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Le Collège Mathieu et la formation en petite enfance

Le Collège Mathieu et la formation en petite enfance

Dossier petite enfance - Mai 2014

Le Collège Mathieu, institution d’éducation postsecondaire en français en Saskatchewan, offre le programme d’Éducation à la petite enfance depuis une dizaine d’années. Les personnes qui ont complété ce programme, ainsi que la majorité des étudiants actuellement admis, travaillent déjà dans le secteur. La tendance des inscriptions est à la hausse d’une année à l’autre, et ceci est l’un des indicateurs d’un besoin réel sur le marché du travail de la province.

15 mai 2014/Auteur: Josiane Barebereho – Collège Mathieu/Nombre de vues (35169)/Commentaires ()/
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Éducatrice : Un métier à l’avenir prometteur

Dossier petite enfance - Mai 2014

Entretien avec Madame Brigitte Chassé, Agente à la petite enfance auprès du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) qui nous a partagé son opinion sur l’éducation de la petite enfance.

15 mai 2014/Auteur: Josiane Barebereho – Collège Mathieu/Nombre de vues (32998)/Commentaires ()/
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La Garderie : Là où tout commence

La Garderie : Là où tout commence

Dossier petite enfance - Mai 2014

C’est au bout de quatre ans de démarches auprès du gouvernement et grâce à l’appui de l’ensemble de la communauté fransaskoise que le centre éducatif a pu ouvrir ses portes en 1987. À l’été 1996, le Centre a emménagé dans ses nouveaux locaux au Centre scolaire communautaire de Regina.

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (35138)/Commentaires ()/
Balises: Gard'Amis

La petite enfance et l'avenir : Quand les chiffres parlent d'eux-mêmes

Dossier petite enfance - Mai 2014

« Donner un degré de priorité élevé au développement de la petite enfance. Il s’agit là de l’investissement le plus rentable que nous puissions faire pour assurer notre prospérité à long terme. » (rapport L’Ontario à l’ère de la créativité)

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (24918)/Commentaires ()/
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Mais qu’est-ce qu’elles font toute la journée?

Dossier petite enfance - Mai 2014

La garderie, comme on dit... Que sait-on de ce lieu, de ce milieu dans lequel évoluent les tout-petits, de cette micro-société où ils passent souvent plus de temps que dans leur famille? Que sait-on du rôle et de la place qu’occupent les éducatrices dans la vie des enfants? 

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (31686)/Commentaires ()/
Balises: Gard'Amis
L’école Beau Soleil se distingue au festival théâtral de l’Association Jeunesse Fransaskoise

L’école Beau Soleil se distingue au festival théâtral de l’Association Jeunesse Fransaskoise

Le 30 avril et 1er mai dernier, des élèves de l’école Beau Soleil de Gravelbourg ont participé au festival théâtral de l’Association Jeunesse Fransaskoise (AJF) à Saskatoon. Cet évènement annuel, organisé en collaboration avec La Troupe du Jour (LTDJ), a plongé les participants dans le monde du théâtre en leur permettant de suivre des ateliers donnés par des spécialistes de tous les horizons, comme l’expression corporelle, l’improvisation et le jeu lors de la première journée du festival.  

15 mai 2014/Auteur: Étienne Gravel/Nombre de vues (27961)/Commentaires ()/
Balises: AJF
Destination Provence

Destination Provence

Immersion et dégustation pour dix étudiantes de l’Université de Regina

C’est en Provence, une région du sud-est de la France, que se rendront dix étudiantes et deux accompagnatrices du département de français de l’Université de Regina, du 13 au 29 mai prochains.

15 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (21068)/Commentaires ()/
Science et culture à l’école de Zénon Park

Science et culture à l’école de Zénon Park

Deux journées bien remplies!

Le lundi 14 avril, les élèves de l’école Notre-Dame-des-Vertus ont présenté un magnifique projet collectif. Les élèves de la maternelle à la 3e année racontent et chantent « La soupe aux pierres ». Un joli conte qui parle de débrouillardise et de partage. 

