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Nicole Lemire:  De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert

Nicole Lemire: De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert

Chaque année, des milliers d’étudiants en 12e année sont confrontés à la même question : qu’est-ce qu’ils feront après l’obtention de leur diplôme : amorcer des études collégiales ou universitaires, aller directement sur le marché du travail ou prendre une pause d’études?

 

9 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (27356)/Commentaires ()/

Nicole Dupuis, enseignante en école d’immersion à Estevan

Ceux qui choisissent le métier d’enseignant doivent être prêts à aimer leurs élèves, être capables de collaborer avec leurs collègues et prêts à appuyer les parents.

9 octobre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (31128)/Commentaires ()/
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Yves St-Maurice réélu à la présidence de l’ACELF

Yves St-Maurice réélu à la présidence de l’ACELF

Lors de l’assemblée annuelle tenue à Halifax, le 27 septembre dernier, les membres de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF) ont réélu M. Yves St-Maurice à la présidence de l’association pour un quatrième mandat consécutif. 

9 octobre 2014/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (30096)/Commentaires ()/
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Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants

Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants

Services de mentorats et tutorats

Depuis le début de l’année universitaire, l’Institut français, sous la supervision de Ariadna Sachdeva, Conseillère et coordonnatrice des programmes crédités et des services aux étudiants, a mis en place un programme de mentorat.

9 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25777)/Commentaires ()/
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Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest

Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest

Les écoles fransaskoises connaissent la deuxième plus forte hausse au pays

La tendance nationale des inscriptions dans les écoles francophones est positive. Mais pas dans toutes les provinces, où se profilent d’importants défis pour l’avenir. Le 24e Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) fera le point. 

3 octobre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (23208)/Commentaires ()/
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Programmation du Collège Mathieu 2014-15

Programmation du Collège Mathieu 2014-15

L'institution fransaskoise s’affirme comme l’un des acteurs majeurs du post-secondaire francophone en Saskatchewan.

Petit à petit, à force de travail et au fil du temps, le Collège Mathieu, sous la direction générale de Francis Kasongo, s’affirme de plus en plus comme l’un des acteurs majeurs, avec l’Institut français, du dossier du post-secondaire francophone en Saskatchewan.

2 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26338)/Commentaires ()/
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Les choses bougent à l’Institut français

Les choses bougent à l’Institut français

 Deux mois et demi après sa prise de fonction à la direction de l’Institut français, Sophie Bouffard peut déjà se prévaloir d’un bilan honorable.

2 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27334)/Commentaires ()/
Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Le sujet de cette première formation d'une série de quatre, animée par le conseiller en développement économique Ildephonse Bigirimana, était l’acquisition d’une franchise. 

2 octobre 2014/Auteur: Marie-Pier Boilard/Nombre de vues (38740)/Commentaires ()/
Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles

Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la Coopérative des publications fransaskoises (CPF) lancent une campagne d’aide au financement de projets scolaires par vente d’abonnements au journal l’Eau Vive

2 octobre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (25969)/Commentaires ()/
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L’université francophone ontarienne pour 2025?

L’université francophone ontarienne pour 2025?

Gouverne ontarienne, mission canadienne

Le Sommet provincial des États généraux sur le postsecondaire en Ontario français, du 3 au 5 octobre à Toronto, promet de franchir une étape clé dans la création d’une université franco-ontarienne. Un projet qui dépasserait les frontières provinciales.

28 septembre 2014/Auteur: Louis-Marie Achille (Francopresse)/Nombre de vues (22756)/Commentaires ()/
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Rencontre avec Miles Muri, directeur des écoles Sans-Frontière et Père Mercure

M. Miles Muri travaille pour le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Il a été directeur de l’École secondaire Collège Mathieu à Gravelbourg puis directeur du Centre d’éducation virtuelle et d’innovation (CÉVI) pendant un an avant de devenir directeur des écoles Père Mercure et Sans-Frontières.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (24115)/Commentaires ()/
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Pour une solution à long terme

Pour une solution à long terme

Le CSF et le jugement de la Cour du banc de la reine

Le 19 août dernier, le juge Brian A. Barrington-Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan de payer la somme de 500 000 $ au Conseil scolaire fransaskois (CSF) qui réclamait 5,2 M $.

