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Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Foires de l'emploi et ateliers sont au programme Thursday, September 17, 2015 24046 Outre les foires, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) a lancé des ateliers pour mieux appréhender le marché du travail et optimiser la recherche d’emploi.
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Le français, un atout de taille en affaires Le français, un atout de taille en affaires Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) Canada a profité de la tenue de... Friday, June 26, 2015 18808
Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan REGINA - Les années se suivent mais ne se ressemblent pas pour l'association fransaskoise qui s'occupe d'économie, le Conseil de la... Thursday, June 18, 2015 29662
Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg GRAVELBOURG - La Coopérative régionale Southland d’Assiniboia a inauguré officiellement une nouvelle essencerie... Thursday, June 18, 2015 25376
Économie et francophonie Économie et francophonie Le Conseil de la coopération a changé de nom pour devenir le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan. Ce... Thursday, June 18, 2015 31707
Tuesday, June 16, 2015 La presse doit se réinventer TORONTO - Les journaux régionaux sont au coeur d'une révolution sans précédent et ils doivent innover pour demeurer pertinents
Tourisme francophone en milieu minoritaire Friday, June 12, 2015 Tourisme francophone en milieu minoritaire Mais le tourisme de proximité n’est pas adapté aux dimensions du Canada. Visiter les communautés francophones reste néanmoins un marché en plein essor.
Jean-Pierre Picard / Tuesday, May 29, 2018 / Categories: 2018, ACF - Assemblée communautaire fransaskoise, Courrier du lecteur ACF : Quand le chef d’orchestre joue de la flûte Même s’ils sont talentueux, des musiciens qui s’attaquent à une symphonie ont besoin d’un chef d’orchestre pour assurer la cohésion de l’interprétation. De même, la coordination des efforts déployés par des organismes communautaires peut maximiser leurs impacts autour d’objectifs communs. Même si plusieurs hésitent encore à le reconnaître, l’association porte-parole de la communauté fransaskoise, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), est toute désignée pour jouer le rôle de chef d’orchestre communautaire et assurer la cohésion du réseau associatif fransaskois. Elle fait des efforts en ce sens, mais les résultats, il faut le reconnaître, ne sont pas toujours au rendez-vous. À qui la faute ? Un peu tout le monde, y inclus l’ACF. Le rôle de l’ACF n’est pas toujours bien compris par la population, ni même par certains organismes. Pourtant, selon les statuts de l’ACF, son mandat est clair : « L’ACF a pour mandat d’être le porte-parole de la communauté fransaskoise. » La confusion autour du rôle de l’ACF est compréhensible compte tenu de la diversité de ses activités. À titre d’exemple, elle organise depuis plusieurs années un camp d’été, le Camp voyageur. Le résultat est excellent. Mais est-ce vraiment là une responsabilité qui relève d’un organisme porte-parole ? Autre exemple : l’ACF offre un atelier sur la santé mentale au mois de juin. Rien dans la promotion de l’activité n’explique de quelle façon elle s’inscrit dans le mandat de l’ACF. Tout récemment, l’ACF a annoncé un projet pour stimuler la création d’entreprises sociales dans la province. Va-t-elle recruter des personnes et exécuter elle-même le travail ou va-t-elle faire appel à un organisme qui œuvre déjà dans secteur économique comme le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) ? Être porte-parole d’une communauté est un défi considérable. Il faut assurer la cohésion du réseau associatif, être à l’écoute de la population, connaître les défis des associations, véhiculer une vision commune et, surtout, défendre les intérêts de la communauté auprès des instances gouvernementales. Bref, l’ACF a du pain sur la planche avec son mandat de porte-parole. Immigration et inclusion Il y a un dossier par contre, pour lequel l’ACF est toute désignée : l’immigration. En tant qu’organisme porte-parole, elle doit être au fait de l’ensemble des ressources du réseau associatif fransaskois. Elle peut ainsi aiguiller les nouveaux arrivants vers les organismes pouvant les appuyer. L’ACF pourrait songer à modifier ses statuts officiels pour ajouter cette dimension à son mandat afin de tenir compte de la nouvelle réalité fransaskoise. En ce sens, je n’ai jamais vraiment compris pourquoi le CÉCS est allé chercher le financement pour le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK) que recevait l’ACF. Oui, la dimension économique est importante pour les nouveaux arrivants, mais ce dossier est bien plus que cela. L’immigration se joue sur plusieurs tableaux : social, scolaire, politique, économique et culturel. Un travail collaboratif Même s’il est un musicien lui-même, un chef d’orchestre ne joue pas d’instrument. En ce moment, les responsables de l’ACF se retrouvent à jouer plusieurs instruments au lieu de se consacrer à diriger la symphonie communautaire. Elle gère des projets et services qui pourraient être pris en main par des organismes dont le mandat est de travailler sur le terrain. Est-ce que le climat de confiance et le sens du compromis sont suffisants au sein du réseau associatif pour que les organismes acceptent de jouer leur partition sous la direction d’un chef d’orchestre ? Certaines situations permettent d’en douter. Dès mes premiers pas au sein du réseau associatif fransaskois, en 1986, j’ai constaté que le sport préféré de bien des Fransaskois était de tirer à boulets rouges sur l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan (ACFC), l’ancêtre de l’ACF. Ce sport semble toujours bien en vogue aujourd’hui, surtout sur les réseaux sociaux. C’est normal de critiquer, car rien n’est parfait. Mais il faut aussi proposer des idées pour améliorer les choses. Du côté de l’ACF, le réflexe a longtemps été de se cantonner sur ses positions. Peut-être pourrait-elle se montrer plus réceptive aux avis divergents et voir ceux-ci comme des occasions de dialogue pour brasser des idées. Jean-Pierre Picard Glenside Print 17983 Jean-Pierre PicardJean-Pierre Picard Other posts by Jean-Pierre Picard Contact author Comments are only visible to subscribers.