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AGA 2024 de la CPF
Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Alphabétisation et compétences essentielles

Après un an de silence, le ministère d’Emploi et Développement social Canada (EDSC) a rendu sa réponse. C’est non à l’éducation aux adultes francophones et acadiens par les francophones et Acadiens. Un non sans explications qui met en péril l’existence même des réseaux d’alphabétisation et de compétences essentielles (ACE). 

10 juin 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (25726)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation

Le culte du silence

Le culte du silence devient de plus en plus la norme.  Du moins en public.  Au lieu de parler ouvertement, on rumine en silence. Et le mécontentement croît.  

5 juin 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (24106)/Commentaires ()/
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Les 7e années de Mgr de Laval changent d’école

Le Pavillon secondaire des Quatre Vents de l’école Laval (PSQV) à Regina accueillera les élèves de la 7e année à la rentrée 2014.

5 juin 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (22825)/Commentaires ()/
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La PÉLEC : une solution pour le sous-financement des écoles fransaskoises?

La PÉLEC : une solution pour le sous-financement des écoles fransaskoises?

La Saskatchewan pourrait emboîter le pas à l'Ontario et au Nouveau Brunswick

La Politique d’encadrement linguistique et culturel ou PÉLEC est un outil qui pourrait aider à résoudre les problèmes auxquels sont confrontés le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la province en matière de financement et de programmation.

5 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26571)/Commentaires ()/
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Un héros grec au pavillon Gustave Dubois!

Un héros grec au pavillon Gustave Dubois!

Des élèves de Saskatoon ont présenté un spectacle musical

Hercule, héros de la mythologie dont les nombreuses aventures l’ont mené de la Méditerranée jusqu’aux enfers, a ajouté une tâche à sa liste déjà longue de 12 travaux : il était en effet de passage à Saskatoon pour quelques jours, du 26 au 28 mai, et a pu profiter d’un beau temps printanier digne du mont Olympe!

5 juin 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (33069)/Commentaires ()/
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Mesures de compressions du réseau scolaire fransaskois

Mesures de compressions du réseau scolaire fransaskois

Leurs raisons et leur impact

Les mesures liées aux compressions budgétaires du Conseil scolaire fransaskois (CSF) entreront en vigueur le 1er septembre 2014 tandis que certains postes ne seront pas renouvelés lorsque les contrats prendront fin au mois de juin. Voici quelques précisions obtenues auprès de monsieur André Denis, président du Conseil scolaire fransaskois.

2 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27448)/Commentaires ()/
Balises: CEF-finances

Concours d’art oratoire

Coup d'oeil sur la finale provinciale du Concours d’art oratoire, organisé par Canadian Parents for French – Saskatchewan (CPF-SK) à Saskatoon, le samedi 26 avril 2014.

29 mai 2014/Auteur: Kenneth Bos/Nombre de vues (26708)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois !

Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois !

On plante à l’extérieur, on range à l’intérieur!

Le joli mois de mai, en plus d’être le mois de la petite enfance, est aussi synonyme de renouveau, de fin de l’hiver, de grand nettoyage et cela se vérifie au sein de nos organismes communautaires! L’Association des Parents fransaskois (APF) a organisé plusieurs activités en ce début de printemps pour les familles de Saskatoon et d’autres villes.

29 mai 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (27085)/Commentaires ()/
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La Grande Traversée

Une école de la vie

Transformés, c’est sans doute le mot qui revient le plus dans les commentaires des six élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de Regina, qui ont participé à l’édition 2014 de La Grande Traversée (LGT) en Saskatchewan.

29 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25387)/Commentaires ()/
Balises:
Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Plus de 1,5 millions distribués aux écoles primaires dans le besoin

La Fondation Indigo pour l'amour de la lecture octroie des subventions du Fonds pour la littératie de 1,5 million de dollars à 20 écoles primaires dans le besoin.

