Skip Navigation
Grève Postes Canada accès PDF
École Notre-Dame-des-Vertus

École Notre-Dame-des-Vertus

Bravo aux élèves de NDV pour les belles chansons à la fête de la Saint-Jean-Baptiste à Zénon Park. 

3 juillet 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (6559)/Commentaires ()/
Balises:
École Père-Mercure

École Père-Mercure

Nos élèves et la communauté se sont rassemblés pour souligner la fin de l'année avec un dîner BBQ et une après-midi de jeux. Merci à tous les parents et membres du personnel qui ont aidé à l'organisation !

3 juillet 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (6110)/Commentaires ()/
Balises:
École de Bellegarde

École de Bellegarde

Le mois de juin a été rempli d’activités !

3 juillet 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (4752)/Commentaires ()/
Balises:
Dans nos écoles 25 mai au 7 juin 2023

Dans nos écoles 25 mai au 7 juin 2023

Dans nos écoles 25 mai au 7 juin 2023.

6 juin 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (5036)/Commentaires ()/
Balises:
Dans nos écoles 11 au 24 mai 2023

Dans nos écoles 11 au 24 mai 2023

Dans nos écoles 11 au 24 mai 2023.

23 mai 2023/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (4069)/Commentaires ()/
Balises:
Le postsecondaire en français grand perdant du Plan d’action pour les langues officielles

Le postsecondaire en français grand perdant du Plan d’action pour les langues officielles

Ottawa investit 4,1 milliards de dollars dans le Plan d’action pour les langues officielles 2023-2028. Si de nouveaux investissements sont prévus notamment en immigration, en immersion et en petite enfance, le gouvernement libéral a brisé sa promesse électorale de financer le postsecondaire en français de manière permanente à raison de 80 millions de dollars par an.

16 mai 2023/Auteur: Inès Lombardo — Francopresse /Nombre de vues (5592)/Commentaires ()/
Balises:
Voyages du CÉF à l’international : « un énorme retour sur investissement »

Voyages du CÉF à l’international : « un énorme retour sur investissement »

Fin avril, une délégation du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) s’est rendue au Burundi et au Niger sous la houlette de son directeur général Ronald Ajavon en vue d’établir des partenariats avec les autorités locales. Certaines personnes de la communauté ont critiqué les dépenses encourues, estimant que le CÉF devrait se focaliser sur d’autres priorités plus locales. Monsieur Ajavon clarifie sa démarche.

12 mai 2023/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (7339)/Commentaires ()/
Balises:
Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF.

11 mai 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (4114)/Commentaires ()/
Balises:
ÉCOLE DE BELLEGARDE

ÉCOLE DE BELLEGARDE

ÉCOLE DE BELLEGARDE.

27 avril 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (4367)/Commentaires ()/
Balises:
Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF.

27 avril 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (3768)/Commentaires ()/
Balises:
Gard’Amis, une garderie en pleine croissance

Gard’Amis, une garderie en pleine croissance

Le Centre éducatif Gard’Amis, à Regina, dessert la petite enfance depuis 1987. Première garderie francophone de la province, cette coopérative à but non lucratif a même commencé à acquérir des propriétés en 2017 pour répondre aux besoins toujours croissants des familles fransaskoises.

27 avril 2023/Auteur: Sarah Vennes-Ouellet – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (6282)/Commentaires ()/
Balises:
Des Fransaskois étudieront les relations publiques à La Cité à Toronto

Des Fransaskois étudieront les relations publiques à La Cité à Toronto

Après une entente signée le 5 avril, des étudiants du Collège Mathieu auront accès dès septembre prochain au programme de Relations publiques de deux ans du Collège La Cité à Toronto.

18 avril 2023/Auteur: François Bergeron (L’Express)/Nombre de vues (6139)/Commentaires ()/
Balises:
L’enseignement de demain sera-t-il « dialogique » ?

L’enseignement de demain sera-t-il « dialogique » ?

Précurseur et prêcheur de l’approche dialogique en enseignement depuis 36 ans, le professeur Norman Cornett était l’invité d’honneur d’une discussion à la Cité francophone de l’Université de Regina les 28 et 29 mars. L’événement, ouvert au public, a soulevé des échanges de fond entre les membres du personnel enseignant et les étudiants.

15 avril 2023/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (6056)/Commentaires ()/
Balises:
Les enseignants renouent contact à Saskatoon

Les enseignants renouent contact à Saskatoon

Les enseignants fransaskois ont pu enfin se retrouver lors du premier congrès organisé en personne depuis le début de la pandémie les 30 et 31 mars à Saskatoon. Organisatrices de la rencontre, l’Association locale des enseignantes et des enseignants fransaskois (ALEF) et l’Association professionnelle des enseignants fransaskois (APEF) avaient logiquement choisi pour thème Des retrouvailles pour se ressourcer.

