Skip Navigation
Les faibles taux de rétention, revers de la médaille en immersion

Les faibles taux de rétention, revers de la médaille en immersion

Les programmes d’immersion ont augmenté dans les vingt dernières années, mais moins de la moitié des élèves restent jusqu’à l’obtention de leur diplôme.

10 février 2022/Auteur: Ericka Muzzo – Francopresse /Nombre de vues (5861)/Commentaires ()/
Balises:
Postsecondaire dans l'Ouest: la demande dépasse l’offre

Postsecondaire dans l'Ouest: la demande dépasse l’offre

Dans l’Ouest canadien, la demande pour des programmes en français est plus élevée que l’offre des établissements postsecondaires. C'est ce qui ressort des États généraux sur le postsecondaire en contexte francophone minoritaire.

8 février 2022/Auteur: Marianne Dépelteau – Francopresse/Nombre de vues (6569)/Commentaires ()/
Balises:
La francophonie, parent pauvre du postsecondaire

La francophonie, parent pauvre du postsecondaire

L’égalité est loin d’être atteinte entre les établissements postsecondaires francophones et ceux de la majorité anglophone. 

25 janvier 2022/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (6238)/Commentaires ()/
Balises:
Revue de l'année 2021 - Éducation

Revue de l'année 2021 - Éducation

Survol de l'actualité fransaskoise durant l'année 2021 dans le domaine de l'éducation.

14 janvier 2022/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (6634)/Commentaires ()/
Reconnaissance nationale pour Ronald Ajavon du CÉF

Reconnaissance nationale pour Ronald Ajavon du CÉF

Ronald Ajavon du Conseil des écoles fransaskoises est reconnu parmi les 10 personnalités influentes de la francophonie canadienne de 2021.

3 janvier 2022/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (6898)/Commentaires ()/
Balises:
Garderies à 10 $ : pas de clause linguistique pour les francophones

Garderies à 10 $ : pas de clause linguistique pour les francophones

La Fédération des communautés francophones et acadiennes craint désengagement du fédéral de sa responsabilité de protéger l'éducation de la petite enfance en français. 

 

17 décembre 2021/Auteur: Inès Lombardo – Francopresse /Nombre de vues (8191)/Commentaires ()/
Étudier en français sans le parler : le défi des élèves allophones

Étudier en français sans le parler : le défi des élèves allophones

L’intégration des élèves allophones, de plus en plus nombreux, représente un défi pour les écoles francophones en milieu minoritaire. 

16 décembre 2021/Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/Nombre de vues (6579)/Commentaires ()/
Balises:
Qu'est-ce que la communauté fransaskqueer?

Qu'est-ce que la communauté fransaskqueer?

La Cité universitaire francophone de Regina organisait une table ronde sur la communauté fransaskqueer, du nom d’un projet d’études sur l’identité et les expériences queer et trans des Fransaskois.

28 novembre 2021/Auteur: Estelle Bonetto – IJL-Réseau.Presse /Nombre de vues (10081)/Commentaires ()/
Balises: lgbtq
Éducation francophone : Me  Roger Lepage décortique l’article 23

Éducation francophone : Me Roger Lepage décortique l’article 23

Me Roger Lepage nous explique que la francophonie canadienne en situation minoritaire revient de loin en matière d’éducation en français.

21 novembre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (10563)/Commentaires ()/
Quel continuum en éducation pour les Fransaskois ?

Quel continuum en éducation pour les Fransaskois ?

Le Rendez-vous fransaskois qui avait lieu du 1er au 7 novembre touchait un sujet sensible et urgent : l’éducation. Dans cet article, vous trouverez un résumé des discussions qui ont eu lieu à ce sujet.

13 novembre 2021/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (9670)/Commentaires ()/
Jean Féron : à la découverte d’un trésor bien caché

Jean Féron : à la découverte d’un trésor bien caché

Le Conseil culturel fransaskois a publié un troisième guide pédagogique consacre à Joseph-Marc Lebel, alias Jean Féron, l’un des joyaux les plus méconnus de la littérature francophone de l’Ouest.

 

1 novembre 2021/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (9135)/Commentaires ()/
Des balados en français pour les écoles

Des balados en français pour les écoles

Le Conseil culturel fransaskois a dévoilé son projet déCLIC, une série de balados éducatifs qui explore la construction langagière, identitaire et culturelle en Saskatchewan.

25 octobre 2021/Auteur: Leslie Diaz/Nombre de vues (7576)/Commentaires ()/
Balises: DéCLIC
Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques

Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques

La création d’un système public pancanadien de garderies à 10 $ améliorera le sort des parents canadiens, mais les francophones en situation minoritaire s’inquiètent du manque de places de garderie pour eux malgré tout.

