La Foire des générations avait à cœur de toucher les problèmes de santé les plus persistants auxquels sont confrontées les familles et les communautés.
« Contribuer à renforcer la rencontre entre l’offre et la demande de services de santé en français en Saskatchewan » : tel était le principal objectif de la Foire des générations qui s’est déroulée le 28 mars dernier à Saskatoon.
Compte rendu de la Foire des générations - Formation en santé du Collège Mathieu - La communication médicale en français - Témoignage d'un entraîneur d'une équipe de basketball scolaire - L'importance du lien affectif face aux jeunes en difficultés - Un éléphant dans notre salon: les troubles de santé mentale - L'accompagnement dans le système de santé - Du côté de l'Alberta…
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Comme plusieurs autres familles, le couple Fabienne et Tagnon Missihoun, établi à Saskatoon il y a environ un an, est venu participer à la Foire des générations.
« Faisons face à la vulnérabilité du jeune en cultivant le contexte de l’attachement … » C’est un des principaux enseignements mis de l’avant par la psychologue Eva de Gosztonyi lors de la conférence qu’elle a animée sur le thème « Rejoindre les enfants en difficulté », à l’occasion de la Foire des générations de Saskatoon.
« Dites français et ça va déjà mieux ». C’est le slogan de la campagne nationale de promotion conduite par le Consortium national de formation en santé (CNFS), visant à soutenir l’offre active des services de santé et services sociaux en français, pour les populations en situation minoritaire.
Une étude menée par deux chercheurs de l’Université Concordia permet de démystifier les malentendus qui planent depuis longtemps et d'encourager les parents et les nombreux spécialistes chargés de la promotion et du développement du bilinguisme.
Si un jour vous découvriez un éléphant dans votre salon, que feriez-vous? Est-ce que vous feriez semblant qu’il n’est pas là, marchant autour sans le déranger, ou est-ce que vous appelleriez un dresseur d’éléphant pour vous aider à le faire sortir?
Depuis les années 80, beaucoup d’études tendent à démontrer que plus nous avons des activités variées, plus nous gardons notre cerveau actif. La mémoire en est la première bénéficiaire.
Le conseil d'administration de la Coopérative des publications fransaskoises souhaite vous faire part de quelques nouveautés et projets à venir.
On rapporte de plus de en plus de cas dans la province de personnes âgées et malades, vivant dans des résidences, qui ne reçoivent pas les soins nécessaires de manière adéquate, suite à une carence de personnel qualifié.
Depuis plus de six mois, une collaboration étroite s’est développée entre le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) et la Saskatoon Food Council (SFC).
Désirant se doter d’une voix plus forte, les institutions d’enseignement postsecondaire de la francophonie canadienne ont décidé d’unir leurs forces, créant du même coup l’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne (ACUFC).
Dépassé, élitiste et source de division, le système d’immersion française en place dans les écoles canadiennes? C’est du moins ce qui ressort d’un récent article de la revue MacLean’s, l’une des principales publications du pays.
Anique Granger est une auteure-compositeure-interprète bien connue en Saskatchewan. Originaire de Saskatoon, elle vit au Québec depuis 15 ans.
Les élections fédérales n’auront peut-être lieu que dans six mois mais déjà, différents groupes y vont de leurs revendications. Parmi ceux-ci, les communautés francophones vivant en situation minoritaires.
À l’occasion du 10e anniversaire des Journées du patrimoine, la Société historique de la Saskatchewan (SHS) lançait son concours sur le thème des contes et légendes de la Saskatchewan. Le concours s’est déroulé du 3 septembre 2014 au 25 février 2015.
Rencontre avec deux jeunes musiciens fransaskois en plein épanouissement : Aidan Gareau, 11 ans, pianiste et son frère Gavin Gareau, 9 ans, violoniste et chanteur.
Rencontre avec Amina Hufane, musulmane qui a vécu avec et sans voile. Son hijab l’a sauvée de prédateurs et inondée de demandes en mariage. Sans voile et sans l’appui de sa communauté d’origine, elle semble condamnée à l’isolement dans un milieu hostile aux musulmans. Mais Amina respire librement.
Le lundi 30 mars dernier avait lieu, dans le gymnase du Pavillon secondaire des Quatre-Vents è Regina, la traditionnelle foire locale du Patrimoine. Il y avait environ 43 beaux projets illustrant notre patrimoine canadien, saskatchewannais et surtout, fransaskois.
Comment ne pas sympathiser avec Alexandra Drame (Eau vive, 19-25 mars), confuse devant une étiquette appropriée pour qualifier son identité francophone. Je vis, de temps en temps, de pareils moments.
Réponse au courrier du lecteur sur le Grand Quiz dans l'édition du 26 mars au 1er avril
Réflexion sur l'identité fransaskoise. Plusieurs personnes dans la communauté demandent la question "à partir de quand est-on Fransaskois?"
Marie-France Kenny arrive à la limite permise de trois mandats successifs à la tête de la Fédération des communautés francophones et acadienne.
Le Conseil des écoles fransaskoises (CEF) a décidé de transférer l’école Sans-Frontières de Lloydminster au Conseil scolaire Centre-Nord le 2 juillet prochain. Lors de la rencontre organisée en novembre dernier, le CEF avait évoqué des problèmes financiers liés à la contribution moindre de l’Alberta pour chacun de ‘‘ses’’ élèves (par rapport à la Saskatchewan). Or plus de trois quarts des enfants de cette école viennent de l’Alberta…
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.