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Festival fransaskois 2024
Les faibles taux de rétention, revers de la médaille en immersion

Les faibles taux de rétention, revers de la médaille en immersion

Les programmes d’immersion ont augmenté dans les vingt dernières années, mais moins de la moitié des élèves restent jusqu’à l’obtention de leur diplôme.

10 février 2022/Auteur: Ericka Muzzo – Francopresse /Nombre de vues (6042)/Commentaires ()/
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Postsecondaire dans l'Ouest: la demande dépasse l’offre

Postsecondaire dans l'Ouest: la demande dépasse l’offre

Dans l’Ouest canadien, la demande pour des programmes en français est plus élevée que l’offre des établissements postsecondaires. C'est ce qui ressort des États généraux sur le postsecondaire en contexte francophone minoritaire.

8 février 2022/Auteur: Marianne Dépelteau – Francopresse/Nombre de vues (6877)/Commentaires ()/
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La francophonie, parent pauvre du postsecondaire

La francophonie, parent pauvre du postsecondaire

L’égalité est loin d’être atteinte entre les établissements postsecondaires francophones et ceux de la majorité anglophone. 

25 janvier 2022/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (6352)/Commentaires ()/
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Revue de l'année 2021 - Éducation

Revue de l'année 2021 - Éducation

Survol de l'actualité fransaskoise durant l'année 2021 dans le domaine de l'éducation.

14 janvier 2022/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (6863)/Commentaires ()/
Reconnaissance nationale pour Ronald Ajavon du CÉF

Reconnaissance nationale pour Ronald Ajavon du CÉF

Ronald Ajavon du Conseil des écoles fransaskoises est reconnu parmi les 10 personnalités influentes de la francophonie canadienne de 2021.

3 janvier 2022/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (7083)/Commentaires ()/
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Garderies à 10 $ : pas de clause linguistique pour les francophones

Garderies à 10 $ : pas de clause linguistique pour les francophones

La Fédération des communautés francophones et acadiennes craint désengagement du fédéral de sa responsabilité de protéger l'éducation de la petite enfance en français. 

 

17 décembre 2021/Auteur: Inès Lombardo – Francopresse /Nombre de vues (8494)/Commentaires ()/
Étudier en français sans le parler : le défi des élèves allophones

Étudier en français sans le parler : le défi des élèves allophones

L’intégration des élèves allophones, de plus en plus nombreux, représente un défi pour les écoles francophones en milieu minoritaire. 

16 décembre 2021/Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/Nombre de vues (6786)/Commentaires ()/
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Qu'est-ce que la communauté fransaskqueer?

Qu'est-ce que la communauté fransaskqueer?

La Cité universitaire francophone de Regina organisait une table ronde sur la communauté fransaskqueer, du nom d’un projet d’études sur l’identité et les expériences queer et trans des Fransaskois.

28 novembre 2021/Auteur: Estelle Bonetto – IJL-Réseau.Presse /Nombre de vues (10413)/Commentaires ()/
Balises: lgbtq
Éducation francophone : Me  Roger Lepage décortique l’article 23

Éducation francophone : Me Roger Lepage décortique l’article 23

Me Roger Lepage nous explique que la francophonie canadienne en situation minoritaire revient de loin en matière d’éducation en français.

21 novembre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (10919)/Commentaires ()/
Quel continuum en éducation pour les Fransaskois ?

Quel continuum en éducation pour les Fransaskois ?

Le Rendez-vous fransaskois qui avait lieu du 1er au 7 novembre touchait un sujet sensible et urgent : l’éducation. Dans cet article, vous trouverez un résumé des discussions qui ont eu lieu à ce sujet.

13 novembre 2021/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (9969)/Commentaires ()/
Jean Féron : à la découverte d’un trésor bien caché

Jean Féron : à la découverte d’un trésor bien caché

Le Conseil culturel fransaskois a publié un troisième guide pédagogique consacre à Joseph-Marc Lebel, alias Jean Féron, l’un des joyaux les plus méconnus de la littérature francophone de l’Ouest.

 

1 novembre 2021/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (10162)/Commentaires ()/
Des balados en français pour les écoles

Des balados en français pour les écoles

Le Conseil culturel fransaskois a dévoilé son projet déCLIC, une série de balados éducatifs qui explore la construction langagière, identitaire et culturelle en Saskatchewan.

