Skip Navigation
Fonds l'Eau vive banniere Nouveau système d'abonnement
L’enseignement en français au cœur des débats

L’enseignement en français au cœur des débats

Les collèges et universités francophones en milieu minoritaire font face à d’importants défis partout au Canada.

1 mars 2022/Auteur: Marie-Lou Bernatchez – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (9577)/Commentaires ()/
Balises:
Les faibles taux de rétention, revers de la médaille en immersion

Les faibles taux de rétention, revers de la médaille en immersion

Les programmes d’immersion ont augmenté dans les vingt dernières années, mais moins de la moitié des élèves restent jusqu’à l’obtention de leur diplôme.

10 février 2022/Auteur: Ericka Muzzo – Francopresse /Nombre de vues (8563)/Commentaires ()/
Balises:
Postsecondaire dans l'Ouest: la demande dépasse l’offre

Postsecondaire dans l'Ouest: la demande dépasse l’offre

Dans l’Ouest canadien, la demande pour des programmes en français est plus élevée que l’offre des établissements postsecondaires. C'est ce qui ressort des États généraux sur le postsecondaire en contexte francophone minoritaire.

8 février 2022/Auteur: Marianne Dépelteau – Francopresse/Nombre de vues (9243)/Commentaires ()/
Balises:
La francophonie, parent pauvre du postsecondaire

La francophonie, parent pauvre du postsecondaire

L’égalité est loin d’être atteinte entre les établissements postsecondaires francophones et ceux de la majorité anglophone. 

25 janvier 2022/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (8152)/Commentaires ()/
Balises:
Revue de l'année 2021 - Éducation

Revue de l'année 2021 - Éducation

Survol de l'actualité fransaskoise durant l'année 2021 dans le domaine de l'éducation.

14 janvier 2022/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (9782)/Commentaires ()/
Reconnaissance nationale pour Ronald Ajavon du CÉF

Reconnaissance nationale pour Ronald Ajavon du CÉF

Ronald Ajavon du Conseil des écoles fransaskoises est reconnu parmi les 10 personnalités influentes de la francophonie canadienne de 2021.

3 janvier 2022/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (8925)/Commentaires ()/
Balises:
Garderies à 10 $ : pas de clause linguistique pour les francophones

Garderies à 10 $ : pas de clause linguistique pour les francophones

La Fédération des communautés francophones et acadiennes craint désengagement du fédéral de sa responsabilité de protéger l'éducation de la petite enfance en français. 

 

17 décembre 2021/Auteur: Inès Lombardo – Francopresse /Nombre de vues (11475)/Commentaires ()/
Étudier en français sans le parler : le défi des élèves allophones

Étudier en français sans le parler : le défi des élèves allophones

L’intégration des élèves allophones, de plus en plus nombreux, représente un défi pour les écoles francophones en milieu minoritaire. 

16 décembre 2021/Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/Nombre de vues (8164)/Commentaires ()/
Balises:
Qu'est-ce que la communauté fransaskqueer?

Qu'est-ce que la communauté fransaskqueer?

La Cité universitaire francophone de Regina organisait une table ronde sur la communauté fransaskqueer, du nom d’un projet d’études sur l’identité et les expériences queer et trans des Fransaskois.

28 novembre 2021/Auteur: Estelle Bonetto – IJL-Réseau.Presse /Nombre de vues (14458)/Commentaires ()/
Balises: lgbtq
Éducation francophone : Me  Roger Lepage décortique l’article 23

Éducation francophone : Me Roger Lepage décortique l’article 23

Me Roger Lepage nous explique que la francophonie canadienne en situation minoritaire revient de loin en matière d’éducation en français.

21 novembre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (14603)/Commentaires ()/
Quel continuum en éducation pour les Fransaskois ?

Quel continuum en éducation pour les Fransaskois ?

Le Rendez-vous fransaskois qui avait lieu du 1er au 7 novembre touchait un sujet sensible et urgent : l’éducation. Dans cet article, vous trouverez un résumé des discussions qui ont eu lieu à ce sujet.

13 novembre 2021/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (14891)/Commentaires ()/
Jean Féron : à la découverte d’un trésor bien caché

Jean Féron : à la découverte d’un trésor bien caché

Le Conseil culturel fransaskois a publié un troisième guide pédagogique consacre à Joseph-Marc Lebel, alias Jean Féron, l’un des joyaux les plus méconnus de la littérature francophone de l’Ouest.

 

1 novembre 2021/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (14860)/Commentaires ()/
Des balados en français pour les écoles

Des balados en français pour les écoles

Le Conseil culturel fransaskois a dévoilé son projet déCLIC, une série de balados éducatifs qui explore la construction langagière, identitaire et culturelle en Saskatchewan.

25 octobre 2021/Auteur: Leslie Garrido-Diaz/Nombre de vues (9084)/Commentaires ()/
Balises: DéCLIC
Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques

Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques

La création d’un système public pancanadien de garderies à 10 $ améliorera le sort des parents canadiens, mais les francophones en situation minoritaire s’inquiètent du manque de places de garderie pour eux malgré tout.

