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Parents et petits à Prince Albert

Parents et petits à Prince Albert

Des activités ludiques... en français!

Si vous vous promenez du côté de la bibliothèque John M. Cuelenaere à Prince Albert, le samedi matin vers 10 h, vous assisterez à  la venue d’une joyeuse troupe mêlant parents et enfants et ayant pour but la découverte du français de façon amusante.

20 novembre 2014/Auteur: Ahmed Hassan (EV)/Nombre de vues (32089)/Commentaires ()/
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École St-Isidore : de bonnes raisons pour se réjouir

École St-Isidore : de bonnes raisons pour se réjouir

Terry Gaudet nommé l’entraîneur de performance masculine de l’année par l’Association de Volleyball de la Saskatchewan.

À l’École St-Isidore, il y a cette année bien des raisons de se réjouir. On vient de mettre la dernière touche au plancher tout neuf du gymnase, un sol de sport Pulastic. Cette nouvelle acquisition arrive à point nommé. En effet, l’école et la communauté de Bellevue, en collaboration avec la communauté de Wakaw, seront les hôtes du tournoi de volleyball de la ligue provinciale masculine 3A de la Saskatchewan High School Athletics Association (SHSAA) 

20 novembre 2014/Auteur: Jennie Baudais (CÉF)/Nombre de vues (34368)/Commentaires ()/
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Les jeunes s’emparent du Parlement

Les jeunes s’emparent du Parlement

REGINA - Le Parlement franco-canadien du Nord et de l'Ouest (PFCNO) se déroule chaque année et rassemble les jeunes francophones des provinces du Nord et de l'Ouest du Canada. Cet évènement national donne la chance aux jeunes qui ont entre 16 et 25 ans de donner leur propre avis à propos des politiques adoptées par le Parlement officiel et, bien sûr, de se faire plein d’amis.

13 novembre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (33746)/Commentaires ()/
Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université

Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université

L'éducation au coeur des discussions au Rendez-vous fransaskois 2014

SASKATOON - Cette année, l’édition 2014 du Rendez-vous fransaskois se déroulait à Saskatoon sous le thème de l’éducation. En ouverture, samedi le 8 novembre, la présidente nouvellement réélue de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), Françoise Sigur-Cloutier, a rappelé l’importance de cette thématique. Ainsi, selon elle, ‘’toute la valeur de notre communauté dépend de cette cause’’

12 novembre 2014/Auteur: Arnaud Decroix/Nombre de vues (33401)/Commentaires ()/
Balises: RVF 2014

Postsecondaire : petit voyage dans le temps

Au Rendez-vous fransaskois, le kiosque de l’Eau vive permettait de faire un petit voyage dans le temps en se promenant dans les albums de l’hebdomadaire des 30 dernières années. Les gens s’amusaient à regarder les photos des membres de la communauté à une époque où les cheveux étaient plus foncés ou plus fournis.

12 novembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26439)/Commentaires ()/
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Mais que font les professeurs quand ils ne sont pas en classe?

Mais que font les professeurs quand ils ne sont pas en classe?

Congrès annuel de l’Association des professeurs de français de la Saskatchewan (APFS)

Quand vous regardez le calendrier scolaire de votre enfant, vous voyez toutes ces journées mystérieuses : perfectionnement professionnel, session de planification, conventions... Et je suis sûre que vous vous demandez ce que ce font les enseignants au lieu d’être en classe avec votre enfant. 

6 novembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (28509)/Commentaires ()/
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L’École Valois à l’heure de l’Halloween

L’École Valois à l’heure de l’Halloween

PRINCE ALBERT - Sous les yeux du Père Valois, le fondateur de la seule école francophone de Prince Albert, et avec l’accord de M. RIVARD, directeur des lieux, les chaises, les tables et les enfants studieux ont laissé place à des locataires d’un soir à savoir des fantômes, des animaux de la nuit, des toiles d’araignée et beaucoup d’autres personnages.

6 novembre 2014/Auteur: Ahmed Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (29233)/Commentaires ()/
« Ne pas perdre ma langue! »

« Ne pas perdre ma langue! »

Jamie Gignac de Vonda au Campus St-Jean

Il y a deux ans, la Fransaskoise Jamie Gignac, alors élève de 12e année à l’école Providence de Vonda, s’est retrouvée devant un dilemme : quoi faire au terme de ses études secondaires? « J’ai changé d’idée au moins cinq fois en cours d’année », avoue candidement la jeune femme. 
29 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (32032)/Commentaires ()/
Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme

Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme

Certains auront du mal à y croire. « La faim existe au Canada »1, qui fait partie des 10 pays les plus riches de la planète. Les élèves de l'école Mgr de Laval de Regina ont décidé de faire quelque chose.

