Par le biais de son Centre des archives fransaskoises, la Société historique de la Saskatchewan compte numériser tous les numéros de L’Eau vive publiés entre 1971 et 1998, soit 1 095 éditions, ou pas moins de 16 000 pages.
Dégoter des livres en français en milieu francophone minoritaire est loin d’être évident.
À travers ses cinquante ans d’existence, L’Eau vive est restée et continue d'être fidèle à la communauté fransaskoise.
Alors que l'Alberta vient d'annoncer son projet de devenir un grand exportateur d'hydrogène, voici tout ce que vous devez savoir sur ce gaz qui est sur toutes les lèvres.
Quarante ans après le rapatriement de 1982, le projet d'une constitution canadienne entièrement bilingue demeure inachevé.
« Le journal raconte toutes les réussites, les moins bons coups, notre vie finalement », obseve Marie-France Kenny, ancienne présidente du conseil d’administration de la Coopérative des publications fransaskoises.
Tel un « saut quantique », la pandémie nous a tous propulsés dans un nouveau paradigme, éclatant au passage les fondations de nos vies en morceaux.
L’Eau vive a connu de nombreux moments difficiles où le naufrage a parfois semblé proche. Laurier Gareau témoigne que « le journal a dû fermer ses portes à au moins deux reprises ».
Savez-vous donc ce que signifie cauxer, avoir du garnigouaine, ou encore haspar ?
Facilitations aux Fransaskoises Anne Leis et Françoise Sigur-Cloutier, deux nouvelles membres de l'Ordre des francophones d'Amérique.
Durant 50 ans, L’Eau vive a dû surmonter de nombreuses difficultés, mais le journal fransaskois a aussi connu plusieurs succès remarquables.
Le Conseil culturel fransaskois a publié un troisième guide pédagogique consacre à Joseph-Marc Lebel, alias Jean Féron, l’un des joyaux les plus méconnus de la littérature francophone de l’Ouest.
Les pionniers du journal L’Eau vive avaient une vision : doter la Saskatchewan et la communauté francophone d’un outil de communication en français.
« J’utilise les matériaux que l’on retrouve dans l’Ouest canadien, en particulier une argile qui provient de Claybank et Eastend dans le sud de la Saskatchewan. »
— Claude Morin, céramiste fransaskois
La nouvelle ministre des Langues officielles, Ginette Petitpas Taylor, affirme que le projet de loi sur la modernisation de la Loi sur les langues officielles sera déposé dans les 100 premiers jours du gouvernement.
« Quand on est en position de leadership, on doit prendre des coups », affirme le directeur de l’Association des parents fransaskois Abdallah Oumalek.
Qui aurait cru qu'on aurait pu faire appel à autant de créativité et sonder les facettes inexplorées de notre environnement en créant des cartes de bingo!
Félicitations à Finn, Hafsa et Matthew de l'école Père-Mercure pour cette belle prestation lors de la course cross qui a eu lieu mercredi dernier à Wilkie. Et un grand BRAVO à tous les participants!
La traditionnelle marche Terry Fox des élèves de l’école Ducharme s’est déroulée le mercredi 29 septembre.
Votre Conseil scolaire fransaskois pour l'année scolaire 2021-2022.
Message du directeur général du CÉF
La 16e édition du Festival Cinegie fut l’occasion pour le public et les groupes scolaires de visionner une quinzaine de longs et courts métrages canadiens et internationaux récemment sortis.
Le 6 novembre prochain, le célèbre conteur et chanteur québécois Fred Pellerin fera un saut de géant à la salle The Artesian de Regina. Entretien.
Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan a organisé deux formations qui expliquent le monde des cryptomonnaies.
Jérôme Melançon s'interroge sur l'usage du terme « colon », qui est de plus en plus utilisé par des personnes non autochtones pour se présenter et parler d’elles-mêmes.
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.