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Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

27 février 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (34091)/Commentaires ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25315)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (37675)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (21259)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (21101)/Commentaires ()/
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La littérature fransaskoise à la rencontre du public québécois

Auteur: Lucas Pilleri/21 décembre 2022/Catégories: Arts et culture, Littérature

Cette année encore, les Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) n’ont pas manqué le rendez-vous du Salon du livre de Montréal. Du 23 au 27 novembre, la directrice des ÉNP Martine Noël-Maw a sensibilisé quelques-uns des 75 000 visiteurs à la littérature fransaskoise, souvent méconnue du public local.

« Ça s’est bien passé, commente Martine Noël-Maw. Le salon a été très achalandé et c’était drôle de voir le changement de visiteurs d’une journée à l’autre : des élèves du primaire, puis du secondaire, puis des adultes, et enfin des familles. Je pense que ça a été un succès. »

Cette année, les ÉNP ont pu bénéficier d’une belle visibilité grâce à la position stratégique du kiosque, partagé avec les quatorze autres membres du Regroupement des éditeurs franco-canadiens (RÉFC). De quoi sortir son épingle du jeu parmi les quelque 600 maisons d’édition présentes.

« On a eu le meilleur emplacement de toutes nos participations, se réjouit Martine Noël-Maw. On était près de l’une des entrées principales, juste à côté de l’agora où il y avait toujours de l’animation. Ça a amené beaucoup de trafic dans notre kiosque. »

Les éditeurs de la francophonie hors Québec étaient d’autant plus ravis que leurs logos respectifs étaient bien visibles au sein du kiosque. « Pour nous, c’est une visibilité au Québec sous la bannière du RÉFC », résume la directrice des ÉNP.

Se retrouver…

Avant tout, la présence de la maison d’édition fransaskoise était l’occasion de prendre le pouls de l’industrie du livre. « On ne va pas là pour faire des ventes mirobolantes. On y va surtout pour voir ce qui se fait dans le marché, surtout du côté du livre jeunesse », souligne Martine Noël-Maw.

Il s’agit aussi de retrouver ses pairs, les autres membres du RÉFC, lequel tient chaque année son assemblée semi-annuelle à l’occasion du salon. « On se rencontre entre éditeurs pour jaser de comment ça se passe chez nous », résume la responsable des ÉNP.

Cette année, les discussions ont tourné autour des négociations du regroupement avec le groupe français Hachette. L’objectif : faire entrer les 360 titres des éditeurs, dont une vingtaine de la maison fransaskoise, sur le marché francophone européen.

« Entre éditeurs, on parle de la qualité des manuscrits qu’on reçoit, de ce qu’on aimerait recevoir, des contrats d’édition, de la rémunération des illustrateurs... On s’échange des conseils, des façons de faire », ponctue la Fransaskoise.

…et découvrir

Entre ateliers, présentations, tables rondes et autres animations, Martine Noël-Maw n’a pas eu de répit. « J’ai même assisté à une présentation sur les mangas ! Et j’ai découvert une maison d’édition que je ne connaissais pas », précise-t-elle, encore enthousiasmée.

Le salon aura été l’occasion pour le public de découvrir les plumes de l’Ouest francophone, souvent méconnues. « Bien des gens sont surpris d’apprendre qu’il y a des éditeurs francophones à l’extérieur du Québec, rapporte la directrice. On fait un peu d’éducation. »

Le nombre de ventes réalisées durant le salon sera connu dans quelques semaines, la caisse ayant été gérée par les employés du RÉFC. « Sans eux, on ne serait jamais allés au salon du livre. C’est la force du nombre des petits qui s’allient les uns aux autres qui fait qu’on peut faire ça », conclut Martine Noël-Maw.

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Lucas Pilleri

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 - samedi 8 juin 2024