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Fête des finissants à Zenon Park

Fête des finissants à Zenon Park

Briller dans le monde comme l’étoile dans la nuit

C’était le 24 mai dernier, une fête extraordinaire pour des finissants extraordinaires. Après 12 ans de scolarité, familles et amis étaient réunis afin de célébrer leur succès, leur engagement, les projets et les rêves de Karie-Anne Lépine, Wiliam Arty et Andréa Perrault.

12 juin 2014/Auteur: Amy-Valérie Olivier – CÉF/Nombre de vues (28617)/Commentaires ()/
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Un groupe de parent réclame du sang neuf au CSF

Entretien avec Alpha Barry du regroupement des parents anciennement silencieux

Selon Alpha Barry, les parents anciennement silencieux comptent 105 membres à Regina, Saskatoon, Ponteix, Gravelbourg et Moose Jaw et sont de plus en plus nombreux. Les membres sont les parents et grands-parents des clients et futurs clients du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

12 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25621)/Commentaires ()/
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Francine Proulx-Kenzle se prononce sur la situation du CSF

Il faut dialoguer et rétablir la confiance

Comme mamie fransaskoise, je suis très inquiète pour l’avenir de l’éducation en français dans notre communauté. Je reconnais que les défis sont nombreux et importants. Comment faire pour les relever?

11 juin 2014/Auteur: Francine Proulx-Kenzle/Nombre de vues (19595)/Commentaires ()/
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Récital de musique à l’école Providence de Vonda

Récital de musique à l’école Providence de Vonda

À la veille de la fin de l’année scolaire, des élèves de l’école Providence de la prématernelle à la 6e année ont offert un spectacle de très grande qualité à un public venu nombreux.

11 juin 2014/Auteur: Abdoul Sall – ACFT/Nombre de vues (26952)/Commentaires ()/
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Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Alphabétisation et compétences essentielles

Après un an de silence, le ministère d’Emploi et Développement social Canada (EDSC) a rendu sa réponse. C’est non à l’éducation aux adultes francophones et acadiens par les francophones et Acadiens. Un non sans explications qui met en péril l’existence même des réseaux d’alphabétisation et de compétences essentielles (ACE). 

10 juin 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (26029)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation

Le culte du silence

Le culte du silence devient de plus en plus la norme.  Du moins en public.  Au lieu de parler ouvertement, on rumine en silence. Et le mécontentement croît.  

5 juin 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (24829)/Commentaires ()/
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Les 7e années de Mgr de Laval changent d’école

Le Pavillon secondaire des Quatre Vents de l’école Laval (PSQV) à Regina accueillera les élèves de la 7e année à la rentrée 2014.

5 juin 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (23168)/Commentaires ()/
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La PÉLEC : une solution pour le sous-financement des écoles fransaskoises?

La PÉLEC : une solution pour le sous-financement des écoles fransaskoises?

La Saskatchewan pourrait emboîter le pas à l'Ontario et au Nouveau Brunswick

La Politique d’encadrement linguistique et culturel ou PÉLEC est un outil qui pourrait aider à résoudre les problèmes auxquels sont confrontés le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la province en matière de financement et de programmation.

5 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27060)/Commentaires ()/
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Un héros grec au pavillon Gustave Dubois!

Un héros grec au pavillon Gustave Dubois!

Des élèves de Saskatoon ont présenté un spectacle musical

Hercule, héros de la mythologie dont les nombreuses aventures l’ont mené de la Méditerranée jusqu’aux enfers, a ajouté une tâche à sa liste déjà longue de 12 travaux : il était en effet de passage à Saskatoon pour quelques jours, du 26 au 28 mai, et a pu profiter d’un beau temps printanier digne du mont Olympe!