8 octobre 2021/Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/Nombre de vues (10238)/Commentaires ()/
Balises:
Garderies francophones : une cinquantaine de nouvelles places à Saskatoon

Garderies francophones : une cinquantaine de nouvelles places à Saskatoon

Apprenez-en plus sur les deux nouveaux établissements de la petite enfance francophones qui ont ouvert leurs portes récemment à Saskatoon.

7 octobre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (10949)/Commentaires ()/
RSS
123578910Dernière
Dernière demeure internationale ouvre ses portes à Saskatoon

Dernière demeure internationale ouvre ses portes à Saskatoon

Auteur: Bertrand Simb Simb – IJL-Réseau.Presse/23 octobre 2024/Catégories: Communautaire, Saskatoon, Société

Les locaux du Rendez-vous fransaskois à Saskatoon ont accueilli le 4 octobre l’ouverture du bureau régional de Dernière demeure internationale, un organisme caritatif qui vient en aide aux familles endeuillées.

Dernière demeure internationale (DDI) est un organisme à but non lucratif de solidarité qui offre à ses membres une assistance en cas de décès, réduisant le poids financier sur les proches et permettant de vivre le deuil avec moins de stress.

« L’organisme cible les Afrodescendants de la diaspora américaine, canadienne et européenne en particulier, mais accueille toutes les communautés sans distinctions », explique Henriette Wambo, directrice générale de l’organisme.

Selon cette dernière, les familles sont peu informées et peu préparées au processus de décès. Elles n’ont pas de pré-arrangement funéraire et sont incapables de faire face à un décès lorsqu’il survient.

Un bureau en Saskatchewan

L’organisme disposait déjà de bureaux régionaux en Alberta, en Ontario et à Montréal, mais pas encore en Saskatchewan.

« Après avoir été témoin de plusieurs collectes de fonds organisées dans la communauté lors de décès, lesquelles ne sont même pas suffisantes lors de pareilles occasions, je me suis dit pourquoi ne pas adhérer à une organisation crédible, bien établie, qui peut aider efficacement et soulager les familles », relate Mamady Camara, responsable du nouveau bureau.

Image
PHOTOS Crédits : Bertrand Simb Simb Mamady Camara, directeur du bureau DDI Saskatchewan

Selon Adnan Rherrass, membre de la communauté à Saskatoon, cette ouverture d’une antenne régionale « répond à plusieurs besoins, surtout pour des familles nouvellement arrivées et vulnérables, qui n’ont vraiment pas de ressources financières à mobiliser en cas de décès ».

« Notre rôle sera de sensibiliser, d’informer et d’attirer le plus de membres possible », énonce Mamady Camara.

Pour ce faire, plusieurs organisations francophones ont été invitées lors de l’inauguration du bureau et DDI compte être présent lors des futurs rassemblements de la communauté.

« Nous initierons aussi des activités qui rassembleront les gens », ajoute Mamady Camara avec détermination et enthousiasme.

Pour le moment, le bureau de la Saskatchewan est composé de trois membres, mais l’équipe est vouée à s’élargir à travers la province.

La solidarité

Lorsqu’un décès survient au sein de son réseau, l’organisme lance une collecte de fonds pour couvrir les charges funéraires à hauteur de 15 000 dollars. Les contributions baissent au fur et à mesure que le nombre d’inscrits augmente.

« En un clic, nous touchons tous les membres, peu importe la distance. Nous collectons des fonds et payons la facture », explique Henriette Wambo.

L’organisme s’appuie ainsi sur la loi du nombre : « Plus on est nombreux, moins grande est la contribution de chaque membre au moment d’un décès », ajoute la directrice. En plus des cotisations de ses membres, l’organisme vit de subventions et de dons.

Pour s’inscrire, « il faut être résident des territoires admis, à savoir le Canada, les États-Unis ou l’Europe, et avoir atteint l’âge de la majorité. Le sexe, la race, la religion et la culture ne sont pas des critères de sélection ».

Plusieurs services offerts

Selon la directrice générale de DDI, les retombées des activités de l’organisation sur la communauté sont multiples.

« L’adhérent décédé est accompagné dans la dignité à sa dernière demeure, le fardeau financier est retiré des épaules des proches qui ont le temps de faire le deuil, ce qui réduit l’anxiété et le stress, tout en donnant un sentiment d’appartenance à une communauté solidaire », détaille Henriette Wambo.

En plus du soutien financier et moral, DDI offre un accompagnement pour la gestion des funérailles. Des ateliers et des formations sont également offerts afin d’éduquer, informer et sensibiliser aux enjeux entourant le décès.

À l’heure actuelle, DDI compte 9 100 membres inscrits et a pour ambition d’atteindre le million.

Imprimer

Nombre de vues (3325)/Commentaires (0)

Ghita Hanane

Bertrand Simb Simb – IJL-Réseau.Presse

Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x

 - mardi 24 décembre 2024