Extraits du recueil Contes bleus à encre économe (Éditions de la nouvelle plume, 2020)
Micro-nouvelle
Jean-Christophe est vétilleux en ce qui concerne l’orthographe. En 1989, il eut son premier rictus quand on a osé suggérer une orthographe rectifiée.
Texte humoristique d'Ian C. Nelson sur la correspondance entre un fils et sa mère.
Le miroir dans la chambre de Ghislain avait tout vu. Depuis le début, il lui reflétait même son prénom qui veut dire « otage et doux ami ».
Vous allez vous reconnaître ou reconnaître quelques-uns de vos proches dans les personnages que vous trouverez sur cette véranda particulière pour ce repas à la campagne.
SASKATOON - Ian C. Nelson nous livre ses impressions de la création pour enfants de La Troupe du Jour sur un texte de David Baudemont.
Ian C. Nelson partage ses impressions de la production communautaire de La Troupe du Jour.
D’abord Murielle voulait changer son prénom. La Sainte Muriel qui se fête le 25 août, jour de sa naissance, avait deux inconvénients pour elle.
ST-DENIS - Bon débarras est le titre évocateur d’une pièce de Madeleine Blais-Dahlem qui touche à des sujets personnels qui tiraillent souvent des gens de l’âge d’or : la décision de déménager pour des raisons de santé et la question de la ferme que l’on abandonne ou que l’on essaie de passer à une nouvelle génération.
Une partie de l’émerveillement réside dans les conceptions sonore et visuelle qui transgressent la ligne usuelle entre le jeu et la technique, car Duquette et Poulin-Denis partagent la scène avec les interprètes en leur fournissant de la musique sur vinyle, des appels cellulaires, des accessoires et un écran où la suite des images se fait simplement à la main, à la vue du public.
Que peuvent bien se raconter des valises dans une soute à bagages?
Le 23 septembre, La Troupe du Jour lançait sa nouvelle saison avec la première mondiale de la version francophone de Ma Irma (Oh My Irma) de la dramaturge Haley McGee. Marie-Claire Marcotte réussit une performance on ne peut plus dynamique et nuancée dans le grand jeu de déséquilibre de cette pièce.
Blaise cherchait une carrière. Il voulait avoir un but précis quand il allait choisir ses premiers cours à la faculté. Il habitait un petit village sur la rive gauche d’un fleuve qui portait un nom amérindien un peu déformé par la langue inflexible des conquérants malgré leur recours à l’alcool pour supporter la vie dans un pays tellement sauvage.
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.