28 mai 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (30429)/Commentaires ()/
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Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Le RESDAC se prononce sur le financement du développement des compétences

Le débat actuel concernant le financement du développement de l’alphabétisme et des compétences au Canada dérape. 

26 mai 2014/Auteur: Isabelle Salesse/Nombre de vues (35300)/Commentaires ()/
Balises: RESDAC

Méga-procès pour les écoles francophones en Colombie-Britannique

« Si on construit, les gens viennent »

C’est le Champ de rêve, version francophone hors Québec. Depuis 1982, un scénario semblable s’est déroulé dans plus de 130 collectivités francophones et acadiennes. Bâtissez l’école, disaient les parents, et vous verrez, les inscriptions y seront et les jeunes y resteront.

23 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (18351)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

En novembre 2013, nous avons commencé à planifier notre premier voyage éducationnel à la Ville de Québec. Avec l'aide de nos parents, notre communauté et nos enseignants, nous avons commencé les collectes de fonds. Pendant les heures de classe, nous avons recherché les activités qui satisferaient nos résultats d'apprentissages de nos programmes d'études. Les billets d'avion étaient achetés, et avant qu'on le sache, on était parti! 

22 mai 2014/Auteur: Diana Couture – École Publique de Debden/Nombre de vues (24651)/Commentaires ()/
Balises: Debden
Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

L’histoire en marche

Le 23 mai prochain, Edward Simon deviendra le premier finissant de l’école Sans-Frontières de Lloydminster.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25869)/Commentaires ()/
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Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

La responsabilité remise aux aux CPE

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) cessera d’offrir son service de prématernelle trois ans dès la fin du mois de juin 2014 dans ses écoles, à l’exception des trois communautés où il n’y a pas de centre éducatif fransaskois. Ce sont les centres éducatifs de la petite enfance (CPE) qui seront en charge de la gestion et de l’offre du programme des trois ans.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25445)/Commentaires ()/
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Entretien avec Michel Lalonde

Auteur: Pascal Lévesque/4 juillet 2016/Catégories: 2016, Arts et culture

Michel Lalonde

Michel Lalonde

Photo: TFO
Le 1er juillet 2016, Michel Lalonde a pris sa retraite de Radio-Canada Saskatchewan après 24 ans de service à titre de réalisateur. Cet auteur-compositeur originaire de l’Ontario n’a pas l’intention de cesser de créer.  Il compte continuer à se produire tout en aidant les jeunes artistes de la relève qui vivent dans une période de changement à l’ère du numérique. Entretien!

Michel Lalonde, tracez-nous un bilan de vos années à Radio-Canada

« C’est un bilan très positif. J’ai eu la chance personnellement d’en profiter, de m’épanouir, d’apprendre beaucoup. J’ai eu aussi la chance de voir grandir de jeunes artistes. Pendant plusieurs années, le chapeau que j’ai porté le plus c’est celui de faire une place aux événements culturels, de les enregistrer, d’en faire la promotion, de même que faire du travail avec le développement du talent chez les jeunes. Puis les dernières années, on a pris un virage au niveau technologique, numérique et là j’ai appris des nouvelles choses aussi. Cependant, je suis content aussi de passer à autre chose. »

 

Vous avez été donc en quelque sorte une sorte mentor pour la relève artistique?

« J’ai eu, en effet, la chance de faire du mentorat. À l’époque, une part importante du mandat de Radio-Canada était d’apporter ce soutien aux communautés, que ce soit l’enregistrement et la diffusion de spectacles ou le développement des artistes. Ça tombait dans mes cordes. J’ai pu faire profiter à des jeunes l’expérience que j’avais tout en étant payé par Radio-Canada.