22 octobre 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (29150)/Commentaires ()/
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Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)

Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)

François Kasongo élu représentant de l'Ouest au conseil d'administration

Plus de 85 personnes, présidences des collèges, directions générales, directions des études et de la formation continue, ainsi que de nombreux partenaires, ont participé encore une fois au congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC) qui s’est tenu les 2 et 3 octobre derniers à Ottawa sous l’égide de La Cité. 

22 octobre 2014/Auteur: Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)/Nombre de vues (30204)/Commentaires ()/
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Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

La Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) représentant environ 150 000 élèves de langue française répartis dans plus de 640 écoles partout au pays tenait son congrès annuel sur le thème du démarchage, à Niagara Falls, du 16 au 18 octobre.

22 octobre 2014/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (30306)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Émile Fortier: Comme une grande famille!

Émile Fortier: Comme une grande famille!

Un fransaskois au Campus St-Jean d'Edmonton

EDMONTON - Avec ses 750 étudiants, le Campus Saint-Jean est considéré comme un petit établissement au sein de l’Université de l’Alberta qui accueille chaque année près de 30 000 étudiants.

22 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (31512)/Commentaires ()/
Capacité d’apprentissage: Six lieux, 3 groupes et un couffin

Capacité d’apprentissage: Six lieux, 3 groupes et un couffin

Des chercheurs ont suivi pendant quatre ans des jeunes enfants en milieu minoritaire pour mesurer l’impact d’un programme enrichi créé en Saskatchewan. Le résultat est « significatif » et pertinent.

22 octobre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (26454)/Commentaires ()/
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Des facteurs socioéconomiques et culturels influent sur la performance au chapitre de l'éducation et des compétences

Il faut mieux comprendre les défis particuliers auxquels sont confrontés les autochtones.

Selon un nouveau rapport du Conference Board du Canada sur l'éducation et les compétences dans les territoires produit dans le cadre de l'analyse Les performances du Canada, les résultats des territoires au chapitre de l'éducation et des compétences sont inférieurs à ceux des provinces en raison d'écarts notables entre les niveaux de scolarité des populations autochtones et non autochtones.

16 octobre 2014/Auteur: Conference Board of Canada/Nombre de vues (22562)/Commentaires ()/
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Omnium de volleyball

Omnium de volleyball

Un projet de l'AJF et du CÉF

C’est sous le signe de la fraternité que s’est déroulé l’Omnium fransaskois de volleyball au centre Henk Ruys à Saskatoon les 8 et 9 octobre derniers.  Quelque 483 élèves des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) des quatre coins de la province se sont amusés en y participant.  

16 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (35747)/Commentaires ()/
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Moins de blé dans les champs, hausse des prix dans l’assiette

Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/28 août 2021/Catégories: Agriculture et environnement

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Crédit : Yves Bernardi – Pixabay

FRANCOPRESSE – Avec la sècheresse et la vague de chaleur sans précédent qui ont touché l’Ouest canadien, les récoltes de blé s’annoncent mauvaises. Les spécialistes du secteur redoutent une augmentation des prix et des difficultés d’approvisionnement. 

Les moissons ne sont pas encore terminées au Canada, les moissonneuses-batteuses sont encore dans le feu de l’action, mais les chiffres ne s’annoncent pas bons. D’après les prévisions du département de l’Agriculture des États-Unis, la production de blé canadien devrait cette année être de 26,5 % inférieure à la moyenne des quatre dernières années. 

Autrement dit, elle pourrait passer d’environ 35 millions de tonnes en 2020 à 24 millions de tonnes cette année, soit une baisse de 32 %. 

La production de blé dur, dont le Canada est le premier fournisseur mondial et qui entre dans la fabrication des pâtes, devrait, elle, diminuer de 11 %.

Un ensemble de conditions météorologiques défavorables est en cause. Le dôme de chaleur qui a affecté le pays et la forte sècheresse qui a provoqué des incendies dans l’Ouest canadien ont eu raison d’une grande partie des récoltes de 2021. 

La crise n’épargne pas Martin Prince, agriculteur installé dans le nord-ouest de la Saskatchewan, à Delmas. Ses pertes de rendement s’élèvent à 50 % pour le blé d’hiver, récolté en aout. 

Pour son blé de printemps, quil espère moissonner la première semaine de septembre, lexploitant table sur 75 % en moins.

Inquiétudes sur la qualité 

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Jean-Philippe Gervais est vice-président et économiste agricole en chef chez Financement agricole Canada.
Crédit : Courtoisie

«Une large majorité des producteurs de céréales du Manitoba, de la Saskatchewan, d’Alberta et de Colombie-Britannique sont affectés par des chutes de rendements. Une petite minorité s’en sort», confirme Jean-Philippe Gervais, vice-président et économiste agricole en chef de Financement agricole Canada (FAC). 

Il note qu’«il faut remonter à 2012 pour retrouver daussi mauvaises conditions climatiques». 

La baisse de production du blé s’explique aussi par une surface plantée moindre : 23,4 millions d’acres, soit un recul de 6,5 % par rapport à l’année précédente.

