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Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

27 février 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (36069)/Commentaires ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27069)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (40141)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (22812)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (22032)/Commentaires ()/
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La planète toujours en tête

La planète toujours en tête

Auteur: Alyssa Parker/5 juin 2024/Catégories: Chroniques, Entre hier et aujourd'hui

En mai 1990, Yves Lusignan publiait un article dans L’Eau vive intitulé Les Canadiens sont très préoccupés par l’environnement. Une trentaine d’années plus tard, les études menées par le gouvernement du Canada montrent que c’est toujours le cas.

L’inquiétude environnementale continue d’être la plus grande préoccupation pour les Canadiens. Au point où 88 % des personnes sondées disent être affectées par les effets négatifs du changement climatique.

Selon les données de Statistique Canada datant de 2022, cette inquiétude se traduit par un changement des habitudes de consommation. En effet, 80 % de la population dit être sensible à la durabilité et aux emballages écologiques.

Cependant, pour les 30 % de Canadiens qui ne cherchent pas à consommer de la nourriture qui provient de sources durables, c’est le prix qui constitue la plus grande barrière.

Une angoisse grandissante

En 1990, on parlait surtout des effets de la pollution sur la santé publique. Aujourd’hui, il faut y ajouter les événements météorologiques extrêmes, comme les feux de forêt, la chaleur extrême, ou encore les inondations.

Face à cette menace, « les citoyens canadiens ne jouent pas à l’autruche et sont les premiers à reconnaître qu’ils ont individuellement une part de responsabilité dans la protection de l’environnement », peut-on lire dans le rapport Perceptions du public à l’égard des effets des changements climatiques sur la santé au Canada (2022).

En outre, selon une étude réalisée par l’Association nucléaire canadienne (ANC) et Abacus Data, les Canadiens croient que le gouvernement fédéral devrait jouer un plus grand rôle dans la protection de l’environnement.

Surtout, la majorité pense que ce sont les industries privées qui sont la cause principale de la pollution dans le monde. Mais la population reste divisée sur la question du pétrole et de la distribution des énergies fossiles au sein du pays. 

Dans une étude du Centre de recherche de l’opinion publique (CROP), les 18-34 ans sont plus portés que les 55 ans et plus à penser que la civilisation actuelle est en train de tout détruire sur la planète.

Toutefois, la proportion déclarant faire des changements dans leur vie pour réduire leur impact environnemental passe de 79 % chez les 18-34 ans à 92 % chez les 55 ans et plus.

En terminant, l’autre différence entre 1990 et 2024 est évidemment la présence d’internet. Avec une multitude d’informations disponibles aujourd’hui, il est plus facile d’être sensibilisé à la question, mais il est aussi plus difficile de trouver des sources crédibles.

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Ghita Hanane

Alyssa Parker

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 - mercredi 27 novembre 2024