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Les élèves de Laval à l’école du cirque

Les élèves de Laval à l’école du cirque

Quelle surprise! Personne ne s’y attendait. Le 18 juin, quatre-vingt-dix élèves de la 4e à la 6e année de Laval primaire ont écrit une nouvelle page de l’histoire de l’école, en réalisant le spectacle dénommé le Grand cabaret. Impressionnant.

26 juin 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (31313)/Commentaires ()/
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Concours « Lève-toi et bouge »

L’école Notre-Dame-des-Vertus de Zenon Park s’illustre plusieurs manières

Les élèves et la communauté scolaire de l’école Notre-Dame-des-Vertus (Zenon Park) ont été très actifs durant le concours national « Lève-toi et bouge! ».

19 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30236)/Commentaires ()/
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Clara Hughes fait un clin d’œil à Mgr de Laval

Clara Hughes fait un clin d’œil à Mgr de Laval

Traversée du Canada pour sensibiliser à la santé mentale

Mardi 10 juin, 9 heures du matin. Le directeur de l’école, M. Sébastien Ouellet, fait le tour des salles de classe et distribue en vitesse des bâtons gonflables bleus, après avoir montré aux élèves comment les utiliser. Aujourd’hui, tous les enfants sont habillés en bleu. La consigne a été donnée la veille. « Il faut encourager Clara Hughes ».

19 juin 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (30187)/Commentaires ()/
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Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Alphabétisation et compétences essentielles

En mars 2013, Ressources humaines et Développement des compétences Canada (RHDCC) annonce aux organismes œuvrant au développement de l’alphabétisme et des compétences que le financement de base provenant de ce ministère prendrait fin en juin 2014.

19 juin 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (27521)/Commentaires ()/
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Portes ouvertes aux nouveaux locaux du Centre d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE), La Ritournelle

Portes ouvertes aux nouveaux locaux du Centre d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE), La Ritournelle

Vendredi 13 juin, de 11 h à 16 h, les familles de Regina ont pu visiter les nouveaux locaux du Centre d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE), La Ritournelle, situés au Carrefour des Plaines à Regina, suite à l’invitation de l’Association des parents fransaskois (APF) lors de leur journée portes ouvertes.

19 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30257)/Commentaires ()/
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Une nouvelle garderie francophone en milieu familial à Regina

Une nouvelle garderie francophone en milieu familial à Regina

Les Bout'Choux DayCare

Les places en garderie sont rares, on le sait, et le nombre de garderies elles-mêmes est limité. C’est donc une inauguration bienvenue pour la communauté que celle de la garderie familiale francophone Bout’Choux Day Care de madame Saida Chehaima, qui a eu lieu, samedi 14 juin, au 22 Hyland Crescent à Regina. 

19 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (37490)/Commentaires ()/
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Le public visite le Pavillon secondaire des Quatre Vents

Le public visite le Pavillon secondaire des Quatre Vents

Les élèves en vedette

C’est sous le thème « Arts et spectacle » que s’est déroulée le vendredi 13 juin dernier cette soirée ouverte au public, organisée conjointement avec l’Association canadienne-française de Regina (ACFR). Avec une formule « cocktail », les visiteurs étaient invités à grignoter tout en contemplant différentes réalisations des élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de l’école Monseigneur de Laval à Regina. Les élèves de 10e année du cours de gestion financière étaient également sur place pour vendre des rafraîchissements.

19 juin 2014/Auteur: Stéphanie Alain/Nombre de vues (35880)/Commentaires ()/
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Urgence français

Urgence français

au Pavillon secondaire des Quatre Vents

C’est appuyé des rires du public de la salle que les membres de la troupe de théâtre du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV), de l’école Monseigneur de Laval à Regina, ont présenté cette pièce originale. 

19 juin 2014/Auteur: Stéphanie Alain/Nombre de vues (29091)/Commentaires ()/
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Le CÉF fait le point sur vérification provinciale de sa situation financière

Le CÉF fait le point sur vérification provinciale de sa situation financière

Lettre du président du Conseil scolaire fransaskois

Dans une lettre adressée aux parents, employés et partenaires communautaires, le président du Conseil scolaire fransaskois fait le point sur les récents développements dans le dossier scolaire: la cérification provinciale de la situation financière et certains énoncés diffusés dans les médias

13 juin 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (23710)/Commentaires ()/
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Ça prend tout un village, vous dites?