18 septembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25168)/Commentaires ()/
Le CÉF bénéficie du programme Ordinateurs pour les écoles

Le CÉF bénéficie du programme Ordinateurs pour les écoles

Depuis cinq ans, le Conseil des écoles fransaskoises profite du programme national Ordinateurs pour les écoles (OPE). Créé en 1993 par Industrie Canada et les TelecomPioneers, ce programme a permis, à date, de donner plus de 1 100 000 ordinateurs et imprimantes provenant des administrations publiques et du secteur privé. 
18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29304)/Commentaires ()/
Immersion dans l’immersion

Immersion dans l’immersion

Entrevue avec Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon

C’est le temps de la rentrée et on a beaucoup parlé des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), mais il y a aussi les autres : les écoles d’immersion. Pour faire un point sur ce secteur, nous avons rencontré M. Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (28829)/Commentaires ()/

Notre école

Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.

11 septembre 2014/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (27643)/Commentaires ()/
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La dégénérescence des produits

L'obsolescense programmée

Auteur: Zachary Morin-Barich, élève en 11e année à l'école Monseigneur de Laval à Regina/21 juin 2019/Catégories: Agriculture et environnement, Économie, La vie des élèves

Une décharge
Obsolescense programmée et pollution vont souvent de pair.

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Avez-vous déjà remarqué que les produits d’aujourd’hui n’ont pas la même qualité ou ne durent pas aussi longtemps que ceux de vos grands-parents ? Ce phénomène porte un nom et il affecte tout le monde : c’est l’obsolescence programmée.

Le but de l’obsolescence programmée est de créer des emplois, un marché plus compétitif et une économie plus stable. Toutefois, ces avantages s’accompagnent de conséquences multiples : ils mènent à la surconsommation, à l’accumulation des déchets et à l’épuisement des ressources.

Une pollution nocive pour la santé

Même après la Grande Dépression, cette idée est restée puisque les compagnies trouvaient que cette démarche était très profitable. Les compagnies qui ont adopté le concept ont ainsi augmenté leur production. Néanmoins, en conséquence, les produits de consommation ne pouvaient pas tous être recyclés, surtout les appareils électroniques. Aux États-Unis, 9,4 millions de tonnes d’appareils électroniques sont jetées chaque année, dont seulement 12,5 % sont recyclées (Source : https://earth911.com).

Mondialement, de 20 à 50 millions de tonnes de déchets d’appareils électroniques sont jetées chaque année et ce nombre augmentera de 33 % dans les quatre prochaines années (Source : https://ourworld.unu.edu).

Le nombre de déchets engendrés par l’obsolescence programmée est important et ils comportent des risques pour l’être humain. La majorité d’entre eux contiennent des métaux toxiques comme du plomb, du cadmium, du mercure, du chrome hexavalent, du PVC et des retardateurs de flammes bromés (des molécules synthétiques à base de pétrole). Certains de ces métaux peuvent même causer des déficiences mentales chez les jeunes enfants (Source : https://www.greenpeace.org).

Une logique économique néfaste ?

De plus, la dépréciation planifiée a aussi un grand effet sur le portefeuille de l’acheteur moyen. En 1925 est créé le Phoebus Cartel. Composé de plusieurs compagnies, notamment Philips, Osram et General Electric, il avait pour but de limiter la durabilité des lampes à seulement 1 000 heures. Depuis cette époque, beaucoup d’avancements technologiques ont été accomplis, mais le principe est resté le même : Réduire la qualité des produits pour que le consommateur dépense plus.

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Cette logique suit la loi du marché de l’offre et la demande. Autrement dit, les gérants des compagnies peuvent facilement profiter de la grande demande pour des produits de base qui sont nécessaires au consommateur.

L’obsolescence programmée est surtout un problème dans les pays plus développés. « Alors qu’ils ne représentent que 12 % de la population mondiale, les gens qui vivent en Amérique du Nord, ainsi qu’en Europe, représentent 60 % des dépenses privées (envers la consommation des produits). » (Source : https://www.greenlivingtips.com)

Dans ces pays, les producteurs forment un « oligopole », qui est très efficace pour canaliser la surconsommation.

En conclusion, il serait raisonnable de dire que la désuétude planifiée est une technique nocive pour l’environnement et les consommateurs. L’action de diminuer la qualité des produits crée des emplois et un marché stable sur le court terme, mais à long terme il crée des déchets toxiques qui sont difficiles à sortir de l’écosystème.

Si nous voulons moderniser la société, devons-nous nous débarrasser des vieux appareils pour créer une société moderne, ou cette idée est-elle simplement un stratagème pour enrichir les corporations ?

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Conseil des écoles fransaskoises

Zachary Morin-Barich, élève en 11e année à l'école Monseigneur de Laval à Regina

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 - vendredi 17 mai 2024