Survol de l'actualité fransaskoise durant l'année 2021 dans le domaine de l'éducation.
Survol de l'actualité fransaskoise durant l'année 2021.
Jetez un coup d'oeil à l'histoire de l'Eau vive : le dépositaire de l’action collective de la communauté fransaskoise et pilier fondamental de son développement depuis 1971.
Par le biais de son Centre des archives fransaskoises, la Société historique de la Saskatchewan compte numériser tous les numéros de L’Eau vive publiés entre 1971 et 1998, soit 1 095 éditions, ou pas moins de 16 000 pages.
À travers ses cinquante ans d’existence, L’Eau vive est restée et continue d'être fidèle à la communauté fransaskoise.
« Le journal raconte toutes les réussites, les moins bons coups, notre vie finalement », obseve Marie-France Kenny, ancienne présidente du conseil d’administration de la Coopérative des publications fransaskoises.
L’Eau vive a connu de nombreux moments difficiles où le naufrage a parfois semblé proche. Laurier Gareau témoigne que « le journal a dû fermer ses portes à au moins deux reprises ».
Durant 50 ans, L’Eau vive a dû surmonter de nombreuses difficultés, mais le journal fransaskois a aussi connu plusieurs succès remarquables.
Les pionniers du journal L’Eau vive avaient une vision : doter la Saskatchewan et la communauté francophone d’un outil de communication en français.
Relisez la première édition de notre journal pour contempler à quel point les enjeux qui inquiétaient la première équipe de rédaction de l'Eau vive n’ont pas pris une ride.
Le journal fransaskois l’Eau vive a été consacré Journal de l’année par l’Association de la presse francophone.
Lors du colloque « Les médias francophones sous toutes leurs coutures » tenu à l’Université Sainte-Anne en Nouvelle-Écosse, le professeur Michael Poplyansky et l’assistant de recherche Fredrick Etommy, ont présenté « Une vitrine sur les longues années 1970 : la première décennie de L’Eau vive ».
SASKATOON - La nouvelle image du journal fransaskois l’Eau vive a été accueillie par les chaleureux applaudissements d’une quarantaine de convives présents dans les locaux de la Troupe du Jour vendredi 20 septembre à Saskatoon.
REGINA - Le conseil d’administration de la Coopérative des publications fransaskoises engage ce printemps un tournant majeur pour le journal, tant sur le plan de son modèle d’affaires qu’au niveau du contenu. Une nouvelle direction générale doit entrer en poste à la mi-avril pour mettre en œuvre ce renouveau.
On ne peut qu’être abasourdis par la qualité et la quantité du travail que Mychèle a abattu depuis qu’elle s’est retrouvée à la barre du contenu de l’Eau vive en 2015.
Nicolas Roussy est le nouveau directeur de la Coopérative des publications fransaskoises et rédacteur en chef de l'Eau vive. Il entrera en fonction dès le début du mois d’avril.
L’Eau vive, en partenariat avec le Collège Mathieu et le Centre St-Pierre de Montréal, a offert une formation en communication à une trentaine d’employés du réseau associatif fransaskois.
Un nouveau magazine francophone en milieu minoritaire a vu le jour au Manitoba avec le lancement de la revue Nénuphar et de la revue littéraire en ligne À ciel ouvert en Saskatchewan.
L'Association de la presse francophone a développé une Charte de la presse écrite afin d'aider ses journaux en milieu minoritaire.
REGINA - Les Éditions de la nouvelle plume déménagent au Carrefour Horizon de l’École Monseigneur de Laval dans un des locaux de la Coopérative des publications fransaskoises.
Depuis sa création, en 1971, le journal l’Eau vive a consigné dans ses pages de nombreux moments de l’histoire fransaskoise. Profitant de la Semaine des archives qui se déroule du 5 au 11 février 2017, l’Eau vive a lancé sa galerie en ligne d’archives visuelles. Visitez les galeries de l'Eau vive!
Grâce à un appui financier du Secrétariat aux affaires intergouvernementales canadiennes (SAIC), l’équipe de la Coopérative des publications fransaskoises a participé à une mission exploratoire au Québec afin de rencontrer des partenaires potentiels pour assurer la suite du développement du Portail fransaskois.
Pour assurer la vitalité de notre presse communautaire, ne pourrait-on pas adopter une politique semblable à celle mise en place pour stimuler le secteur artistique? Si les associations consacraient un petit 1% de leur budget à la promotion de leurs activités dans nos pages et sur notre site, la presse fransaskoise serait en bien meilleure santé.
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.