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Festival fransaskois 2024
Capacité d’apprentissage: Six lieux, 3 groupes et un couffin

Capacité d’apprentissage: Six lieux, 3 groupes et un couffin

Des chercheurs ont suivi pendant quatre ans des jeunes enfants en milieu minoritaire pour mesurer l’impact d’un programme enrichi créé en Saskatchewan. Le résultat est « significatif » et pertinent.

22 octobre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25627)/Commentaires ()/
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Des facteurs socioéconomiques et culturels influent sur la performance au chapitre de l'éducation et des compétences

Il faut mieux comprendre les défis particuliers auxquels sont confrontés les autochtones.

Selon un nouveau rapport du Conference Board du Canada sur l'éducation et les compétences dans les territoires produit dans le cadre de l'analyse Les performances du Canada, les résultats des territoires au chapitre de l'éducation et des compétences sont inférieurs à ceux des provinces en raison d'écarts notables entre les niveaux de scolarité des populations autochtones et non autochtones.

16 octobre 2014/Auteur: Conference Board of Canada/Nombre de vues (21607)/Commentaires ()/
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Omnium de volleyball

Omnium de volleyball

Un projet de l'AJF et du CÉF

C’est sous le signe de la fraternité que s’est déroulé l’Omnium fransaskois de volleyball au centre Henk Ruys à Saskatoon les 8 et 9 octobre derniers.  Quelque 483 élèves des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) des quatre coins de la province se sont amusés en y participant.  

16 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (34873)/Commentaires ()/
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Le Lien: Un centre de ressources francophones provincial

Le Lien: Un centre de ressources francophones provincial

Une mine de ressources à une distance de clic

Créé en 1986, le Lien est un centre de ressources culturelles et pédagogiques en français. Il dessert les francophones et francophiles de la Saskatchewan et de l’Ouest canadien. Seul centre francophone de prestation de services, le Lien met gratuitement à la disposition de ses usagers 42 000 titres soit 70 000 ressources sous forme de livres, de films (DVD, VHS), de CDs et propose l’accès à du matériel audiovisuel.

15 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26619)/Commentaires ()/
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Nicole Lemire:  De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert

Nicole Lemire: De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert

Chaque année, des milliers d’étudiants en 12e année sont confrontés à la même question : qu’est-ce qu’ils feront après l’obtention de leur diplôme : amorcer des études collégiales ou universitaires, aller directement sur le marché du travail ou prendre une pause d’études?

 

9 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (27686)/Commentaires ()/

Nicole Dupuis, enseignante en école d’immersion à Estevan

Ceux qui choisissent le métier d’enseignant doivent être prêts à aimer leurs élèves, être capables de collaborer avec leurs collègues et prêts à appuyer les parents.

9 octobre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (31532)/Commentaires ()/
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Yves St-Maurice réélu à la présidence de l’ACELF

Yves St-Maurice réélu à la présidence de l’ACELF

Lors de l’assemblée annuelle tenue à Halifax, le 27 septembre dernier, les membres de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF) ont réélu M. Yves St-Maurice à la présidence de l’association pour un quatrième mandat consécutif. 

9 octobre 2014/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (30416)/Commentaires ()/
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Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants

Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants

Services de mentorats et tutorats

Depuis le début de l’année universitaire, l’Institut français, sous la supervision de Ariadna Sachdeva, Conseillère et coordonnatrice des programmes crédités et des services aux étudiants, a mis en place un programme de mentorat.

9 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26118)/Commentaires ()/
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Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest

Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest

Les écoles fransaskoises connaissent la deuxième plus forte hausse au pays

La tendance nationale des inscriptions dans les écoles francophones est positive. Mais pas dans toutes les provinces, où se profilent d’importants défis pour l’avenir. Le 24e Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) fera le point. 

3 octobre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (23540)/Commentaires ()/
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Programmation du Collège Mathieu 2014-15

Programmation du Collège Mathieu 2014-15

L'institution fransaskoise s’affirme comme l’un des acteurs majeurs du post-secondaire francophone en Saskatchewan.

Petit à petit, à force de travail et au fil du temps, le Collège Mathieu, sous la direction générale de Francis Kasongo, s’affirme de plus en plus comme l’un des acteurs majeurs, avec l’Institut français, du dossier du post-secondaire francophone en Saskatchewan.