15 mai 2014/Auteur: Amy-Valérie Olivier – CÉF/Nombre de vues (23229)/Commentaires ()/
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Mathieu Racine : du restaurant à la garderie

Mathieu Racine : du restaurant à la garderie

Dossier petite enfance - Mai 2014

Originaire de l’Outaouais, Mathieu est un Chef cuisinier, un vrai! Pendant dix ans, il a touché à plusieurs cuisines, en commençant par la cuisine française pour laquelle il a une prédilection. À la Gard’Amis depuis mars 2013, il veille au bien-être des estomacs des petits et des grands.

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (30770)/Commentaires ()/
Foire du patrimoine régionale de Regina

Foire du patrimoine régionale de Regina

Des jeunes de 18 écoles étalent leur savoir

La Foire régionale du patrimoine s’est tenue à l’Université des Premières Nations, le jeudi 1er mai. Cet évènement réunissait les 103 projets des 125 élèves (4e à 9e année) de 18 écoles des 6 commissions scolaires suivantes : le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), Prairie Valley, Regina Catholic, Regina public, South East Cornerstone et Holy Family.

8 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (47627)/Commentaires ()/
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Une table ronde sur la petite enfance

Un service essentiel mais comment le financer?

Les programmes de la prématernelle sont aussi essentiels à la réussite des élèves qu’à la vitalité des communautés francophones en contexte minoritaire. Le défi, c’est comment en assurer leur financement à court, à moyen et à long terme. Ce sont les constats et les questionnements qui sont ressortis lors d’une table ronde sur la petite enfance, organisée par le Conseil scolaire fransaskois (CSF).

8 mai 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (29001)/Commentaires ()/
Cercle communauté-université

Cercle communauté-université

Conjuguer action et réflexion

Jeudi 1er mai de 9 h à 16 h s’est tenu un cercle université-communauté sur le thème du développement communautaire fransaskois à l’Institut français (IF) de l’Université de Regina.

8 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30437)/Commentaires ()/
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Nouvelle directrice à l’Institut français

Nouvelle directrice à l’Institut français

À l’heure du postsecondaire francophone

Sophie Bouffard sera la nouvelle directrice de l’Institut français (IF) à partir du 1er juillet prochain. L’Institut était dirigé depuis septembre 2012 par madame Sheila Petty, suite au non renouvellement du contrat de l’ancien directeur, Peter Dorrington.

1 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25471)/Commentaires ()/
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Le RCCFC, un allié pour l’éducation en français

Le RCCFC, un allié pour l’éducation en français

L'Ouest et le Nord collaborent

Le Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC) a tenu l’une de ses quatre réunions annuelles mercredi 24 avril au Carrefour Horizons à Regina.

1 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25163)/Commentaires ()/
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Foire locale du patrimoine au Pavillon secondaire Monseigneur de Laval

Foire locale du patrimoine au Pavillon secondaire Monseigneur de Laval

La foire locale du Patrimoine, réunissant 66 projets d’équipes de 2e, 4e, 6e et 8e années, s’est tenue lundi 14 avril dernier au Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV), à Regina. 

25 avril 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29797)/Commentaires ()/
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Men in Dance : un festival audacieux

Auteur: Dave Turcotte (EV)/22 janvier 2015/Catégories: 2015, Arts et culture, Danse

Atelier au festival Men in Dance

Atelier au festival Men in Dance

Paul-André Fortier (à gauche), a partagé sa vaste expérience lors d’une table ronde modérée par Kathryn Ricketts (à droite), professeure agrégée en arts à l’Université de Regina. Les autres invité.e.s étaient, Ginelle Chagnon, Manuel Roque, Brent Owe
Photo : Graham Kotowich
Depuis 1986, la compagnie réginoise New Dance Horizons et sa directrice artistique Robin Poitras travaillent fort pour développer un public averti et intéressé à la danse sous toutes ses formes.  Et c’est exactement ce qu’elles ont accompli dans le cadre de leur 29e saison en présentant du 5 au 18 janvier dernier le Festival Men in Dance

Pendant les dix jours du Festival, plus d’une vingtaine de danseurs et chorégraphes masculins de partout auront mis en vitrine leur savoir faire lors des 16 spectacles, ateliers et tables rondes composant une programmation très diversifiée.  Pour la directrice Robin Poitras, l’idée de ce Festival a grandi en elle un peu par surprise puisque au départ, elle voulait d’abord et avant tout présenter au public de Regina l’œuvre du danseur québécois Sylvain Émard Ce n’est pas la fin du monde. 

