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Le postsecondaire en français grand perdant du Plan d’action pour les langues officielles

Le postsecondaire en français grand perdant du Plan d’action pour les langues officielles

Ottawa investit 4,1 milliards de dollars dans le Plan d’action pour les langues officielles 2023-2028. Si de nouveaux investissements sont prévus notamment en immigration, en immersion et en petite enfance, le gouvernement libéral a brisé sa promesse électorale de financer le postsecondaire en français de manière permanente à raison de 80 millions de dollars par an.

16 mai 2023/Auteur: Inès Lombardo — Francopresse /Nombre de vues (4353)/Commentaires ()/
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Voyages du CÉF à l’international : « un énorme retour sur investissement »

Voyages du CÉF à l’international : « un énorme retour sur investissement »

Fin avril, une délégation du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) s’est rendue au Burundi et au Niger sous la houlette de son directeur général Ronald Ajavon en vue d’établir des partenariats avec les autorités locales. Certaines personnes de la communauté ont critiqué les dépenses encourues, estimant que le CÉF devrait se focaliser sur d’autres priorités plus locales. Monsieur Ajavon clarifie sa démarche.

12 mai 2023/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (6228)/Commentaires ()/
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Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF.

11 mai 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (3220)/Commentaires ()/
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ÉCOLE DE BELLEGARDE

ÉCOLE DE BELLEGARDE

ÉCOLE DE BELLEGARDE.

27 avril 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (3432)/Commentaires ()/
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Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF.

27 avril 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (3187)/Commentaires ()/
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Gard’Amis, une garderie en pleine croissance

Gard’Amis, une garderie en pleine croissance

Le Centre éducatif Gard’Amis, à Regina, dessert la petite enfance depuis 1987. Première garderie francophone de la province, cette coopérative à but non lucratif a même commencé à acquérir des propriétés en 2017 pour répondre aux besoins toujours croissants des familles fransaskoises.

27 avril 2023/Auteur: Sarah Vennes-Ouellet – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (5137)/Commentaires ()/
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Des Fransaskois étudieront les relations publiques à La Cité à Toronto

Des Fransaskois étudieront les relations publiques à La Cité à Toronto

Après une entente signée le 5 avril, des étudiants du Collège Mathieu auront accès dès septembre prochain au programme de Relations publiques de deux ans du Collège La Cité à Toronto.

18 avril 2023/Auteur: François Bergeron (L’Express)/Nombre de vues (4726)/Commentaires ()/
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L’enseignement de demain sera-t-il « dialogique » ?

L’enseignement de demain sera-t-il « dialogique » ?

Précurseur et prêcheur de l’approche dialogique en enseignement depuis 36 ans, le professeur Norman Cornett était l’invité d’honneur d’une discussion à la Cité francophone de l’Université de Regina les 28 et 29 mars. L’événement, ouvert au public, a soulevé des échanges de fond entre les membres du personnel enseignant et les étudiants.

15 avril 2023/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (4537)/Commentaires ()/
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Les enseignants renouent contact à Saskatoon

Les enseignants renouent contact à Saskatoon

Les enseignants fransaskois ont pu enfin se retrouver lors du premier congrès organisé en personne depuis le début de la pandémie les 30 et 31 mars à Saskatoon. Organisatrices de la rencontre, l’Association locale des enseignantes et des enseignants fransaskois (ALEF) et l’Association professionnelle des enseignants fransaskois (APEF) avaient logiquement choisi pour thème Des retrouvailles pour se ressourcer.

14 avril 2023/Auteur: Leanne Tremblay – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (3946)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Le gouvernement donne son aval pour deux nouvelles écoles

Le gouvernement donne son aval pour deux nouvelles écoles

Bonne nouvelle pour les Fransaskois : deux nouvelles écoles se retrouvent dans le budget provincial 2023-2024 présenté le 22 mars. Si l’annonce des établissements, prévus pour Prince Albert et Saskatoon, enchante les communautés locales, la vigilance reste de mise.

4 avril 2023/Auteur: Lucas Pilleri – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (4780)/Commentaires ()/
Catégories: ÉducationPolitique
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Faire reconnaître l’apprentissage non formel et informel du français

Faire reconnaître l’apprentissage non formel et informel du français

En dehors du cursus scolaire, les situations d’apprentissage sont infinies. C’est le message que veut faire passer le Réseau pour le développement de l’alphabétisme et des compétences (RESDAC). Une considération que l’organisme veut faire inscrire dans la modernisation de la Loi sur les langues officielles.

3 avril 2023/Auteur: Anne-Hélène Mai – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (5339)/Commentaires ()/
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Trois minutes pour convaincre

Trois minutes pour convaincre

Le 13 mars, l'Association francophone pour le savoir (ACFAS) a convié en ligne le public à la finale fransaskoise du concours Ma thèse en 180 secondes. La relève universitaire d’expression française de la province a ainsi présenté ses projets de recherche en un format accessible, ludique et dynamique.

23 mars 2023/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (5102)/Commentaires ()/
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Une pionnière de l’enseignement des arts industriels récompensée

Une pionnière de l’enseignement des arts industriels récompensée

La Fransaskoise Julie Lemire s’est vu remettre, le 4 novembre 2022, le Saskatchewan Youth Apprenticeship (SYA) Champion Award, un prix qui souligne les réalisations d’enseignants du secteur des arts industriels de la province.