5 juin 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (33737)/Commentaires ()/
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Mesures de compressions du réseau scolaire fransaskois

Mesures de compressions du réseau scolaire fransaskois

Leurs raisons et leur impact

Les mesures liées aux compressions budgétaires du Conseil scolaire fransaskois (CSF) entreront en vigueur le 1er septembre 2014 tandis que certains postes ne seront pas renouvelés lorsque les contrats prendront fin au mois de juin. Voici quelques précisions obtenues auprès de monsieur André Denis, président du Conseil scolaire fransaskois.

2 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (28069)/Commentaires ()/
Balises: CEF-finances

Concours d’art oratoire

Coup d'oeil sur la finale provinciale du Concours d’art oratoire, organisé par Canadian Parents for French – Saskatchewan (CPF-SK) à Saskatoon, le samedi 26 avril 2014.

29 mai 2014/Auteur: Kenneth Bos/Nombre de vues (27292)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois !

Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois !

On plante à l’extérieur, on range à l’intérieur!

Le joli mois de mai, en plus d’être le mois de la petite enfance, est aussi synonyme de renouveau, de fin de l’hiver, de grand nettoyage et cela se vérifie au sein de nos organismes communautaires! L’Association des Parents fransaskois (APF) a organisé plusieurs activités en ce début de printemps pour les familles de Saskatoon et d’autres villes.

29 mai 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (27694)/Commentaires ()/
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La Grande Traversée

Une école de la vie

Transformés, c’est sans doute le mot qui revient le plus dans les commentaires des six élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de Regina, qui ont participé à l’édition 2014 de La Grande Traversée (LGT) en Saskatchewan.

29 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25989)/Commentaires ()/
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Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Plus de 1,5 millions distribués aux écoles primaires dans le besoin

La Fondation Indigo pour l'amour de la lecture octroie des subventions du Fonds pour la littératie de 1,5 million de dollars à 20 écoles primaires dans le besoin.

28 mai 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (30845)/Commentaires ()/
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Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Le RESDAC se prononce sur le financement du développement des compétences

Le débat actuel concernant le financement du développement de l’alphabétisme et des compétences au Canada dérape. 

26 mai 2014/Auteur: Isabelle Salesse/Nombre de vues (36059)/Commentaires ()/
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Musulmanes mais pas seulement : destins tunisiens

Auteur: Alexandra Drame (EV)/19 février 2015/Catégories: 2015, Société, Immigration

Cette semaine, l’Eau vive continue ses rencontres avec des Fransaskoises de confession musulmane. Voici les portraits de Nesrine et Nadia. Originaires du même pays, elles habitent toutes les deux à Saskatoon, et nous présentent leurs parcours, similaires et différents à la fois.

Nesrine

Nesrine Tarchoun Taylor

Nesrine Tarchoun Taylor

Photo: Alexandra Drame (2015)
Nesrine a pas mal voyagé avant d’arriver dans les plaines saskatchewannaises : « J’ai quitté la Tunisie pour aller étudier en Grèce en 2008, avant la crise qu’a connue l’Europe. Là-bas, j’étais mélangée avec des Européens, des catholiques, des athées, des musulmans, des Européens de l’Est. Ces derniers sont d’ailleurs parfois marginalisés. »

En Grèce, elle est en contact avec de nouvelles cultures et de nouvelles religions. Loin d’être déstabilisée par ce nouvel environnement, elle part à la découverte de son nouveau pays. « En Tunisie on est habitué à vivre entre musulmans, juifs et catholiques. La plus vieille synagogue d’Afrique se trouve même chez nous, c’est un lieu de pèlerinage. Nous avons des églises catholiques, mais en Grèce c’était la première fois que je me retrouvais dans une société orthodoxe. C’est un peu plus conservateur. J’éprouvais de la curiosité à assister à des services religieux. Je respectais beaucoup leurs coutumes et leur spiritualité. Les pratiques sont différentes, mais je ressens la présence de Dieu dans n’importe quel lieu de culte, église, synagogue ou mosquée. Cela ne m’est jamais arrivé de ressentir de la discrimination à cause de ma religion. Je n’ai pas de problème à partager mes croyances. Je suis curieuse des autres cultures, des autres religions. »