Chorégraphie vibrante qui traduit toute la complexité et la beauté d’hommes aux prises avec leur époque, cette production a certainement été très appréciée par l’ensemble du public. Par contre, pour certains, elle présente bien les aspects plus difficiles à saisir de la danse contemporaine où une trame narrative linéaire n’est pas forcément de mise.

L’important pour Robin avec Ce n’est pas la fin du monde et le reste de la programmation de Men in Dance, c’est qu’elle voulait offrir aux garçons et aux hommes de la Saskatchewan un éventail varié de ce que font actuellement les hommes du milieu de la danse contemporaine. Elle espère que la qualité et la variété qui furent présentées éveillera chez plusieurs le goût d’approfondir leur relation à l’art du mouvement, peu importe le genre. 

Atelier au festival Men in Dance

Atelier au festival Men in Dance

Robin Poitras, directrice artistique de New Dance Horizons, (à gauche) et Ginelle Chagnon, conseillère artistique et répétitrice de Montréal, lors d’une table ronde dans le cadre du festival Men in Danse.
Photo : Graham Kotowich
Même si elle ne se cache pas de présenter certains de ses coups de cœur comme Sylvain Émard, Paul-André Fortier avec qui elle travaille encore régulièrement, ou encore la nouvelle chorégraphie (Data) de Manuel Roque, dont elle suit la carrière depuis plusieurs années, elle insère toujours à ses programmations des numéros qui ne lui plaisent pas forcément ou qui sont pour elle difficiles d’accès. Cette objectivité lui permet d’assurer une programmation qui plaira au plus grand nombre, évidemment, mais aussi de présenter du matériel d’avant garde sur le plan international.

Construire une programmation, pour la doyenne de la danse contemporaine en Saskatchewan, est d’abord et avant tout une histoire de cœur, mais certainement pas un exercice pris à la légère. « Je vois les pièces que je vais présenter généralement plusieurs fois, avant de les choisir. Parfois jusqu’à cinq fois » de dire la directrice artistique. « Il faut bien connaître les œuvres, les danseurs, et puis comprendre à quel endroit ou dans quelle salle il serait approprié de les présenter ». C’est cette diligence qui lui assure une plus grande réceptivité de la part du public. 

Mais elle n’a pas peur de prendre des risques ou même de présenter des numéros qui pourraient choquer. Le spectacle du samedi soir le 17 en est un bel exemple. Dans les numéros de Lukas Avendaño et de Benjamin Kamino, nudité, dénonciation de l’exploitation sexuelle, critique politico-sociale et exploration hyper contemporaine de la danse (non-danse) et du mouvement étaient au rendez-vous! Des numéros qui, tout en bouleversant par moments et provoquant des remises en question par d’autres, resteront pour plusieurs spectateurs parmi les meilleurs moments de Men in Dance.

Comme productrice, et ce même après 29 ans en poste, elle demeure très sensible à la responsabilité de développer un public pour la danse contemporaine. « On n’arrête jamais de bâtir un public » me confie t-elle, « comme un bon danseur n’arrête jamais de s’entraîner »! 

C’est ce qui explique la variété importante des activités offertes dans le cadre du Festival. Variété de genre mais aussi de lieu de présentation. En effet, selon Robin Poitras, même si la grande partie des spectacles avait lieu dans les salles de spectacle conventionnelles du Riddell Centre (dans le cadre d’un partenariat avec l’Université de Regina), elle s’est permise d’explorer d’autres avenues, telle la présentation du spectacle The Brothers Plaid de Bill Coleman et Mark Shaub à Village RV sur la transcanadienne aux limites de la ville, ou encore la pièce interactive de Peter Trosztmer et Jeremy Gordaneer dans la 5th Parallel Gallery.