27 janvier 2023/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (5399)/Commentaires ()/
Balises: Julie Lemire
Près de 16 000 ayants droit : un argument massue pour plus d’écoles fransaskoises

Près de 16 000 ayants droit : un argument massue pour plus d’écoles fransaskoises

En novembre dernier, Statistique Canada a révélé que près de 16 000 jeunes Saskatchewanais étaient admissibles à l’instruction en français en 2021. Pourtant, seulement 2 000 élèves fréquentent les écoles francophones de la province. Des personnalités de la communauté réagissent.

25 janvier 2023/Auteur: Anne-Hélène Mai – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (5520)/Commentaires ()/
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Francis Kasongo, un pilier de l’éducation en français

Francis Kasongo, un pilier de l’éducation en français

Le 9 novembre, lors du congrès national du Réseau des cégeps et collèges francophones du Canada (RCCFC) à Montréal, le directeur général du Collège Mathieu Francis Kasongo a reçu le prix Pilier collégial francophone. Cette distinction vient ainsi souligner son travail pour le développement de l’éducation postsecondaire collégiale en français en Saskatchewan. Le fier récipiendaire revient sur son engagement.

25 novembre 2022/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (6074)/Commentaires ()/
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La St-Jean – fête de qui, au juste?

Auteur: Paul Heppelle (Courrier du lecteur)/15 juillet 2015/Catégories: 2015, Saskatoon, Courrier du lecteur

Comme Alexandra Drame (Eau vive, 2-8 juillet), moi aussi j’ai assisté à Saskatoon à l’École-canadienne-française (ECF) à ce que l’on nous proposait comme la « Fête de la St-Jean-Baptiste », ce 24 juin dernier. Aussi, comme la correspondante de Saskatoon, je n’ai rien vu d’une « Fête de la St-Jean ». D’ailleurs, sur une période de 4-5 ans, c’est la 3e fois que je m’y pointe le nez et, les trois fois, j’ai eu la même impression. On aurait titré cette activité « Fête de la fin des classes », « Rencontre des parents de l’ECF », « BBQ estival à ECF », « Soirée d’activités jeunesse », j’aurais compris le raisonnement. 

Dans la foule, on voyait surtout parents et enfants. Oh, il y avait quelques vieux comme moi, sans doute attirés par l’idée de fêter la St-Jean – souvenirs d’antan. On est nostalgique, vous comprenez! À quelques exceptions près, ils sont surtout restés ensemble, un peu à l’écart, laissant la fête se dérouler comme prévue par les organisateurs – une activité parascolaire, une activité pour groupe sélect.

Comme j’ai dit, je m’y suis rendu, moi et mes trois « bonshommes gigueurs »(1), Elzéar, Elizabeth et Nellie le Trotteur et une bonne sélection de musique dite « traditionnelle » - La Bottine souriante, Gilles Vigneault, Les Charbonniers de l’enfer, Édith Butler, Le Vent du Nord, ainsi de suite. Je ne voulais pas m’imposer; j’espérais contribuer. Mes présentations ont attiré quelques uns, même un adulte ou deux, mais mon retour à une des traditions de la St-Jean avait une forte compétition - un château gonflable, un terrain de jeux, un poste où on « peinturait » les visages et un autre où on confectionnait les « sculptures de ballons ».

J’ai osé demander aux jeunes ce que l’on célébrait. Peu d’enfants semblaient comprendre pourquoi on se rassemblait. Oh, pour s’amuser, certes. Comment ne pas penser cela, entourés comme ils étaient par une série d’activités alléchantes. Ceux qui connaissaient la « bonne réponse » – plutôt les 8-10 ans (merci aux profs!) - parlaient plutôt de « fête des francophones », réponse que j’ai corrigée avec autant de douceur et de tact que possible, expliquant que depuis près de 100 ans, c’est la fête du Canada français (avec toutes mes excuses aux Québécois, bien entendu!).

Sans doute que l’ECF devrait conserver cette activité annuelle. Les enfants semblaient s’amuser, la bouffe était bonne et, Dieu sait, une opportunité de se rencontrer entre pairs (pour les adultes aussi, comme de raison) dans un contexte social – toutes d’excellentes raisons pour maintenir cette fête. Mais, comme une St-Jean communautaire? Sans doute que non.

Comme Mme Drame, j’espère que la tradition de la St-Jean continue à Saskatoon. Cependant, il faudrait la rendre plus communautaire et plus traditionnelle. Une tradition, une fois perdue, devient folklore. Et, ça, ce n’est pas de la simple nostalgie.

Paul Heppelle, Saskatoon.

 (1)Pour les non-habitués, le bonhomme-gigueur est un pantin de bois aux articulations amovibles qu’on fait danser sur le bout d’une planchette au rythme de la musique Comme les cuillères, il fait partie du folklore canadien-français. Ci dessous on peut voir  Elzéar, un petit bûcheron; Elizabeth, sa fiancée, une petite dame de la campagne; Nellie, leur pony encore attelé pour sa besogne dans les camps.

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Paul Heppelle

Paul Heppelle (Courrier du lecteur)

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 - jeudi 26 septembre 2024