Skip Navigation

Un groupe de parent réclame du sang neuf au CSF

Entretien avec Alpha Barry du regroupement des parents anciennement silencieux

Selon Alpha Barry, les parents anciennement silencieux comptent 105 membres à Regina, Saskatoon, Ponteix, Gravelbourg et Moose Jaw et sont de plus en plus nombreux. Les membres sont les parents et grands-parents des clients et futurs clients du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

12 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25571)/Commentaires ()/
Balises:

Francine Proulx-Kenzle se prononce sur la situation du CSF

Il faut dialoguer et rétablir la confiance

Comme mamie fransaskoise, je suis très inquiète pour l’avenir de l’éducation en français dans notre communauté. Je reconnais que les défis sont nombreux et importants. Comment faire pour les relever?

11 juin 2014/Auteur: Francine Proulx-Kenzle/Nombre de vues (19584)/Commentaires ()/
Balises:
Récital de musique à l’école Providence de Vonda

Récital de musique à l’école Providence de Vonda

À la veille de la fin de l’année scolaire, des élèves de l’école Providence de la prématernelle à la 6e année ont offert un spectacle de très grande qualité à un public venu nombreux.

11 juin 2014/Auteur: Abdoul Sall – ACFT/Nombre de vues (26893)/Commentaires ()/
Balises:
Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Alphabétisation et compétences essentielles

Après un an de silence, le ministère d’Emploi et Développement social Canada (EDSC) a rendu sa réponse. C’est non à l’éducation aux adultes francophones et acadiens par les francophones et Acadiens. Un non sans explications qui met en péril l’existence même des réseaux d’alphabétisation et de compétences essentielles (ACE). 

10 juin 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (25996)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation

Le culte du silence

Le culte du silence devient de plus en plus la norme.  Du moins en public.  Au lieu de parler ouvertement, on rumine en silence. Et le mécontentement croît.  

5 juin 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (24657)/Commentaires ()/
Balises:

Les 7e années de Mgr de Laval changent d’école

Le Pavillon secondaire des Quatre Vents de l’école Laval (PSQV) à Regina accueillera les élèves de la 7e année à la rentrée 2014.

5 juin 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (23125)/Commentaires ()/
Balises:
La PÉLEC : une solution pour le sous-financement des écoles fransaskoises?

La PÉLEC : une solution pour le sous-financement des écoles fransaskoises?

La Saskatchewan pourrait emboîter le pas à l'Ontario et au Nouveau Brunswick

La Politique d’encadrement linguistique et culturel ou PÉLEC est un outil qui pourrait aider à résoudre les problèmes auxquels sont confrontés le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la province en matière de financement et de programmation.

5 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27010)/Commentaires ()/
Balises:
Un héros grec au pavillon Gustave Dubois!

Un héros grec au pavillon Gustave Dubois!

Des élèves de Saskatoon ont présenté un spectacle musical

Hercule, héros de la mythologie dont les nombreuses aventures l’ont mené de la Méditerranée jusqu’aux enfers, a ajouté une tâche à sa liste déjà longue de 12 travaux : il était en effet de passage à Saskatoon pour quelques jours, du 26 au 28 mai, et a pu profiter d’un beau temps printanier digne du mont Olympe!

5 juin 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (33619)/Commentaires ()/
Balises:
Mesures de compressions du réseau scolaire fransaskois

Mesures de compressions du réseau scolaire fransaskois

Leurs raisons et leur impact

Les mesures liées aux compressions budgétaires du Conseil scolaire fransaskois (CSF) entreront en vigueur le 1er septembre 2014 tandis que certains postes ne seront pas renouvelés lorsque les contrats prendront fin au mois de juin. Voici quelques précisions obtenues auprès de monsieur André Denis, président du Conseil scolaire fransaskois.

2 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27914)/Commentaires ()/
Balises: CEF-finances

Concours d’art oratoire

Coup d'oeil sur la finale provinciale du Concours d’art oratoire, organisé par Canadian Parents for French – Saskatchewan (CPF-SK) à Saskatoon, le samedi 26 avril 2014.

29 mai 2014/Auteur: Kenneth Bos/Nombre de vues (27123)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois !

Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois !

On plante à l’extérieur, on range à l’intérieur!

Le joli mois de mai, en plus d’être le mois de la petite enfance, est aussi synonyme de renouveau, de fin de l’hiver, de grand nettoyage et cela se vérifie au sein de nos organismes communautaires! L’Association des Parents fransaskois (APF) a organisé plusieurs activités en ce début de printemps pour les familles de Saskatoon et d’autres villes.

29 mai 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (27610)/Commentaires ()/
Balises:

La Grande Traversée

Une école de la vie

Transformés, c’est sans doute le mot qui revient le plus dans les commentaires des six élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de Regina, qui ont participé à l’édition 2014 de La Grande Traversée (LGT) en Saskatchewan.

29 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25780)/Commentaires ()/
Balises:
Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Plus de 1,5 millions distribués aux écoles primaires dans le besoin

La Fondation Indigo pour l'amour de la lecture octroie des subventions du Fonds pour la littératie de 1,5 million de dollars à 20 écoles primaires dans le besoin.

28 mai 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (30792)/Commentaires ()/
Balises:
Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Le RESDAC se prononce sur le financement du développement des compétences

Le débat actuel concernant le financement du développement de l’alphabétisme et des compétences au Canada dérape. 