La jeune femme s’adapte bien à son pays d’adoption « Je passais inaperçue là-bas : je parle grec, même si j’ai un accent, je ne suis pas voilée, je leur ressemble physiquement. Mais par contre, quand je marchais avec des amies voilées, je sentais la différence. Je sentais les regards discriminatoires sur elles et ça m’a fait mal. »

Mais au fait, que représente le port du voile pour les femmes musulmanes? Nesrine nous explique que « Si tu vas t’engager avec Dieu à 100%, le voile est comme la signature de ce contrat. Après tu ne peux pas revenir en arrière et l’enlever, c’est un engagement. On ne peut pas enlever son voile devant quelqu’un qui pourrait être un mari potentiel. Donc on peut enlever son voile devant son frère, son père, mais pas devant un cousin éloigné par exemple. Le port du voile s’accompagne d’un certain respect, de responsabilités et d’habitudes quotidiennes: faire les 5 prières, donner de son temps à Dieu plus qu’à l’être humain, faire du bénévolat, ne pas mentir. Tu ne peux pas vivre bien si quelqu'un à côté de toi ne vit pas bien. Et il faut aider sa famille d’abord. »

Si en Grèce elle se fondait dans la masse, elle avoue qu’elle a parfois été confrontée à une certaine incompréhension depuis qu’elle vit ici au Canada. Notamment concernant le fait qu’elle ne porte pas le voile. « Les gens ne me voient pas comme musulmane car je ne porte pas le voile. Mais quand on commence à entrer dans des débats, je commence à sentir l’influence des media nord-américains qui portent une mauvaise image. Ils résument les 24 pays arabes à l’Arabie Saoudite. Toutes les femmes portent du noir, sont oppressées et n’ont pas le droit d’étudier ou de voter... »

On lui a posé beaucoup de questions, des plus innocentes aux plus offensantes. « Pourquoi tous les hommes portent des barbes? C’est vrai que les femmes sont oppressées dans le monde arabe? Est-ce que vous avez Internet chez vous? Si les gens viennent sans préjugés, je n’ai pas de problème à répondre. Ils me posent des questions sur des choses que je n’ai même jamais ressenties alors j’ai recherché sur Google ce que signifie l’Islam pour les non-musulmans. J’ai trouvé des choses sur l’Afghanistan et les extrémistes. Le monde occidental reçoit la mauvaise image de ce qui passe. »

Le titre de cet article prend tout son sens à travers le témoignage de Nesrine : musulmane mais pas seulement. « Alors que je fais ma deuxième maîtrise à l’université, que je vote, que j’ai beaucoup voyagé, cela me dérange qu’on continue à me réduire. J’ai quitté mon pays pour venir en Saskatchewan et mes parents m’ont encouragée à venir, à prendre mes études et ma vie en main. Certains Canadiens ne seraient pas capables de faire ce que j’ai réalisé. Certains Québécois ne savent même pas où est la Saskatchewan! »

« Vous savez, ce ne sont pas tous les arabes qui sont musulmans. Et tous les musulmans ne sont pas arabes non plus. La majorité des musulmans sont en Indonésie ou au Pakistan. Un arabe c’est quelqu’un d’un pays dont la langue officielle est l’arabe. Il faut poser les bonnes questions pour avoir les bonnes réponses, et il faut dialoguer pour mieux comprendre. Les gens sont les meilleures sources d’information : tu ne pourras jamais les comprendre si tu ne vas pas prendre un café avec eux! »

Désormais installée à Saskatoon, elle nous parle de la communauté fransaskoise, dans laquelle elle est très impliquée. « J’aime cette appartenance à la communauté, les activités, parler le français. J’aimerais développer une meilleure compréhension des musulmans francophones. Le festival Saveurs du Maghreb organisé l’année dernière était une très bonne initiative par exemple. Moi, j’aime connaître les gens à travers la nourriture, les cultures, les langues. Chaque petit groupe de la fransaskoisie devrait partir à la rencontre des autres cultures. C’est comme cela qu’on va se comprendre. »

