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Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

En novembre 2013, nous avons commencé à planifier notre premier voyage éducationnel à la Ville de Québec. Avec l'aide de nos parents, notre communauté et nos enseignants, nous avons commencé les collectes de fonds. Pendant les heures de classe, nous avons recherché les activités qui satisferaient nos résultats d'apprentissages de nos programmes d'études. Les billets d'avion étaient achetés, et avant qu'on le sache, on était parti! 

22 mai 2014/Auteur: Diana Couture – École Publique de Debden/Nombre de vues (24884)/Commentaires ()/
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Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

L’histoire en marche

Le 23 mai prochain, Edward Simon deviendra le premier finissant de l’école Sans-Frontières de Lloydminster.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26175)/Commentaires ()/
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Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

La responsabilité remise aux aux CPE

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) cessera d’offrir son service de prématernelle trois ans dès la fin du mois de juin 2014 dans ses écoles, à l’exception des trois communautés où il n’y a pas de centre éducatif fransaskois. Ce sont les centres éducatifs de la petite enfance (CPE) qui seront en charge de la gestion et de l’offre du programme des trois ans.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25775)/Commentaires ()/
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Aménagement linguistique en petite enfance

Aménagement linguistique en petite enfance

L'Ontario prend les devants

La petite enfance est d’une importance capitale pour les francophones et Acadiens des provinces et territoires à majorité anglophone. Et leur avenir pourrait être lié à l’adoption de politiques d’aménagement linguistique (PAL). L’Ontario prend les devants en petite enfance.

22 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (25416)/Commentaires ()/
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Aménagement linguistique et culturel

Aménagement linguistique et culturel

Le Nouveau-Brunswick bonifie la vision éducative

Plusieurs organisations francophones au Nouveau-Brunswick saluent la Politique d’aménagement linguistique et culturel (PALC), lancée officiellement le vendredi 9 mai. Selon des représentants acadiens, il était temps que ce type d’aménagement se développe comme en Ontario.

22 mai 2014/Auteur: Louis-Marie Achille (Francopresse)/Nombre de vues (25508)/Commentaires ()/
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Le plaisir de jardiner... à l’école

Le plaisir de jardiner... à l’école

Un journaliste dans les tomates

Initiative originale à l’école d’immersion Massey, à Regina, où une vingtaine d’élèves ont appris à planter des tomates.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (23675)/Commentaires ()/
Catégories: ReginaÉducation
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Six élèves du Pavillon secondaire des Quatre-Vents (PSQV) de Regina vont traverser la Saskatchewan à vélo

Six élèves du Pavillon secondaire des Quatre-Vents (PSQV) de Regina vont traverser la Saskatchewan à vélo

Mardi 20 mai, six élèves de l’école secondaire Laval de Regina et six accompagnateurs se sont élancés à vélo de l’école Sans-Frontières de Lloydminster (CÉF) pour atteindre Bellegarde, le vendredi 23 mai. Ce parcours cycliste s’inscrit dans le cadre de l’évènement sportif La Grande Traversée (LGT), qui a débuté à Victoria le 12 mai dernier et s’achèvera à Québec le 13 juin prochain.

20 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (39415)/Commentaires ()/
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Dossier spécial Petite enfance 2014

Dossier spécial Petite enfance 2014

Mai, le mois de l’éducation de la petite enfance

Le 14 mai est la Journée d’appréciation des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance. Découvrez notre dossier sur la petite enfance. 

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (29551)/Commentaires ()/
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Place de la petite enfance dans notre société

Dossier petite enfance - Mai 2014

Les jeunes parents qui arrivent du Québec sont toujours étonnés de découvrir ce qu’il leur en coûtera pour que leurs enfants puissent fréquenter un Centre de petite enfance (CPE) en Saskatchewan. Ils sont loin du 7 $ par jour rendu possible par le programme universel mis sur pied par le gouvernement du Québec, programme dont l'objectif premier est de permettre l'accès à un CPE, quel que soit le revenu familial. 

