amis, collègues et membres de famille un virus qui se propage rapidement et facilement. Seriez-vous prêt à accepter cette lourde responsabilité ?

Bien sûr, certains diront que cela ne pourrait jamais leur arriver, telle est la nature humaine, mais sachez qu’une seule femme infectée en Corée du Sud serait possiblement responsable de 60 à 80 % des plus de 2 300 cas dans son pays. Un mois auparavant, elle n’aurait jamais pensé que cela lui arriverait.

Deuxièmement, nous ne savons pas exactement quels pays sont sûrs et lesquels ne le sont pas. On soupçonne que plusieurs nations manquent de transparence et ne communiquent pas le vrai nombre de citoyens malades, notamment la Chine, l’Iran et la Thaïlande. D’autres pays n’effectuent pas suffisamment de tests de dépistage pour déterminer la véritable étendue du COVID-19. Nous comptons ici les États-Unis et le Canada.

Au contraire, la Corée du Sud fait preuve de franchise et fait passer des dizaines de milliers de tests. Grâce à cela, nous savons à quel point le COVID-19 peut se répandre avec férocité. La Corée est passée de 51 cas le 20 février à 2 337 cas le 28 février, avec 13 morts.

En somme, on ne sait tout simplement pas à quel point la maladie est répandue. Il pourrait y avoir bien plus de cas. Aussi, un pays peut subir une explosion de cas durant votre voyage, comme en Corée du Sud. Ces deux facteurs augmentent considérablement votre probabilité de tomber malade ou de ramener le virus au Canada.

Le manque de tests et l’obstruction bureaucratique compliquent la situation. S’ajoute à cela le fait que lors d’une pandémie vous n’êtes pas juste responsable de votre santé. Vous êtes également responsable de la santé des gens qui vous entourent. Il vaut mieux ne pas voyager. 

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Dominique LiboironDominique Liboiron

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