14 avril 2023/Auteur: Leanne Tremblay – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (4324)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Balises:
Le gouvernement donne son aval pour deux nouvelles écoles

Le gouvernement donne son aval pour deux nouvelles écoles

Bonne nouvelle pour les Fransaskois : deux nouvelles écoles se retrouvent dans le budget provincial 2023-2024 présenté le 22 mars. Si l’annonce des établissements, prévus pour Prince Albert et Saskatoon, enchante les communautés locales, la vigilance reste de mise.

4 avril 2023/Auteur: Lucas Pilleri – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (5409)/Commentaires ()/
Catégories: ÉducationPolitique
Balises:
RSS
135678910Dernière

La participation des Autochtones à la Première Guerre mondiale : une question de respect et d’égalité

Auteur: Camille Langlade – Francopresse/19 novembre 2022/Catégories: Société, Autochtones / Métis

FRANCOPRESSE (Entretien) – Lors de la Première Guerre mondiale, des milliers d’Autochtones ont servi dans les Forces armées canadiennes. John Moses, membre des bandes Delaware et Upper Mohawk des Six Nations du territoire de la rivière Grand en Ontario, revient sur ce pan de l’Histoire toujours vivant dans la mémoire collective et intrinsèquement lié au respect des droits autochtones.

Francopresse : Quel rôle ont joué les populations autochtones pendant la Première Guerre mondiale?

John Moses : Les Autochtones se sont enrôlés dans les trois éléments des Forces armées canadiennes pour servir durant la Première Guerre mondiale. La plupart étaient dans l’infanterie, mais certains se sont également engagés dans la Marine royale et l’Aviation royale.

Selon les données existantes, plus de 4 000 Autochtones ayant le statut d’Indien inscrit ont intégré les Forces canadiennes pendant la Première Guerre mondiale. Ce chiffre ne représente que les Autochtones qui vivaient et travaillaient dans une réserve. Il y en a eu probablement autant hors réserves qui se sont engagés, ce qui ramènerait le nombre total de volontaires autochtones à environ 8 000.

Est-ce que leur retour au pays après la guerre a été difficile?

Ils ont souffert des mêmes complications que les autres soldats, notamment de ce qu’on appelle aujourd’hui le choc posttraumatique, qui s’appelait alors le «shell shock» (obusite).

Mais ils se sont aussi retrouvés dans un environnement politique différent, parce que pendant leur temps sous l’uniforme, ils ont été considérés comme des égaux. Mais lors de leur retour dans la société canadienne civile d’après-guerre, ils ont malheureusement été confrontés aux mêmes inégalités qu’ils avaient laissées en s’enrôlant.

Que reste-t-il aujourd’hui de cette période, notamment chez les plus jeunes générations?

Je pense qu’aujourd’hui, si on parle avec des jeunes Autochtones de la participation de leurs ancêtres à la Première Guerre mondiale, il y a plus de cent ans maintenant, on parle de leurs arrière-grands-parents et peut-être même de leurs arrière-arrière-grands-parents. Donc, les souvenirs de première main appartiennent maintenant au passé.

Mais j’ai constaté que les jeunes sont toujours conscients du fait que les Autochtones ont participé aux efforts militaires du Canada pendant les deux guerres mondiales, mais aussi lors de conflits plus récents comme la guerre de Corée dans les années 1950.

Je pense que les traités autochtones peuvent être caractérisés comme un engagement de partenariat commercial et économique en temps de paix et d’alliance militaire en temps de guerre.

Les peuples autochtones ont servi d’alliés à la Couronne britannique, mais n’étaient pas des sujets de la Couronne britannique, et c’est un point très important à souligner.

Peu importe qu’on parle des Autochtones de l’Est, de l’Ouest ou du Centre du pays, on s’entend pour dire que les Autochtones, en temps de guerre, y compris au moment des deux guerres mondiales, étaient prêts à soutenir la continuité du gouvernement de la Couronne, à condition que cette même Couronne accepte de reconnaitre les droits autochtones et les droits issus des traités en retour.

Il s’agit donc d’un partenariat égal entre deux alliés et non d’une relation de soumission entre une grande puissance et une petite puissance. C’est censé être un véritable partenariat. Ils ont servi en tant qu’égaux.

C’est donc une partie de l’Histoire qui reste malgré tout ancrée dans la mémoire collective?

Aujourd’hui, le souvenir de la Première Guerre mondiale est gravé dans toutes les mémoires. Il n’y a plus de survivants. Je suis sûr que, chaque jour, on perd des survivants de la Seconde Guerre mondiale et de la guerre de Corée. Donc, dans ce sens, ce souvenir s’estompe dans la mémoire collective pour tout le monde.

Mais en même temps, on peut espérer que les familles le conserveront dans leur histoire orale. Cela fait partie de leur mémoire ancestrale.

Ma propre grand-mère a servi comme infirmière dans l’armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. J’étais moi-même un adulte quand elle est décédée. Elle était certainement un modèle pour un grand nombre de personnes de ma communauté qui ont finalement fait carrière dans les soins infirmiers.

Les propos ont été réorganisés pour des raisons de longueur et de cohérense.

Imprimer

Nombre de vues (5154)/Commentaires (0)

Francopresse

Camille Langlade – Francopresse

Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x

 - mercredi 27 novembre 2024