15 mai 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26412)/Commentaires ()/
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L’animation culturelle dans les écoles

On apprenait récemment que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) révisait plusieurs de ses programmes, dans le contexte de la crise financière qu’il traverse actuellement. Un de ces programmes est celui qui concerne l’embauche d’animatrices / animateurs culturels dans les écoles.

15 mai 2014/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (25239)/Commentaires ()/
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Se sucrer le bec pour une bonne cause

Se sucrer le bec pour une bonne cause

Un souper pour moderniser les infrastructures de la Gard’Amis

Le vendredi 9 mai 2014, la communauté francophone de Regina honore le rendez-vous fixé par le Centre éducatif Gard’Amis au Bistro du Carrefour des Plaines. Le souper Cabane à sucre, organisé en collaboration avec l’Association canadienne française de Regina (ACFR), a pour de but de lever des fonds « afin de donner un coup de jeunesse aux infrastructures vieillissantes » de la seule garderie francophone de la ville reine. 

15 mai 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (31113)/Commentaires ()/

L’Association des parents fransaskois et la petite enfance

Dossier petite enfance - Mai 2014

Pour l’Association des parents fransaskois (APF), la petite enfance (de la garderie à la prématernelle) est un dossier prioritaire, car il représente l’avenir de la communauté. Investir dans la petite enfance, c’est donc investir dans notre avenir. L’APF traite ce dossier avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

15 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26789)/Commentaires ()/

Les groupes de jeux :Pour favoriser le développement global de l’enfant

Dossier petite enfance - Mai 2014

L’Association des parents fransaskois (APF) chapeaute plusieurs structures, telles que les Centres d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE) et les Centres de ressources à la petite enfance (CREPE). Elle travaille avec les garderies familiales avec ou sans permis et les prématernelles du CÉF. « Plus il y a d’organismes qui s’impliquent, chacun avec ses compétences, meilleur sera l’appui », affirme Hind Ramy. 

15 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25771)/Commentaires ()/
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Le Collège Mathieu et la formation en petite enfance

Le Collège Mathieu et la formation en petite enfance

Dossier petite enfance - Mai 2014

Le Collège Mathieu, institution d’éducation postsecondaire en français en Saskatchewan, offre le programme d’Éducation à la petite enfance depuis une dizaine d’années. Les personnes qui ont complété ce programme, ainsi que la majorité des étudiants actuellement admis, travaillent déjà dans le secteur. La tendance des inscriptions est à la hausse d’une année à l’autre, et ceci est l’un des indicateurs d’un besoin réel sur le marché du travail de la province.

15 mai 2014/Auteur: Josiane Barebereho – Collège Mathieu/Nombre de vues (36668)/Commentaires ()/
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Éducatrice : Un métier à l’avenir prometteur

Dossier petite enfance - Mai 2014

Entretien avec Madame Brigitte Chassé, Agente à la petite enfance auprès du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) qui nous a partagé son opinion sur l’éducation de la petite enfance.

15 mai 2014/Auteur: Josiane Barebereho – Collège Mathieu/Nombre de vues (34455)/Commentaires ()/
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Les sous et dessous des annonces gouvernementales

Les organismes ont-ils une indépendance face au gouvernement?

Auteur: Anonym/26 avril 2016/Catégories: Politique

Marie-Claude Rioux

Marie-Claude Rioux

directrice générale de la Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse
Alors que la collecte de contributions politiques fait l’objet d’enquêtes et de controverses dans trois provinces (Québec, Ontario et CB), des questions se posent sur la relation de la classe politique avec l’argent. Faisant campagne grâce à des dons privés, les élus retournent-ils dans leur comté avec des fonds publics pour récompenser les donateurs ?

« On est de plus en plus bombardés par des photo-op, admet Marie-Claude Rioux, la directrice générale de la Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse. Avec les messages virtuels limités à 140 mots, une image vaut mille mots. C’est notre réalité. 