26 mai 2014/Auteur: Isabelle Salesse/Nombre de vues (35863)/Commentaires ()/
Balises: RESDAC

Méga-procès pour les écoles francophones en Colombie-Britannique

« Si on construit, les gens viennent »

C’est le Champ de rêve, version francophone hors Québec. Depuis 1982, un scénario semblable s’est déroulé dans plus de 130 collectivités francophones et acadiennes. Bâtissez l’école, disaient les parents, et vous verrez, les inscriptions y seront et les jeunes y resteront.

23 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (18587)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Balises:
RSS
Première2728293032343536
Être fransaskois en 2021 : témoignages

Être fransaskois en 2021 : témoignages

Auteur: Leslie Diaz – IJL-Réseau.Presse/20 novembre 2021/Catégories: FPF - Fédération provinciale des Fransaskoises, Société, Francophonie

Dans le cadre du Rendez-vous fransaskois, une table ronde virtuelle sur l’identité de la femme francophone en Saskatchewan a été proposée le 7 novembre par l’organisme Entrelles Regroupement Femmes Saskatchewan.

 « Les organismes fransaskois tentent de rejoindre les personnes qui parlent français dans la province, mais parfois cette fransaskoisie fait peur aux personnes qui n’ont pas le sentiment d’y appartenir. Il est donc important de se questionner sur son essence et sur notre identité », a lancé d’emblée Émilie Lebel, coordinatrice de projets pour Entr’elles, anciennement Fédération provinciale des Fransaskoises (FPF). 

Animée par Catherine Lemire, fransaskoise et autochtone originaire de Saskatoon, la session avait pour invitées Evelyne Hamon, Margot Gough et Sylvie Walker. Au total, 29 participants, hommes et femmes confondus, ont pu échanger sur la question du rôle et de l’identité individuelle de la femme fransaskoise et plus largement de l’identité des francophones dans la province.

Une définition propre à soi

Catherine Lemire

Catherine Lemire

Crédit : Capture d’écran

La notion d’identité peut être abordée d’un point de vue anthropologique, sociologique et même philosophique. Qu’elle soit adressée à un individu ou à la collectivité, l’identité se conçoit dans la rencontre de l’autre et se réalise à travers les expériences sociales au sein de groupes vivant dans une même société.

« Au travail, je n’accepte pas de traduire un document parce que je parle français, mais parce que je suis francophone. C’est mon identité », explique Evelyne Hamon. Originaire de Gravelbourg, l’intervenante ajoute que la création même du mot « fransaskois » l’a aidée à se démarquer et se faire reconnaître : « Il était important de développer un nom pour définir les francophones hors Québec », dit-elle.

En cherchant à trouver une identité sociale au sein de groupes, on devient sujet à l’adoption d’identités multiples et variées participant à une construction identitaire personnelle, pense Catherine Lemire : « On dit souvent que les personnes qui parlent plusieurs langues ont plusieurs identités. J’aime cette idée d'être un grand puzzle construit au fil des expériences et des rencontres. »

La fransaskoisie est aussi ancestrale. Les Denis, Marchildon, Campagne et autres familles Lepage sont autant de noms qui évoquent des racines, des pionniers et un héritage à porter. « Rien que l’évocation de ces noms parle de l’essence de la communauté, poursuit Catherine Lemire. D’identité personnelle, on passe alors à l’identité communautaire, car ces gens ont creusé les fondations de la communauté. » 

Le poids des racines peut parfois remettre en question l’identité de certaines personnes, comme l’exprime Margot Gough, issue d’une famille anglophone : « Être fransaskois, c’est accepter la responsabilité d’une culture, d’une histoire, de traditions et d’un folklore. Comme je n’ai pas développé un sentiment d’appartenance par la langue maternelle ou en ayant des ancêtres francophones, je ne sais pas encore si je suis disposée à accepter cette responsabilité. »

Être francophone hors Québec 

Lorsqu’on parle de culture, la langue n’est jamais loin. Mais peut-on se sentir francophone sans cocher la case linguistique ? Sylvie Walker partage son avis sur la question : « Je me suis beaucoup interrogée sur cette question et j’ai sondé les gens autour de moi. La réponse est oui, car certaines personnes sont des amoureux de la langue française et sont des alliés de la culture francophone. » 

De son côté, Margot Gough témoigne de son expérience au Québec. « Beaucoup d’étudiants pensaient que c’était impossible que je puisse parler français en étant canadienne hors Québec. Je n’étais pas une étudiante internationale, donc pour eux c’était presque incroyable. » 

Cette dernière revient notamment sur son accent anglophone : « On me testait car j’ai un accent. Les gens tiraient des conclusions et basculaient tout de suite vers l’anglais alors que je parlais français », confie-t-elle.

Il est donc important pour la communauté de se rendre accessible et accueillante pour laisser à chacun l’espace dont il a besoin pour s’y épanouir et, surtout, pour ôter l’étiquette de club privé que certains lui collent : « L’un de mes ex-copains, qui pourtant parlait français, m’a dit que j’étais culty », témoigne Sylvie Walker. 

Selon Claude-Jean Harel, l’un des participants à la table ronde, la fransaskoisie d'aujourd'hui est un mélange d’influences et c’est dans cette dynamique qu’elle va continuer d’évoluer : « C'est quelque chose à quoi on adhère à travers les influences du territoire, des collectivités qu'on côtoie. C'est un concept en co-construction, au contact du soi avec l’autre. »

Imprimer

Nombre de vues (9701)/Commentaires (0)

Leslie Diaz

Leslie Diaz – IJL-Réseau.Presse

Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x

 - mardi 5 novembre 2024