Le changement climatique n’est pas le seul phénomène à causer des ravages à l’environnement. Des actions directes et intentionnelles continuent de détruire l’air.
Mère Nature nous en a fait voir de toutes les couleurs en 2023. Mais une chose est sûre, l'année 2024 s'annonce pleine de remous.
Depuis le 30 novembre, la COP 28 vise à mettre d'accord la planète entière sur la réduction des gaz à effet de serre. Pendant ce temps, le gouvernement de Scott Moe monte au créneau pour demander à Ottawa une exonération de la taxe carbone sur le chauffage des particuliers.
Le verdissement de zones urbaines entraîne parfois une hausse des prix et le départ des populations les plus vulnérables. Rendre les villes durables sans aggraver les inégalités sociales, tel est l’enjeu des municipalités à l’heure des changements climatiques.
Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire. Et de faire, au passage, quelques économies. Un véritable luxe en période d'inflation généralisée.
CHRONIQUE – Il est déjà trop tard pour éviter les premières transformations climatiques irréversibles. La cible d’un réchauffement limité à 1,5 °C ne sera sans doute pas atteinte, mais nous avons encore la possibilité d’éviter le pire et d’atténuer les effets catastrophiques du changement climatique sur plusieurs populations.
Notre série sur le tourisme se termine par la découverte d’un endroit peu connu, mais qui renferme un bon nombre de mystères : le site historique Doug Richards. Je n’ai pas l’ombre d’un doute que les amateurs d’histoire, d’archéologie et d’artéfacts autochtones sauront apprécier sa visite.
La piètre qualité de l’air se fait sentir jusqu’à Regina, dans le sud de la Saskatchewan, alors que des feux de forêt sont encore actifs dans les communautés du nord telles que Île-à-la-Crosse et La Ronge. Le Conseil des écoles fransaskoises (CEF) a même pris la décision d’annuler ses Jeux prévus les 18 et 19 mai.
Le 24 avril, l'Association francophone pour le savoir (ACFAS-Saskatchewan) a accueilli Mélanie Trudel, professeure au département de génie civil et génie du bâtiment de l’Université de Sherbrooke au Québec pour la dernière présentation des célébrations du 100e anniversaire de l'ACFAS nationale. L’événement en ligne avait pour thème Les changements climatiques et leur impact sur la ressource en eau et a rassemblé une dizaine de personnes.
La Saskatchewan compte plus de 600 plantes indigènes. Préexistantes à la colonisation européenne, ces dernières sont essentielles à la pollinisation et à l’équilibre des écosystèmes locaux. Alors que beaucoup des plantes vendues en commerce sont exotiques, un mouvement associatif veut faire (re)pousser les jardins indigènes.
Il existe une rivalité entre mon père et moi. Chaque printemps, nous nous lançons dans un concours un peu spécial : être le premier à voir un gopher. Qui a gagné cette année ?
Il a beau être parti, il nuit encore. Quand l’homme quitte un lieu, inutile d’être Sherlock Holmes pour savoir qu’il y est passé. L’homme artificialise, construit, bétonne pour y développer ses activités, bien souvent lucratives. Quand les ronds ne rentrent plus, il va voir ailleurs si le vent est plus porteur.
Pour tout immigrant, tirer un trait sur ses habitudes alimentaires est déchirant. Aubergines africaines, gombo, piments, haricots nains… Autant de saveurs qui manquent dans l’assiette des nouveaux arrivants issus d’Afrique. Le développement de fermes tropicales au sein même de la Saskatchewan pourrait changer la donne.
Notre planète Terre a été diagnostiquée depuis un bon bout de temps comme étant en mauvais état. Elle souffre particulièrement d’un surplus de plastique et d’embonpoint résultant d’une surconsommation irréfléchie. Et en Saskatchewan, ça ne va guère mieux.
Qui n’a jamais rêvé de contribuer à l’avancée de la science, tout comme Charles Darwin en son temps, ce naturaliste britannique du 19e siècle dont les découvertes scientifiques sont encore le fondement de la biologie moderne ? C’est possible aujourd’hui.
Les prochaines années resteront dans l’Histoire comme l’époque de la transition énergétique pour notre civilisation. Cette transition, essentielle à notre survie comme espèce, annonce la fin de l’hégémonie pétrolière et l’émergence de nouvelles énergies, et surtout de nouveaux modes de production et de distribution.
FRANCOPRESSE – Au Sud de Saskatoon, le lac Diefenbaker joue depuis plusieurs décennies le rôle de réservoir pour les résidents et les agriculteurs de la région. Le grenier du Canada souffre toutefois des changements climatiques, si bien que les 9 milliards de mètres cubes d’eau du réservoir ne sont plus suffisants pour abreuver les cultures. La province travaille donc depuis 2020 à un projet qui devrait augmenter significativement la surface des terres irrigables en Saskatchewan.
Le 4 avril dernier, le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) publiait le troisième et dernier volet de son sixième rapport d'évaluation, intitulé Changement climatique 2022 : atténuation du changement climatique. On n'en a pas beaucoup parlé. On devrait.
Lors d’un webinaire organisé le 24 mars, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a dressé le portrait d’un potentiel énorme en matière de valorisation des déchets et d’économie circulaire dans la province.
La capitale de la Saskatchewan devient la 5e ville du Canada à recevoir le précieux trophée de Ville amie des oiseaux.
Un article scientifique de l’Université de la Saskatchewan s’intéresse aux différents mécanismes conduisant au déclin des populations du caribou des bois dans la province.
Frédéric Dupré: cette pandémie est probablement la pointe de l’iceberg que notre civilisation vient de frapper de plein fouet.
Avec le Winter Bug Count, vous pourrez contribuer vous aussi au recensement des petites bêtes et devenir de véritables entomologistes.
Les Communautés francophones accueillantes (CFA) de Moose Jaw et Gravelbourg ont offert un atelier sur les changements climatiques.
Pour Michel Vézina, même le père Noël et son équipe de lutins, dont le bilan carbone n’est pas très reluisant, ne peuvent plus échapper aux conséquences des changements climatiques.
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.