Linquiétude est dautant plus grande quau-delà du volume, il y a des préoccupations sur la qualité. Un risque d’échaudage est notamment évoqué. 

Ce phénomène peut se produire en cas de fortes chaleurs pendant les dernières semaines précédant la moisson. Il y a un accident dans la croissance du grain, et ce dernier se remplit moins. 

«La météo a perturbé la texture et le degré d’humidité des grains. Il pourrait aussi y avoir une diminution importante de la quantité de protéines», détaille Jean-Philippe Gervais. 

Un avis que ne partage pas Daniel Ramage, directeur de l’accès aux marchés et de la politique commerciale chez Cereals Canada, un organisme à but non lucratif qui représente les organisations agricoles et les industriels du secteur : «Il est encore trop tôt pour se prononcer, mais en principe, les années chaudes favorisent une bonne qualité et un niveau de protéines plus élevé.»

Transport perturbé par les mégafeux 

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Daniel Ramage est directeur de l’accès aux marchés et de la politique commerciale chez Cereals Canada.
Crédit : Courtoisie

Les mauvaises récoltes font craindre aux spécialistes des difficultés d’approvisionnement et une flambée des couts. «Les prix atteignent des sommets», assure Daniel Ramage.

Sur le marché mondial, Jean-Philippe Gervais constate déjà une hausse de 33 % des prix par rapport à 2020 et de 50 % par rapport à 2019. Il note qu’en Saskatchewan, le blé se vend à 365 $ la tonne, soit une augmentation de 65 % comparé à l’an dernier. 

Le cout du blé dur a quant à lui déjà bondi de 30 % depuis juillet. 

Les yeux de l’économiste agricole se tournent également de l’autre côté de l’Atlantique : «Il y a une déception quant au niveau de récolte du blé d’hiver en Russie et, en Europe occidentale, les récentes fortes pluies laissent craindre des qualités très hétérogènes», rapporte-t-il. 

Dans ce contexte, Jean-Philippe Gervais s’attend à ce que les prix continuent à grimper. «Seule bonne nouvelle : ces cours élevés compenseront dans une certaine mesure les pertes de rendement des agriculteurs si elles ne sont pas trop importantes», ajoute-t-il. 

En parallèle, la demande mondiale est toujours forte. Que ce soit en Chine, en Afrique, au Maghreb ou en Égypte, le rythme des importations ne faiblit pas. «Ce mouvement accélère la pression sur les prix», observe Jean-Philippe Gervais. 

Surtout que les mégafeux en Colombie-Britannique ont endommagé les lignes de chemin de fer du Canadien National et du Canadien Pacifique, qui servent notamment au transport de céréales. «Elles sont de nouveau opérationnelles, mais elles fonctionnent à capacité réduite, ce qui risque de ralentir le rythme de nos exportations», explique-t-il. 

Pas de risque de pénurie au pays

Martin Prince
Martin Prince est producteur de grandes cultures à Delmas, dans le nord-ouest de la Saskatchewan.
Crédit : PhotoBliss

En temps normal, le Canada exporte 75 % de sa production. Mais avec la baisse du volume de grains disponibles, «les acheteurs locaux vont avoir la priorité et on ne pourra pas satisfaire tous les approvisionnements mondiaux», prévient Jean-Philippe Gervais. Cette situation se conjuguant avec des réserves mondiales basses, «il n’est pas possible de puiser dans ces stocks pour alimenter la demande», poursuit l’économiste agricole. 

Les deux experts ne redoutent pas pour autant une pénurie sur le marché intérieur : «Même avec des récoltes plus faibles, il y aura assez de blé pour répondre à la consommation intérieure, denviron 8 millions de tonnes par an», affirme Daniel Ramage.

En Saskatchewan, Martin Prince a vendu seulement 10 % de son blé d’hiver, en vertu d’un contrat conclu avant les premières fauches. Pour transformer le reste du fruit de son labeur en espèces sonnantes et trébuchantes, l’exploitant préfère attendre l’hiver ou le printemps prochain, car il estime que les prix vont continuer d’augmenter dans les mois à venir. 

D’ici là, il suit les cours des bourses de céréales aux États-Unis. «C’est mon travail de gestionnaire de choisir le tempo de mes ventes afin de minimiser les risques», partage-t-il, confiant. 

L’envolée des cours ne fait pas que des heureux. Elle risque de se répercuter sur toute la chaine de production et de distribution, jusqu’aux consommateurs qui achètent des pâtes, du gruau ou du pain. Les prix de vente pourraient ainsi subir une certaine inflation.

Selon Jean-Philippe Gervais, il s’agirait d’une hausse «de quelques centimes», qui ne devrait pas grever significativement le pouvoir dachat. Le blé ne représente, selon lui, que «des miettes» dans le pain qu’on achète.

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 - jeudi 31 octobre 2024