2 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26652)/Commentaires ()/
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Les choses bougent à l’Institut français

Les choses bougent à l’Institut français

 Deux mois et demi après sa prise de fonction à la direction de l’Institut français, Sophie Bouffard peut déjà se prévaloir d’un bilan honorable.

2 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27732)/Commentaires ()/
Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Le sujet de cette première formation d'une série de quatre, animée par le conseiller en développement économique Ildephonse Bigirimana, était l’acquisition d’une franchise. 

2 octobre 2014/Auteur: Marie-Pier Boilard/Nombre de vues (39127)/Commentaires ()/
Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles

Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la Coopérative des publications fransaskoises (CPF) lancent une campagne d’aide au financement de projets scolaires par vente d’abonnements au journal l’Eau Vive

2 octobre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (26230)/Commentaires ()/
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L’université francophone ontarienne pour 2025?

L’université francophone ontarienne pour 2025?

Gouverne ontarienne, mission canadienne

Le Sommet provincial des États généraux sur le postsecondaire en Ontario français, du 3 au 5 octobre à Toronto, promet de franchir une étape clé dans la création d’une université franco-ontarienne. Un projet qui dépasserait les frontières provinciales.

28 septembre 2014/Auteur: Louis-Marie Achille (Francopresse)/Nombre de vues (23003)/Commentaires ()/
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Rencontre avec Miles Muri, directeur des écoles Sans-Frontière et Père Mercure

M. Miles Muri travaille pour le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Il a été directeur de l’École secondaire Collège Mathieu à Gravelbourg puis directeur du Centre d’éducation virtuelle et d’innovation (CÉVI) pendant un an avant de devenir directeur des écoles Père Mercure et Sans-Frontières.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (24373)/Commentaires ()/
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« Les organismes auraient dû paniquer il y a longtemps »

Orientations de Patrimoine canadien

Auteur: Anonym/1 mai 2014/Catégories: Politique

Un mois après les consultations internes sur la nouvelle orientation pour l’appui aux minorités de langue officielle, la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) et ses membres n’ont pas encore partagé leurs réactions. Les enjeux sont pourtant d’envergure.

Le chercheur Éric Forgues est le directeur général de l’ICRML, situé à l’Université de Moncton.

Le chercheur Éric Forgues est le directeur général de l’ICRML, situé à l’Université de Moncton.

Photo : APF

« Le gouvernement devrait communiquer ses intentions publiquement, souligne le directeur général de l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques (ICRML), Éric Forgues. La FCFA et ses membres ont aussi le devoir d’emmener cette discussion dans l’espace public. Les enjeux ne concernent pas seulement la survie d’organismes, mais la vitalité des communautés. En ce moment, elles ne savent rien des négociations. » 

La FCFA a décliné une demande d’entrevue, fin mars, précisant qu’elle et ses 21 membres (organismes porte-parole et groupes nationaux) n’allaient pas commenter publiquement la proposition de Patrimoine canadien (PC) avant une prochaine réunion. Aucune date n’a été confirmée, mais PC prévoit une rencontre « avant le début de l’été ».

Selon Éric Forgues, « les négociations courantes sont importantes sur le plan financier, mais aussi sur la prise de décisions. On est à l’époque des syndicats de boutique, avec des négociations derrière les portes closes. Est-ce que c’est légitime? J’ai peur qu’on nous présente tout ça comme un fait accompli. C’est une approche paternaliste de la part du gouvernement et des organismes.  »

« On avait établi un dialogue et on s’était entendus sur des grandes stratégies avec le ministère, dit-il. Mais le gouvernement ne tient pas compte de la capacité des communautés de planifier leur avenir. Leurs porte-paroles ont reculé sur des acquis de gouvernance horizontale. On s’est mis dans une situation de rapport de force très faible.  

Le ministère s’était engagé en 2013 à mener un examen sur l’efficience de son appui aux communautés afin de « maximiser les résultats à partir des programmes et investissements actuels ». En novembre, PC a présenté à la FCFA ses nouvelles orientations et priorités (Jeunesse, Arts/culture/patrimoine et Médias/communications).

 

Les aînés, les femmes et les juristes

« Nous continuerons de travailler avec nos partenaires, a fait savoir le porte-parole du  ministère, Pierre Manoni, pour s’assurer que l’accent est mis sur les services directs aux communautés ayant des résultats concrets. Ceci se fera dans les secteurs clés pour la vitalité des communautés afin de renforcer les réseaux communautaires pour les rendre plus efficaces et d’éliminer le chevauchement de certaines initiatives fédérales. »

Selon des sources, les groupes d’aînés, de femmes et de juristes seraient exclus du programme. D’autres secteurs (santé, immigration et développement économique) sont orientés vers d’autres ministères. Les organismes avaient jusqu’à la fin mars pour réagir.