8 octobre 2021/Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/Nombre de vues (8171)/Commentaires ()/
Balises:
Garderies francophones : une cinquantaine de nouvelles places à Saskatoon

Garderies francophones : une cinquantaine de nouvelles places à Saskatoon

Apprenez-en plus sur les deux nouveaux établissements de la petite enfance francophones qui ont ouvert leurs portes récemment à Saskatoon.

7 octobre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (8925)/Commentaires ()/
Une Journée d’orientation scolaire réussie

Une Journée d’orientation scolaire réussie

La Journée d’orientation scolaire du SAIF-SK pour les nouveaux arrivants a attiré plus d’une quinzaine de familles francophones et non francophones.

6 septembre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari/Nombre de vues (9952)/Commentaires ()/
Balises:
RSS
124678910Dernière

Bilan des Jeux de la francophonie 2014

Une francophonie qui danse

Auteur: Anonym/30 juillet 2014/Catégories: Sport

Image
Benoît Pelletier rit encore en racontant comment on l’a présenté quelques fois durant la semaine comme le président d’honneur des Jeux. « Si je l’avais été, je serais moins fatigué aujourd’hui ! »

L’événement ayant le plus impressionné le président du Comité organisateur au moment du bilan, le 27 juillet, c’était la compétition nationale de danse de rue. « On a décidé de tenir l’événement dans l’aréna Robert-Guertin, qui compte 3 000 places. On a pris le risque que ce soit vide.

« Je ne m’attendais pas à une telle assistance, soutient Benoît Pelletier. On a eu une forte assistance - l’événement a eu lieu dans une aréna pleine. » Ni à une telle ambiance : les danseurs et la foule étaient survoltés, malgré la chaleur typique des nuits de juillet à Gatineau.

Le président s’est montré comblé par l’attention accordée aux Jeux par les médias. « La couverture a été très importante, très positive. Il se passe bien des choses en même temps dans la région de l’Outaouais. Mais on a eu beaucoup d’attention.

« Un des buts des Jeux, rappelle Benoît Pelletier, est de faire connaître la francophonie canadienne auprès du public. Même de la part du Québec, elle est sous-estimée et sa grande diversité n’est pas reconnue. »

Le président Alexis Couture de la Fédération de la jeunesse canadienne-française déborde de satisfaction. L’expertise de l’organisme s’est avérée convaincante après la tenue de ses 6e Jeux depuis 1999.

« La façon que ça fonctionne, explique-t-il, c’est qu’on donne à la ville-hôtesse les ressources pour l’organisation locale. Il y a un budget limité, on n’y va pas avec beaucoup d’argent, on veut que les Jeux soient accessibles à toutes les villes francophones. » Le budget des Jeux de 2014 s’élève à 2,1 millions.

« Gatineau a une équipe bien rôdée, signale-t-il, ce n’est pas leur premier événement du genre, on sentait la différence. On est vraiment très satisfaits : les gens du local ont très bien fait les choses.

« Notre rôle comme fédération, ajoute Alexis Couture, c’est la promotion, le financement et le transport. On organise aussi les délégations avec nos membres. » Selon lui, les membres sont les experts dans la construction d’équipes et dans la préparation aux compétitions.

Quant à son rôle durant les Jeux, il le résume ainsi : « Je suis la personne la moins utile sur le site ! Ce sont mes premiers Jeux. C’est une drôle de coïncidence, mais ça n’a jamais fonctionné. » Il participera aux prochains, dans sa province.

Les organisateurs en ont profité pour rencontrer les responsables des Jeux de 2017. Benoît Pelletier a donné ses conseils aux gens de Moncton et Dieppe (NB).

« Le seul sujet sur lequel je les ai prévenus, c’est de la difficulté croissante d’obtenir une contribution des gens d’affaires. C’est peut-être un prétexte, mais ils ne veulent pas faire de dons qui seraient mal perçus, » a-t-il dit, faisant référence aux scandales dans l’octroi de contrats publics au Québec.

Alexis Couture avait d’autres préoccupations. Il a porté à l’attention des organisateurs l’importance de ne pas répéter l’expérience d’une autre ville. « Ce qui fait la valeur des Jeux, c’est de trouver les éléments distinctifs. On veut que les jeunes vivent une expérience différente à chaque fois. Le Comité de 2017 comprend tout ça. »

Pour Benoît Pelletier, l’important est « d’amuser les participants, de les divertir et de leur permettre de se rapprocher. Si on en juge par la réaction des participants, c’est mission accomplie. »

Image
Alexis Couture renchérit : « Quand les Jeux commencent, on voit les jeunes des mêmes couleurs se tenir ensemble. Et à mesure que ça avance, ça devient multicolore.

« Il ne faut pas oublier que les Jeux sont le plus important rassemblement de la Francophonie canadienne, rappelle-t-il. Ceux qui ont un discours pessimiste sur la Francophonie, c’est qu’ils ne sont jamais venus aux Jeux. »

Imprimer

Nombre de vues (14019)/Commentaires (0)

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x

 - mercredi 12 juin 2024