25 octobre 2021/Auteur: Leslie Diaz/Nombre de vues (7705)/Commentaires ()/
Balises: DéCLIC
Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques

Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques

La création d’un système public pancanadien de garderies à 10 $ améliorera le sort des parents canadiens, mais les francophones en situation minoritaire s’inquiètent du manque de places de garderie pour eux malgré tout.

8 octobre 2021/Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/Nombre de vues (8397)/Commentaires ()/
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Garderies francophones : une cinquantaine de nouvelles places à Saskatoon

Garderies francophones : une cinquantaine de nouvelles places à Saskatoon

Apprenez-en plus sur les deux nouveaux établissements de la petite enfance francophones qui ont ouvert leurs portes récemment à Saskatoon.

7 octobre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (9208)/Commentaires ()/
Une Journée d’orientation scolaire réussie

Une Journée d’orientation scolaire réussie

La Journée d’orientation scolaire du SAIF-SK pour les nouveaux arrivants a attiré plus d’une quinzaine de familles francophones et non francophones.

6 septembre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari/Nombre de vues (10164)/Commentaires ()/
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Qui aime bien châtie bien

Auteur: Sébastien Németh/1 octobre 2015/Catégories: 2015, Éditorial, Politique

La francophonie canadienne était absente du débat des chefs tenu en français
Tout le monde est tombé à bras raccourcis sur Radio Canada après le débat des chefs entre les principaux leaders des partis. ACF, FCFA, SANB, ACF…  Bref tout un tas d’organismes pleins d’acronymes et de francophonie reprochent au diffuseur public de n’avoir posé aucune question sur les francophones hors Québec.

Pour eux, c’est un signe de désintérêt, voire de mépris envers la communauté. Personne n’a autant de mal que les journalistes à formuler un mea culpa. A part peut-être les politiciens… Le diffuseur public s’est donc défendu d’une quelconque malice envers les francophones minoritaires. « Nous avons choisi des thèmes qui concernent l’ensemble des Canadiens […] On s’est assuré qu’on ne prenait pas de références québécoises », a tenté d’expliquer Michel Cormier, son directeur de l’information. Certes. Mais tout ici est question de symbole.

Les francophones hors Québec savent très bien que leur cas n’est pas le premier souci des conservateurs, NPD et autre Parti libéral. Ils savent très bien que leurs préoccupations passent loin derrière l’économie, la sécurité, le procès Duffy, les lois anti-terroristes, etc. Mais ce qu’ils veulent, c’est du symbole ! Au moins une question, juste pour eux, rien que pour eux ! Qu’ils se sentent exister, qu’ils sentent qu’on pense à eux, qu’ils sentent qu’on ne les oublie pas.

Et dans leur éternelle peur de l’assimilation, ils ont un besoin vital, quasi viscéral, de savoir ce que pensent d’eux les futurs maîtres du pays. Et ça, Michel Cormier ne l’a apparemment pas compris. Ses réponses pourraient même dénoter une certaine ingratitude. Dès que Radio Canada voit ses budgets coupés, ses moyens charcutés, son bas de laine amputé, c’est tout le pays qui se dresse pour défendre l’institution. Milieux minoritaires compris. Car ces francophones hors Québec aiment leur diffuseur public. Ils veulent qu’il poursuive ses missions, surtout en français. Ils ont besoin de lui. Comme en amour, on a besoin de se sentir important aux yeux de l’autre, de se sentir considéré. On a besoin que l’autre nous regarde, car s’il nous oublie, ça veut peut-être dire qu’il ne nous aime plus… 

Les francophones hors Québec aiment Radio Canada, mais ils ont besoin aussi, de temps en temps, d’une preuve d’amour en retour. Or avec ce débat des chefs, Radio Canada a détourné le regard de ceux qui ont besoin du sien. Mais que notre diffuseur public se rassure. Un sondage tombé ce mardi montre que  72% des citoyens mise sur Radio-Canada/CBC pour protéger la culture et l’identité canadiennes à la télévision. La côte d’amour reste élevée. Auditeurs et téléspectateurs ne sont pas ingrats, eux.

 

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Sébastien Németh

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 - lundi 1 juillet 2024