Je veux toujours continuer à partager mes connaissances et mon expertise. Je veux cependant aussi me donner un peu plus de temps à moi, sortir un peu des nouveaux trucs de mon bord, de la création de chansons et de textes, revenir peut-être avec un nouveau disque, faire de la scène. Je vais cependant toujours prendre plaisir à aider les nouveaux artistes et faire de la direction artistique. C’est pour moi une occasion de partager et c’est très gratifiant. Je suis un artiste un peu pédagogue. Ça fait plus de 50 ans que je me présente sur une scène. Au début de ma carrière, à mon époque on trafiquait nous-mêmes, on faisait tout par soi-même. »

Vous dites que vous faisiez tout par vous-mêmes à vos débuts, mais quelle est la différence aujourd’hui pour les nouveaux artistes?

« Aujourd’hui, dès qu’un nouvel artiste fait deux chansons et un concours, très souvent, on en entend parler. Mais souvent ces artistes-là n’ont pas eu la chance de jouer pendant deux-trois ans peut-être tous les soirs dans les boites, dans les clubs, pour apprendre le métier, alors ils sont propulsés sans être préparés. Radio-Canada et le Conseil culturel fransaskois jouent peut-être ce rôle-là, mais cette expérience, ça ne s’achète pas. En même temps, les jeunes artistes n’ont pas beaucoup de débouchés, ils ont moins de place qu’avant pour se faire payer pour jouer. Il y avait plus de boites et de bars pour se produire quand j’ai commencé, même si les cachets n’étaient pas énormes. On prenait beaucoup plus d’expérience. Ils sont confrontés à d’autres défis. Aujourd’hui, on parle davantage de musique préenregistrée ou de streaming sur Internet. Les artistes n’ont pas le temps de mûrir et de se faire payer pour apprendre suffisamment le métier. »

 

Vous faites références au virage numérique en parlant de streaming sur Internet et c’est quelque chose dont on parle beaucoup en ce qui concerne les médias et les artistes. 

« Radio-Canada joue beaucoup sur l’offre numérique pour qu’on puisse avoir accès à tout, partout et quand on veut. En contrepartie, ils mettent moins de matériel à la disposition du créateur, se disant que les gens peuvent créer chez eux avec leurs logiciels.

 

À l’époque il y avait plus de réalisateurs chevronnés qui pouvaient venir en aide aux jeunes. Ça ne s’achète pas ça non plus.  Composer avec ça, ce n’est pas évident. Il y a beaucoup moins d’accent qui est mis sur la transmission de connaissances artistiques, de production. Aujourd’hui tu as un Ipad, un ordinateur, un cellulaire, tu es réalisateur, producteur, musicien, et tout le monde met n’importe quoi sur Internet. Ça fait qu’il peut y avoir du très bon comme du très mauvais. Tout le monde y a accès. »

 

Comment vous voyez-vous en tant que créateur en cette ère du numérique?

« Pour moi, Radio-Canada met l’accent sur l’offre numérique au détriment de l’offre culturelle. Je m’y retrouve moins parce que je suis d’abord quelqu’un du côté création-production et moins dans la manipulation du contenu web. Cependant au besoin, je me sers du numérique. J’essaie de trouver un équilibre là-dedans. »

 

Michel Lalonde n’a pas de projet d’album défini pour l’instant, mais il continuera à être présent pour la communauté artistique fransaskoise et pour la francophonie en tant que créateur.

 

Michel Lalonde en quelques dates

1947 – Naissance de Michel à Glen Robertson, Ontario

1976-1983 Membre fondateur du groupe Garoulou et chanteur au sein de la formation. Garolou remportera de nombreux prix dont deux Félix et un Disque d’or. Le groupe sortira six disques.

1988 - Premier disque solo : Délit de suite

1990 – Arrivée de Michel en Saskatchewan pour un poste d’artiste en résidence

1995 - Membre fondateur du groupe fransaskois La Raquette à claquette qui enregistre 2 Cds (L’abbé rôde et Quand la pluie viendra)

2011 – Sortie d’un second album solo : L’Amour fou

 

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Pascal Lévesque

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 - jeudi 26 septembre 2024