Men in dance : plus que des performances 

Dans le même ordre d’idée, les ateliers offerts gratuitement dans les studios de l’université ainsi que les tables rondes auront permis aux amateurs comme aux danseurs plus expérimentés de rencontrer et travailler de façon très intime avec plusieurs des têtes d’affiche du Festival.

C’est justement au cours d’un atelier avec Sylvain Émard que les participants ont pu comprendre les intentions du chorégraphe québécois en créant Ce n’est pas la fin du monde. Lorsqu’un chorégraphe travaille avec un danseur et une danseuse, il est confronté à des stéréotypes et des idées préconçues sur les relations et donc, c’est par souci de se distancer de ce cadre qu’Émard a rassemblé une équipe de sept des meilleurs danseurs masculins au Canada et entamé l’exploration de ce que c’est qu’être un homme de la modernité. 

Les danseurs d’ici

Mais ce ne sont pas seulement des danseurs d’ailleurs qui furent présentés à Men in Dance. Une brochette importante de danseurs locaux tel les Terrance Littletent, Graham McKelvie, Chancz Perry, Marcus Merasty, Modeste McKenzie et les danseurs de FadaMen ont permis au public de découvrir la diversité et vivacité de ce qui se fait ici chez nous.

Le Festival Men in Dance est sans aucun doute un succès pour Robin Poitras, tant pour la qualité des spectacles présentés que pour la participation et l’accueil positif du public. Même si elle est quelque peu fatiguée, la directrice artistique a déjà commencé à concocter avec enthousiasme le prochain festival de la saison 2016 de la compagnie New Dance Horizons. C’est à suivre!

Commentaires de spectateurs au Festival Men in Dance

« J’ai aimé la diversité des spectacles présentés et j’ai trouvé intéressant que le Festival faisait appel à différent genre de masculinité, des plus typiques aux plus féminines. Je me suis aussi rendu compte comment la danse contemporaine se rapproche beaucoup plus aujourd’hui de la danse classique. »
Brigitte Haguès, Regina :

« Comme danseuse, j’ai vraiment apprécié l’opportunité de voir des nouvelles techniques lors des ateliers avec les danseurs Peter Trosztmer et Benjamin Kamino. Ils ont été très  généreux avec leur créativité, et j’ai aimé leur approche de « déconstruction » des structures conventionnelles de la danse ».
Joanna Bundon, Regina

« 'Ce n’est pas la fin du monde' est un spectacle plein d’énergie qui n’a pas manqué de garder mon intérêt et de m’inspirer à certains moments. Mais le tout demeure un peu trop abstrait à mon goût, la continuité narrative est importante pour moi, l’histoire, le message ou l’intention du chorégraphe me restent inconnus ou du moins j’en imagine difficilement le sens. J’ai apprécié l’expérience, la danse c’est magnifique, on en voit trop rarement. »  
Frédérique Dupré, Regina

« Mon moment fort a été le spectacle de Sylvain Émard avec les sept danseurs. Il y avait une grande diversité de mouvements dans les duos et les trios chez les danseurs. L’énergie et la précision dans les mouvements, c’est impressionnant de voir ce calibre professionnel. »
Karla Kloeble, Saskatoon

« Ça été très inspirant pour une danseuse et artiste comme moi de voir à quel points la danse peut exprimer si intensément les émotions. J’ai aussi eu un moment privilégié avec Lukas Avendaño, qui me parlait, via la traductrice Sara Bernal, après le dernier spectacle. Nous avons parlé d’activisme politique et à un moment donné, il m’a considéré comme une partenaire activiste… et ça m’a donné des ailes!!! »
Larissa Shasko, Regina

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Dave Turcotte

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 - dimanche 16 juin 2024