Dommage que Kafka ne soit plus de ce monde. Il aurait trouvé la situation de la gestion scolaire fransaskoise plutôt inspirante. La semaine dernière, le LeaderPost de Regina a rapporté que le ministre de l’Éducation se dit profondément préoccupé du retard de la paie du personnel enseignant du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

12 juin 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26856)/Commentaires ()/
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Ça sautait, ça courait et ça lançait lors des derniers jeux du CÉF...

Ça sautait, ça courait et ça lançait lors des derniers jeux du CÉF...

Jeudi 5 et vendredi 6 juin derniers, à Prince Albert, ça grouillait d’activité sportive lors des derniers jeux d’athlétisme pour les élèves de la 7e à la 12e année faisant partie du Conseil des écoles fransaskois (CÉF).

12 juin 2014/Auteur: Claude Martel/Nombre de vues (29723)/Commentaires ()/
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Les élèves de l'école Boréale relèvent le Grand défi Pierre Lavoie

Les élèves de l'école Boréale relèvent le Grand défi Pierre Lavoie

Les élèves de dix écoles élémentaires fransaskoises participent au programme « Lève-toi et bouge ».  Le but de ce programme est de faire des activités physiques propres à stimuler leur rythme cardiaque et à promouvoir une saine alimentation. L’effort de chacun se mesure en « cubes-énergie », une unité de mesure inventée spécialement pour cette compétition. Dans sa plus simple expression, le cube-énergie égale 15 minutes d’activité.

12 juin 2014/Auteur: Laurent Desrosiers/Nombre de vues (27613)/Commentaires ()/
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Radisson... Allez! Tasse-toi...

Radisson... Allez! Tasse-toi...

Mardi 3 et mercredi 4 juin derniers, avait lieu la foire provinciale du patrimoine à la maison du lieutenant-gouverneur de la Saskatchewan. Cet endroit est le pied-à-terre de sa majesté, la reine Élizabeth II de l’Angleterre, lorsqu’elle et son mari viennent faire un tour dans notre coin de pays.

12 juin 2014/Auteur: Claude Martel/Nombre de vues (25966)/Commentaires ()/
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Nikolas Gélinas : Récit d’une réussite

Nikolas se dit fier d’avoir remporté le prix de la Pensée historique. Il peut l’être. Derrière ce prix, ce sont des dizaines d’heures de recherches et un investissement total dans un projet.

12 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (24404)/Commentaires ()/
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Réalisation d’une murale au Pavillon secondaire des Quatre Vents

Réalisation d’une murale au Pavillon secondaire des Quatre Vents

Cette murale est le fruit d’un projet pluridisciplinaire Génie-arts, qui réunit éducation artistique, sciences humaines et français en 8e année. Au cours du deuxième semestre, les élèves ont produit une murale, un texte de création littéraire et un travail de recherche afin de répondre à la question : « Quel est le vécu et l’héritage des Fransaskois dans le patrimoine canadien à travers le temps? ». 

12 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30029)/Commentaires ()/
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Sébastien Durand, la tête dans les nuages

Auteur: Lucas Pilleri/26 mars 2020/Catégories: 2020, Société, Portraits et entretiens

Sébastien Durand a toujours rêvé de voler. Le Français de 33 ans va pouvoir accomplir son rêve en devenant cet été pilote de brousse au nord de la Colombie-Britannique. D’ici là, il continue de survoler les plaines saskatchewanaises depuis l’aéroclub de Regina.

Sébastien Durand a toujours voulu prendre la route des airs. « Je demandais à mon père de m’emmener à Roissy pour voir les avions se poser et décoller », se souvient-il. Originaire de la région parisienne, il a travaillé dans la capitale française au sein de l’industrie aéronautique en tant qu’ingénieur en conception. « Je travaillais sur les systèmes de carburant. C’était du travail de bureau derrière un ordinateur… Vraiment de l’ingénierie pure et dure », relate-t-il.

Mais, au bout de sept ans, sa passion le rattrape. « Quand j’étais petit, je voulais être pilote. C’était mon rêve d’enfant. Je me suis dit que c’était le moment de changer. J’ai sauté sur l’occasion et je suis parti pour le Canada. » Départ donc pour les grands espaces avec sa licence de pilote privé en poche qu’il a acquise en France.