« Mais ça m’est déjà arrivé de refuser de faire partie de la photo. On a tort de le faire si on n’est pas content. Personne n’achète mon silence avec une subvention. Je ne suis pas une marionnette. »

En partant, soutient-elle, il n’y a pas de malaise : « Si on vient me donner un chèque, je l’accepte. Personne ne va me forcer à être dans la photo, à faire l’éloge du gouvernement ou à voter d’une certaine manière. » 

Mélanie Joly déléguera

La ministre Mélanie Joly a annoncé qu’elle permettra aux bureaucrates d’accorder l’approbation finale à 90 % des quelque 8000 subventions annuelles de Patrimoine canadien. S’adressant à des groupes culturels le 13 avril, elle a expliqué vouloir limiter les considérations politiques qui favorisent les projets de régions ayant voté pour le parti au pouvoir. Selon la ministre, les « officiers partisans » ne devraient pas avoir le droit, sauf pour des projets d’envergure, de renverser les décisions des fonctionnaires sur le terrain.

Le professeur d’histoire à l’Université Laurentienne, Joel Belliveau, signale que, même si les demandes d’octrois suivent un processus administratif, les décisions qui engagent des fonds publics relèvent ultimement des élus. 

« Au nom du principe de l’imputabilité ministérielle, il faut que le gouvernement assume ses choix et en fasse l’annonce. C’est toujours la ministre qui est responsable, le gouvernement ne peut pas se cacher derrière la décision des fonctionnaires.» L’annonce médiatisée fournit cependant l’occasion de faire du capital politique.

« Il y a une zone grise, reconnaît le chercheur. Il est acceptable de convoquer une conférence de presse pour diffuser une information que les médias sont libres de reprendre. Mais si on fait la promotion de ça avec des fonds publics, ça devient problématique. On a vu le premier ministre Stephen Harper faire des promotions associées au Parti conservateur avec son Plan d’action économique. C’était très limite. 

« Dans la francophonie canadienne, note Joel Belliveau, on est dans la même logique que quiconque demande des subventions. Quand les élus font des annonces publiques, des fois, les organismes ne sont pas contents. Mais comme on n’a pas beaucoup d’autonomie, on se contente d’un petit pécule. Si on parle trop fort, on risque de la perdre.»

Une dépendance aux subventions

« Les organismes ont-ils une indépendance face au gouvernement? Dans les années 1980, explique-t-il, on a échangé l’autonomie contre des moyens financiers. La seule manière d’en avoir, c’est que le gouvernement n’ait pas de choix que de financer, à partir de garanties constitutionnelles.» 

La relation de pouvoir avec les élus est ainsi en jeu, croit aussi Marie-Claude Rioux, persuadée de l’utilité d’exprimer, au besoin, de l’insatisfaction face aux décisions gouvernementales.

« Est-ce qu’on a une dépendance par rapport à nos bailleurs de fonds ? Et jusqu’à quel point est-elle forte ? Cette dépendance ne doit pas exister. On peut avoir une différence d’opinion. Moi, je dis ce que je pense. 

« Ceux qui veulent acheter notre silence font erreur. Si t’as quelque chose à critiquer, assure la directrice générale, tu vas le faire. On a une responsabilité d’informer les élus de nos besoins. C’est ça, le lobbying. Et souvent, les gouvernements sont ouverts à la critique.»

L’Acadienne rappelle un moment où elle avait vertement critiqué en public le gouvernement québécois pour son opposition devant les tribunaux à l’élargissement des droits en matière d’inscription scolaire au Yukon. « Avec des amis comme vous, avait-elle déclaré au ministre québécois des Affaires intergouvernementales canadiennes, on n’a pas besoin d’ennemis. » 

Le message a porté fruit. La réaction de Jean-Marc Fournier a paru dans La Presse du 11 avril, dans un plaidoyer intitulé Ensemble pour le français. « Élargissons l’espace francophone, a-t-il lancé, en ouvrant la porte des écoles au-delà du minimum constitutionnel. »


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 - jeudi 31 octobre 2024