Nadia

Nadia Benboubaker

Nadia Benboubaker

Photo: Alexandra Drame (2015)
Tout comme Nesrine, Nadia est d’origine tunisienne. Mais c’est en France qu’elle est née et qu’elle a grandi. « Je m'appelle Nadia Ben Boubaker et je suis née à Paris. J’ai vécu 18 ans en France. Mon enfance fût assez facile, mais vers l'âge de 14 ans c’est devenu plus difficile. En effet, il y a eu la montée des intégristes islamiques vers 1986. Il y eu plusieurs attentats terroristes et  la population de souche française a commencé à montrer plus d'hostilité envers les arabes musulmans. Mes parents ont décidé de migrer au Canada pour que mon frère et moi puissions obtenir plus d'opportunités dans nos études. J'avais 18 ans quand nous sommes arrivés au Québec. »

À la recherche d’un environnement plus ouvert et accueillant, la famille Ben Boubaker s’installe à  Montréal. « Les Québécois me posaient beaucoup de questions sur mes origines et surtout le fait que je ne sois pas voilée! Je leur expliquais que le voile dans la religion est un choix personnel. J'ai compris qu'il y avait beaucoup de curiosité et de l'acceptation sans discrimination. »

Mais au Québec, Nadia fait aussi parfois face à de l’incompréhension. Et pas forcément là où elle s’y attendait : au sein sa propre communauté. « Avec les années, j'étais confrontée à mes propres semblables qui me jugeaient sur ma position laïque envers l'éducation et surtout la diversité de mon groupe d'amis. J’ai donc pris une décision importante pour ma fille qui grandissait dans un monde que j'avais fui 18 ans auparavant : j’ai choisi de m'installer à Saskatoon »

Plusieurs années après son installation dans la province, Nadia ne regrette pas son choix. « Ici les gens ne sont pas encore trop confrontés aux problèmes religieux dus à la croissance de l'immigration et de la population. La province est jeune et apprend tout doucement sans montrer d'opposition aux nouvelles cultures. Il y a de l'espoir pour l'échange culturel et surtout l'ouverture d'esprit est très présente. »

Un grand merci aux personnes qui ont accepté de témoigner pour ce dossier et de nous en apprendre plus sur leur culture et leur religion.  As-salâm 'aleïkoum, que la paix soit sur vous.

Quelques informations pour mieux comprendre l’Islam

L’islam dans le monde

Il peut se produire une confusion entre Arabes et musulmans, principalement à cause de deux facteurs : l'origine arabe de l'islam et la place centrale qu'occupe la langue arabe dans cette religion. Il y a environ 300 millions d'Arabes, dont la majorité est musulmane. Ils représentent 20 % des musulmans. On trouve ensuite 20% en Afrique subsaharienne. La plus grande population musulmane du monde est en Indonésie.

Mahomet

Le chef religieux, politique et militaire arabe Mahomet (Mohammed ou Muhammad en français), est le fondateur de l'islam. Les musulmans ne le considèrent pas comme le fondateur d'une nouvelle religion, mais pensent qu'il est le dernier d'une lignée de prophètes de Dieu.

Pendant les 23 dernières années de sa vie, Mahomet dicte des versets, qu'il reçoit d'Allah par l'intermédiaire de l'ange Gabriel. Le contenu de ces révélations sera compilé dans le Coran, le livre saint des musulmans.

Interdits alimentaires

Le Coran spécifie un ensemble de règles prescrivant ce que les musulmans doivent manger : ce qui est halal, c'est-à-dire légal, ou haram, illégal.

La loi islamique interdit aux musulmans de consommer de l'alcool, de boire ou de manger du sang et ses produits dérivés, et de manger la viande d'animaux carnivores ou omnivores comme le porc.

Pour que la viande d'un animal soit halal, il faut que l'animal soit abattu en respectant certains rites. Ainsi, la viande kasher est aussi considérée comme halal.

 

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 - vendredi 15 novembre 2024