Aventures à 4 000 mètres du sol

Sébastien quitte la France en 2016 pour atterrir à Winnipeg où il rejoint la fameuse école Harv’s Air pour parfaire sa formation pendant deux ans. Il rejoint ensuite Regina fin 2018 où il travaille aujourd’hui depuis un an à l’aéroport de la ville en tant que superviseur des opérations au sol.

Le jeune trentenaire s’entraîne une fois toutes les deux semaines à l’aéroclub de Regina où il fait du coavionnage. Le partage des frais se fait avec trois passagers, souvent des amis, à qui il fait ainsi prendre de la hauteur au-dessus de la vallée de la rivière Qu’Appelle au cœur des Prairies. Sébastien cumule aujourd’hui près de 300 heures de vol.

Pilote de brousse

Avant de rechercher un emploi de pilote de ligne sur une compagnie aérienne de type Air Canada, Sébastien veut explorer la carrière de pilote de brousse. « C’est plus libre comme métier. Tu n’es pas encore contraint par des procédures. Je veux m’amuser, voler au fond de la nature au Canada, me poser sur des lacs… »

Sébastien a hâte de survoler les terres reculées du Nord canadien à bord de son Cessna 180. « Ce qui me fait vibrer, c’est me dire que ce sont des endroits que personne n’a explorés, des endroits jamais survolés. » La perspective de se poser sur des lacs encore vierges de toute présence humaine l’enthousiasme au plus haut point. « C’est vraiment la liberté, tu peux aller n’importe où. »

Pour s’exercer sur des hydravions, Sébastien a dû se former à Kelowna. Pendant quelques mois en 2019, il alternait ainsi 4 jours par semaine à l’aéroport de Regina et trois jours à Kelowna. Chanceux, il y a rencontré un entrepreneur qui gère un pavillon de chasse et de pêche au nord de la Colombie-Britannique, à la frontière avec les Territoires du Nord-Ouest. Son contrat de pilote de brousse devrait démarrer en mai-juin pour la belle saison : « C’est du non-stop pendant 4-5 mois. Tu voles et tu participes aux activités sur place : tu aides à réparer les choses, tu accompagnes les clients, tu charges les avions… » En contrepartie, Sébastien sera logé, nourri et blanchi et peut espérer une rémunération d’environ 3 000 dollars par mois, en plus d’un bonus pour ses heures de vol.

Une formation onéreuse, mais payante

Pour faire leurs armes, les pilotes passent souvent d’abord par le pilotage de bimoteurs, décrochant des contrats de surveillance des feux de forêt ou des oléoducs, de prise de photographies aériennes, ou encore d’épandage agricole, une technique qui consiste à répandre des produits chimiques sur les champs.

Cet apprentissage sur petits appareils permet aux pilotes comme Sébastien d’engranger de l’expérience avant de pouvoir envisager une carrière de pilotes de ligne. L’industrie est par ailleurs en forte demande : d’ici 2025, le Canada manquera de quelque 3 000 pilotes selon les dernières estimations.

Pour être un bon aviateur, « il faut avoir une certaine humilité », insiste Sébastien, conscient du danger que la pratique représente. « Il faut que le pilote garde la tête froide et prenne en compte tous les éléments pour prendre des décisions. La sécurité prime le plus. » Ses proches lui font d’ailleurs confiance : « Ils me connaissent, ils savent que je ne suis pas un casse-cou ! »

Si Sébastien ne tient pas sa vocation à des pilotes illustres comme Antoine de Saint-Exupéry, Roland Garros ou Charles Lindbergh, il a tout de même été conforté dans sa passion par un instructeur de haut vol. « Je garderai toujours en tête mon premier instructeur en France. C’était un ancien capitaine sur Boeing 747. Il cumulait 35 000 heures de vol ! Il avait tellement d’histoires croustillantes à raconter, il était intarissable… »

Mais la passion de Sébastien s’accompagne d’un lourd tribut. Une heure de vol sur un bimoteur lui coûte jusqu’à 360 dollars. Au total, il aura dépensé pas moins de 100 000 dollars pour se former. « C’est un gros investissement, il faut être passionné », concède-t-il. Après tout, les rêves n’ont pas de prix.

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Lucas Pilleri

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 - samedi 23 novembre 2024