Un rapport de consultation de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO), dont Francopresse a obtenu copie, questionne les choix fédéraux. Le ministère priorise trois secteurs d’intervention alors que l’AFO en identifie 14.

« Puisque le français se vit dans une grande variété de circonstances de la vie quotidienne, lit-on dans le rapport, il est normal que l’on compte une aussi grande variété d’initiatives dont certaines sont effectivement dans le domaine des interventions spécialisées. Nous trouvons très inquiétant que le ministère ait identifié des secteurs, des clientèles et des disciplines culturelles qui ne recevront plus d’appui. »


Constats franco-ontariens

« On propose ici d’examiner à travers un prisme très restrictif, de façon isolée et à la pièce, la contribution de chaque enjeu et secteur à la vitalité de l’ensemble. Cela va à l’encontre des principes du cadre de référence sur la vitalité linguistique sur lequel le ministère semble se fonder pour cette nouvelle approche. Il s’agit d’une fausse prémisse. »

« Quoiqu’il soit méritoire de vouloir réserver une partie de l’enveloppe à des besoins émergents, il est très préoccupant de voir le glissement vers le financement de priorités ministérielles et l’ouverture d’appels de projets à une variété de groupes qui ne sont peut-être pas enracinés dans nos communautés. »

« Il faut se demander si le ministère cherche à décharger vers les communautés ses responsabilités en vertu des articles 42 et 43 de la Loi sur les langues officielles. »

 (Extraits de Constats et recommandations de l’AFO, non daté.)


L’AFO signale que les négociations auraient pu se dérouler autrement. « L’ensemble du processus et la démarche de consultation auraient dû être soumis au préalable à l’attention des membres du Cercle de collaboration ». Il s’agit du comité conjoint avec PC chargé d’administrer l’entente de financement en Ontario. 

Martin Normand est membre d’un groupe de recherche sur la gouvernance communautaire coordonné par l’Université d’Ottawa.

Martin Normand est membre d’un groupe de recherche sur la gouvernance communautaire coordonné par l’Université d’Ottawa.

Photo : APF

Le rapport de force avec le gouvernement est-il récupérable? « La définition des priorités échappe aux communautés depuis la première Feuille de route en 2003, » estime le professeur Martin Normand, de l’Université de Montréal. Les groupes communautaires ont développé leurs stratégies en fonction de ce que le ministère rendait disponible.

 

Une dépendance sur les fonds publics

« C’est difficile pour les organismes d’aller chercher d’autres revenus, » reconnaît le politicologue, mais ils ne devraient pas simplement s’accommoder. À long terme, ce financement pourrait continuer à s’effriter. On doit au moins y réfléchir et prévoir les coups tandis qu’on est encore capable de le faire.

« Les communautés doivent s’inscrire dans le débat public, croit le professeur. C’est difficile pour une minorité, mais ce n’est pas impossible. Le mouvement IDLE NO MORE de 2013 a permis aux autochtones de se mobiliser et d’interpeler l’opinion avec peu de ressources. Il est grand temps que les communautés reprennent un rôle éminemment politique. Il faut que certains organismes portent un message politique en se fondant sur des arguments juridiques et des appuis stratégiques.

« Les organismes ne veulent pas admettre que leur action dépend largement de fonds publics, conclut Martin Normand. Ils ont peur de perdre ce financement, ils hésitent à critiquer le gouvernement. Mais si on accepte la perte d’autonomie et l’effritement du financement, c’est pire que de critiquer et de perdre. On arrive à un point où cette vision-là n’est plus compatible avec la réalité. Ils auraient dû paniquer il y a longtemps. » 

Les nouvelles lignes directrices du volet « Collaboration avec le secteur communautaire » n’ont pas encore été produites, selon Pierre Manoni. « Le ministère communiquera aux Canadiens les éléments de la nouvelle logique d’investissement pour ce volet lorsque le travail de consultation et de discussion sera complété. » Après l’examen des demandes de financement à l’automne, PC « accompagnera graduellement les organismes affectés à compter d’avril 2015 ».

 
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